La tendance baissière des cas de contamination du Covid-19 se confirme. M. Djidjik Redha, professeur d'immunologie, chef service du laboratoire d'immunologie au CHU de Béni Messous affirme que « nous sommes actuellement en pleine décrue » La tendance baissière des cas de contamination du Covid-19 se confirme. M. Djidjik Redha, professeur d'immunologie, chef service du laboratoire d'immunologie au CHU de Béni Messous affirme que « nous sommes actuellement en pleine décrue » et qu'il est temps de desserer l'étau et profiter d'une rentrée sociale sereine, tout en veillant au respect des protocoles sanitaires. S'exprimant dans l'émission L'Invité de la Rédation de la radio Chaîne III, le Professeur Djidjik précise que « les indicateurs sont au vert ». « Je pense,» avance-t-il, « qu'il faudrait profiter de cette baisse des contaminations pour mieux s'organiser et laisser un peu le citoyen respirer pour reprendre cette rentrée sociale ». Dans le même contexte, Pr. Djijdik n'a pas manqué d'insister sur la nécessité de la vaccination, puisqu'il s'agit « du seul moyen » dont nous disposons pour pouvoir faire face à cette pandémie. Interrogé sur la possibilité d'interchangeabilité des vaccins, vu la rareté, voire l'inexistence de deuxième doses de certins protocles, Redha Djidjik souligne que cela est tout à fait possible. C'est également la même chose pour refaire un protocole du début en se faisant vacciner une nouvelle fois par un autre type de vaccin. « Le rappel du Sputnik dure deux ou trois semaines, si on les dépasse, on n'est plus sur un rappel » explique-t-il. Autre question qui suscite tant de débats aujourd'hui, c'est la vaccination des enfants. Pour Pr. Djidjik, même s'il est « compliqué d'accepter cela sur le plan éthique », vu que c'est une vaccination « altruiste », la question mérite bien d'être étudiée d'autant que les enfants demeurent des vecteurs de transmission. « On ne vaccine pas pour l'intérêt de l'enfant, mais pour l'intérêt collectif », explique-t-il, ajoutant que ceci est une nécessité absolue et qu'il serait bénéfique de les vacciner. et qu'il est temps de desserer l'étau et profiter d'une rentrée sociale sereine, tout en veillant au respect des protocoles sanitaires. S'exprimant dans l'émission L'Invité de la Rédation de la radio Chaîne III, le Professeur Djidjik précise que « les indicateurs sont au vert ». « Je pense,» avance-t-il, « qu'il faudrait profiter de cette baisse des contaminations pour mieux s'organiser et laisser un peu le citoyen respirer pour reprendre cette rentrée sociale ». Dans le même contexte, Pr. Djijdik n'a pas manqué d'insister sur la nécessité de la vaccination, puisqu'il s'agit « du seul moyen » dont nous disposons pour pouvoir faire face à cette pandémie. Interrogé sur la possibilité d'interchangeabilité des vaccins, vu la rareté, voire l'inexistence de deuxième doses de certins protocles, Redha Djidjik souligne que cela est tout à fait possible. C'est également la même chose pour refaire un protocole du début en se faisant vacciner une nouvelle fois par un autre type de vaccin. « Le rappel du Sputnik dure deux ou trois semaines, si on les dépasse, on n'est plus sur un rappel » explique-t-il. Autre question qui suscite tant de débats aujourd'hui, c'est la vaccination des enfants. Pour Pr. Djidjik, même s'il est « compliqué d'accepter cela sur le plan éthique », vu que c'est une vaccination « altruiste », la question mérite bien d'être étudiée d'autant que les enfants demeurent des vecteurs de transmission. « On ne vaccine pas pour l'intérêt de l'enfant, mais pour l'intérêt collectif », explique-t-il, ajoutant que ceci est une nécessité absolue et qu'il serait bénéfique de les vacciner.