Pourquoi un code de déontologie ? Telle est la question à laquelle tenteront de répondre les participants, nationaux et étrangers, au séminaire international qui durera deux jours à l'hôtel Sheraton (Alger), organisé par le Syndicat national des magistrats algériens. Pourquoi un code de déontologie ? Telle est la question à laquelle tenteront de répondre les participants, nationaux et étrangers, au séminaire international qui durera deux jours à l'hôtel Sheraton (Alger), organisé par le Syndicat national des magistrats algériens. Cette rencontre vise à confronter l'expérience algérienne dans le domaine de la déontologie de la profession à celle d'autres pays et permettra à un nombre important d'experts internationaux, issus des syndicats et d'associations nationaux, d'intervernir à ce sujet. Ce conclave a permis au ministre de la Justice, Garde des Sceaux, qui préside la séance d'ouverture, de revenir sur le chantier stratégique de la réforme de la justice qui a connu, selon lui « une avancée appréciable » en rappelant que 82 textes législatifs et réglementaires ont été révisés. Sur le plan de la modernisation, le premier responsable du secteur rappelle également l'introduction des technologies nouvelles dans tous les services pour l'amélioration de la qualité et le traitement rapide des dossiers. Sur le volet des ressources humaines, Tayeb Belaïz annonce que l'effectif des magistratsde l'ordre de 2500 en 1998, sera renforcé de 50% à l'horizon 2009, pour atteindre le nombre de 4.500. En ce qui concerne la réforme pénitentiaire et l'humanisation des conditions de détention, le Garde des Sceaux souligne la dotation des centres pénitenciers des moyens supplémentaires pour améliorer le séjour des détenus. Le ministre de la Justice fait état de grandes avancées dans le domaine de la réinsertion sociale des détenus. « Ils sont plus de 23.000 détenus à avoir bénéficié d'une formation dans 80 spécialités »; révèle-t-il en indiquant que 784 détenus ont obtenu le baccalauréat et 764 celui du brevet d'enseignement moyen et cela durant la période 1999-2006. Dans un souci d'améliorer davantage le séjour des détenus en prison relève l'élaboration d'un programme spécial de construction de 81 nouveaux centres pénitenciers, dont 13 d'une capacité de 19.000 places seront réalisés sur une période ne dépassant pas les 24 mois. Revenant sur la problématique de la déontologie de la profession, il la définit comme une responsabilité juridique et morale des magistrats, en droits et devoirs, qui garantit l'indépendance de la justice. Cette rencontre vise à confronter l'expérience algérienne dans le domaine de la déontologie de la profession à celle d'autres pays et permettra à un nombre important d'experts internationaux, issus des syndicats et d'associations nationaux, d'intervernir à ce sujet. Ce conclave a permis au ministre de la Justice, Garde des Sceaux, qui préside la séance d'ouverture, de revenir sur le chantier stratégique de la réforme de la justice qui a connu, selon lui « une avancée appréciable » en rappelant que 82 textes législatifs et réglementaires ont été révisés. Sur le plan de la modernisation, le premier responsable du secteur rappelle également l'introduction des technologies nouvelles dans tous les services pour l'amélioration de la qualité et le traitement rapide des dossiers. Sur le volet des ressources humaines, Tayeb Belaïz annonce que l'effectif des magistratsde l'ordre de 2500 en 1998, sera renforcé de 50% à l'horizon 2009, pour atteindre le nombre de 4.500. En ce qui concerne la réforme pénitentiaire et l'humanisation des conditions de détention, le Garde des Sceaux souligne la dotation des centres pénitenciers des moyens supplémentaires pour améliorer le séjour des détenus. Le ministre de la Justice fait état de grandes avancées dans le domaine de la réinsertion sociale des détenus. « Ils sont plus de 23.000 détenus à avoir bénéficié d'une formation dans 80 spécialités »; révèle-t-il en indiquant que 784 détenus ont obtenu le baccalauréat et 764 celui du brevet d'enseignement moyen et cela durant la période 1999-2006. Dans un souci d'améliorer davantage le séjour des détenus en prison relève l'élaboration d'un programme spécial de construction de 81 nouveaux centres pénitenciers, dont 13 d'une capacité de 19.000 places seront réalisés sur une période ne dépassant pas les 24 mois. Revenant sur la problématique de la déontologie de la profession, il la définit comme une responsabilité juridique et morale des magistrats, en droits et devoirs, qui garantit l'indépendance de la justice.