«Mehdi a le don d'être plus grand que nature ! Je ne veux pas que Mehdi soit bon, je veux qu'il soit grand !» a déclaré hier M. Alain Lefèvre. Lors d'une conférence qui s'est tenue hier matin à l'Auditorium de la radio nationale, le célébrissime pianiste canadien Alain Lefèvre, en compagnie de l'ambassadeur du Canada, M. William Peck, ont annoncé leur fervent soutien au jeune pianiste algérien Mehdi Bilal Ghazi, un virtuose de 18 printemps. Il est le premier et seul algérien à avoir été accepté après une sélection des plus rigoureuses à l'académie du Centre d'art d'Orfort. Il y a lieu de rappeler que M. Lefèvre a organisé, deux ans auparavant, des concerts à Alger et à Oran, et qu'il avait encadré le jeune Ghazi lors du stage de formation au Centre d'art Orford au Québec, au mois de juillet 2006. «Mehdi possède un talent tel qu'il m'ait facile de l'aider techniquement. Il sait également que je ne lui laisse aucune échappatoire. je l'aide en l'encourageant et ne lui fait passer aucune erreur», a précisé M. Lefèvre, à propos du déroulement du stage de Ghazi au Canada. «ça serait extraordinaire si tous les jeunes de cette trempe pouvaient bénéficier de bourses afin d'avoir des parcours uniques», a-t-il ajouté. Alain Lefèvre a précisé que dans le répertoire de «la musique classique, on trouve des noms allemands, russes ou autres, pourquoi pas des noms algériens !» «D'autant plus que nous profitons de votre héritage, votre civilisation porteuse de poètes, d'astronomes, de mathématiciens, etc.» Alain Lefèvre est récipiendaire en 2004 d'un Classical Internet Award et d'un Félix pour le meilleur album classique de l'année à l'Adisq pour son enregistrement du «Concerto de Québec» d'André Mathieu avec l'orchestre symphonique du québec. Acclamé par la critique internationale, M. Lefèvre soulève l'enthousiasme du public, où il se produit, jouant à guichets fermés. Pianiste hors du commun sortant des sentiers battus, la presse internationale le soutient et lui donne des surnoms, à l'image de sa grandeur tant musicale qu'humaine. Alain Lefèvre n'est pas qu'un virtuose du piano ; il est aussi professeur et veille depuis des années à sensibiliser les enfants à la musique classique dans des écoles du monde entier en prenant attache avec les ambassades, afin d'organiser des master class. A l'automne 2006, il est de nouveau sur la célèbre scène du Royal Albert Hall de Londres. Il reçoit des invitations à jouer dans les orchestres les plus prestigieux du monde. Réalisé en partenariat avec l'Office Riadh El-Feth et la radio algérienne, ce concert sera présenté ce soir par le pianiste Alain Lefèvre, à la salle Ibn-Zeydoun. Les tarifs des billets d'entrée sont fixés à 300 DA en vente sur place. «Mehdi a le don d'être plus grand que nature ! Je ne veux pas que Mehdi soit bon, je veux qu'il soit grand !» a déclaré hier M. Alain Lefèvre. Lors d'une conférence qui s'est tenue hier matin à l'Auditorium de la radio nationale, le célébrissime pianiste canadien Alain Lefèvre, en compagnie de l'ambassadeur du Canada, M. William Peck, ont annoncé leur fervent soutien au jeune pianiste algérien Mehdi Bilal Ghazi, un virtuose de 18 printemps. Il est le premier et seul algérien à avoir été accepté après une sélection des plus rigoureuses à l'académie du Centre d'art d'Orfort. Il y a lieu de rappeler que M. Lefèvre a organisé, deux ans auparavant, des concerts à Alger et à Oran, et qu'il avait encadré le jeune Ghazi lors du stage de formation au Centre d'art Orford au Québec, au mois de juillet 2006. «Mehdi possède un talent tel qu'il m'ait facile de l'aider techniquement. Il sait également que je ne lui laisse aucune échappatoire. je l'aide en l'encourageant et ne lui fait passer aucune erreur», a précisé M. Lefèvre, à propos du déroulement du stage de Ghazi au Canada. «ça serait extraordinaire si tous les jeunes de cette trempe pouvaient bénéficier de bourses afin d'avoir des parcours uniques», a-t-il ajouté. Alain Lefèvre a précisé que dans le répertoire de «la musique classique, on trouve des noms allemands, russes ou autres, pourquoi pas des noms algériens !» «D'autant plus que nous profitons de votre héritage, votre civilisation porteuse de poètes, d'astronomes, de mathématiciens, etc.» Alain Lefèvre est récipiendaire en 2004 d'un Classical Internet Award et d'un Félix pour le meilleur album classique de l'année à l'Adisq pour son enregistrement du «Concerto de Québec» d'André Mathieu avec l'orchestre symphonique du québec. Acclamé par la critique internationale, M. Lefèvre soulève l'enthousiasme du public, où il se produit, jouant à guichets fermés. Pianiste hors du commun sortant des sentiers battus, la presse internationale le soutient et lui donne des surnoms, à l'image de sa grandeur tant musicale qu'humaine. Alain Lefèvre n'est pas qu'un virtuose du piano ; il est aussi professeur et veille depuis des années à sensibiliser les enfants à la musique classique dans des écoles du monde entier en prenant attache avec les ambassades, afin d'organiser des master class. A l'automne 2006, il est de nouveau sur la célèbre scène du Royal Albert Hall de Londres. Il reçoit des invitations à jouer dans les orchestres les plus prestigieux du monde. Réalisé en partenariat avec l'Office Riadh El-Feth et la radio algérienne, ce concert sera présenté ce soir par le pianiste Alain Lefèvre, à la salle Ibn-Zeydoun. Les tarifs des billets d'entrée sont fixés à 300 DA en vente sur place.