Cap sur la professionnalisation et la formation des fonctionnaires de l'administration territoriale pour améliorer son fonctionnement et assurer la sécurité des biens et des personnes. Ce sont les chantiers à la réalisation desquels s'est attelé le département de Yazid Zerhouni pour se moderniser et répondre aux attentes des citoyens. Le ministre d'Etat, ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, Yazid Zerhouni, a mis en exergue, mercredi dernier, lors de la cérémonie de sortie de la 40e promotion de l'Ecole nationale d'administration, les dispositifs de formation pour les fonctionnaires de l'administration territoriale. Ils concernent, pour la première formation, les secrétaires généraux de communes, en management public local. Dans ce contexte, le premier responsable du département de l'Intérieur indique que 205 secrétaires généraux des communes de plus de 20.000 habitants y ont déjà bénéficié et que 200 autres entameront leur formation à la prochaine rentrée sociale. La deuxième formation concerne les 1500 cadres techniques (architectes ou ingénieurs en génie civil) affectés dans les collectivités locales et la troisième touche l'ensemble des directions de l'administration locale (DAL), des chefs de bureaux des marchés publics rattachés au secrétariat général de wilaya et l'ensemble des chefs des structures du ministère de l'Intérieur. Les autres dispositifs de formation concernent 157 cadres (42 inspecteurs généraux et 115 inspecteurs de wilaya), ainsi que les chefs de daïras. Les autres commis de l'Etat à l'échelle locale seront tout aussi touchés par la formation. Un cycle de recyclage et de perfectionnement des connaissances est prévu et concernera les walis qui auront, «à s'imprégner des méthodes de gestion, de communication et de commandement». Cette politique de formation est cohérente avec les autres actions majeures, initiées par le ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales a expliqué M. Zerhouni. Le ministre a également cité les projets de réforme communale, du code de la wilaya, des finances et de la fiscalité locale, de la création des polices communales et ceux des statuts particuliers des grands corps relevant de son ministère. Il s'agit, pour ces derniers, des statuts particuliers de la direction générale de la Protection civile (DGPC), de la Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN), de la direction générale des Transmissions nationales et de la Police communale, des statuts du corps des walis, des secrétaires généraux de communes et des personnels de l'administration territoriale. «Ce travail de codification et de réglementation de la gestion des ressources humaines est fait sur la base de l'établissement d'une nomenclature de l'ensemble des métiers», a indiqué Yazid Zerhouni. Cette démarche permettra, selon lui, d'«améliorer la gestion», comme elle permet de faire «une gestion prévisionnelle de la ressource humaine avec les évolutions des critères et d'analyse des besoins de formation», et, «d'améliorer l'organisation à travers la gestion du changement». Ceci dans la perspective de répondre aux attentes et exigences des citoyens qui, pour beaucoup d'entre eux, s'inscrivent déjà dans le 21e siècle. Cap sur la professionnalisation et la formation des fonctionnaires de l'administration territoriale pour améliorer son fonctionnement et assurer la sécurité des biens et des personnes. Ce sont les chantiers à la réalisation desquels s'est attelé le département de Yazid Zerhouni pour se moderniser et répondre aux attentes des citoyens. Le ministre d'Etat, ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, Yazid Zerhouni, a mis en exergue, mercredi dernier, lors de la cérémonie de sortie de la 40e promotion de l'Ecole nationale d'administration, les dispositifs de formation pour les fonctionnaires de l'administration territoriale. Ils concernent, pour la première formation, les secrétaires généraux de communes, en management public local. Dans ce contexte, le premier responsable du département de l'Intérieur indique que 205 secrétaires généraux des communes de plus de 20.000 habitants y ont déjà bénéficié et que 200 autres entameront leur formation à la prochaine rentrée sociale. La deuxième formation concerne les 1500 cadres techniques (architectes ou ingénieurs en génie civil) affectés dans les collectivités locales et la troisième touche l'ensemble des directions de l'administration locale (DAL), des chefs de bureaux des marchés publics rattachés au secrétariat général de wilaya et l'ensemble des chefs des structures du ministère de l'Intérieur. Les autres dispositifs de formation concernent 157 cadres (42 inspecteurs généraux et 115 inspecteurs de wilaya), ainsi que les chefs de daïras. Les autres commis de l'Etat à l'échelle locale seront tout aussi touchés par la formation. Un cycle de recyclage et de perfectionnement des connaissances est prévu et concernera les walis qui auront, «à s'imprégner des méthodes de gestion, de communication et de commandement». Cette politique de formation est cohérente avec les autres actions majeures, initiées par le ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales a expliqué M. Zerhouni. Le ministre a également cité les projets de réforme communale, du code de la wilaya, des finances et de la fiscalité locale, de la création des polices communales et ceux des statuts particuliers des grands corps relevant de son ministère. Il s'agit, pour ces derniers, des statuts particuliers de la direction générale de la Protection civile (DGPC), de la Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN), de la direction générale des Transmissions nationales et de la Police communale, des statuts du corps des walis, des secrétaires généraux de communes et des personnels de l'administration territoriale. «Ce travail de codification et de réglementation de la gestion des ressources humaines est fait sur la base de l'établissement d'une nomenclature de l'ensemble des métiers», a indiqué Yazid Zerhouni. Cette démarche permettra, selon lui, d'«améliorer la gestion», comme elle permet de faire «une gestion prévisionnelle de la ressource humaine avec les évolutions des critères et d'analyse des besoins de formation», et, «d'améliorer l'organisation à travers la gestion du changement». Ceci dans la perspective de répondre aux attentes et exigences des citoyens qui, pour beaucoup d'entre eux, s'inscrivent déjà dans le 21e siècle.