Les cours du pétrole sont en nette augmentation ces dernières semaines, au point où le baril de la mer du Nord a atteint 77,60 dollars, vendredi dernier, soit un seuil proche du niveau historique du 10 août 2006 où le baril valait 78,64 dollars. Selon des analystes financiers et des experts en énergie, les prix du baril pourraient continuer à grimper dans les prochains mois et, à la lumière de la conjoncture actuelle caractérisée par une forte demande de pétrole, les cours sont susceptibles d'atteindre aisément les 80 dollars le baril. En plus, la frénésie résultant de la surconsommation des pays avancés industrialisés, et à leur tête les Etats-Unis d'Amérique qui nourrissent des craintes sur leur approvisionnement en essence à cause de la période des grandes vacances, multiplie les spéculations et les surenchères. En effet, la situation tendue et inquiétante régnant au Nigeria ne fait qu'aiguiser l'appétit des spéculateurs avides d'argent pour réaliser de nouveaux records en élevant les prix du baril. Aussi bien à Londres pour le baril du Brent de la mer du Nord que pour le light sweet crude de New York, les cours connaissent une effervescence avec la valse des hausses qui ont vu le baril gagner plus de 7 dollars en l'espace d'un mois ! A la suite de cette constatation relative à l'évolution des prix du baril de pétrole, qui a abouti à un niveau proche de celui d'août 2006, l'Agence internationale de l'énergie (AIE) dope la valeur marchande du baril et estime que la demande de pétrole des pays consommateurs est en nette croissance ces derniers temps. Et en 2008, les cours du baril connaîtront une courbe ascendante, en ce sens que l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) n'a pas l'intention de relever le volume de production afin de provoquer la hausse des prix du baril, évidemment très avantageuse pour ses pays membres. Selon l'AIE, «les approvisionnements mondiaux en pétrole chuteront plus rapidement que prévu, à en juger par l'augmentation considérable de la consommation en Chine et au Moyen-Orient et l'affaiblissement de la capacité de production. Les nouvelles hausses des prix qui en découlent pourraient ébranler l'économie mondiale». L'AIE a fait remarquer également dans son rapport sur les perspectives du marché pétrolier à moyen terme, publié il y a quelques jours seulement, que dans cinq ans, le monde ferait face à une grave crise de l'approvisionnement en pétrole, car la croissance de la production des pays non membres de l'OPEP ne suit pas celle de la demande. Devenant de plus en plus dépendants des pays exportateurs de pétrole pour leur approvisionnement énergétique, les pays industrialisés chercheront certainement des moyens pour ne pas sombrer dans la pénurie et la crise qui freineraient les capacités de production de leurs usines et complexes industriels. Par ailleurs, le rapport de l'AIE ajoute que «les faibles capacités de réserves de l'OPEP et la faible croissance de la production en provenance des pays non-membres de l'OPEP suscitent de grandes préoccupations». Les cours du pétrole sont en nette augmentation ces dernières semaines, au point où le baril de la mer du Nord a atteint 77,60 dollars, vendredi dernier, soit un seuil proche du niveau historique du 10 août 2006 où le baril valait 78,64 dollars. Selon des analystes financiers et des experts en énergie, les prix du baril pourraient continuer à grimper dans les prochains mois et, à la lumière de la conjoncture actuelle caractérisée par une forte demande de pétrole, les cours sont susceptibles d'atteindre aisément les 80 dollars le baril. En plus, la frénésie résultant de la surconsommation des pays avancés industrialisés, et à leur tête les Etats-Unis d'Amérique qui nourrissent des craintes sur leur approvisionnement en essence à cause de la période des grandes vacances, multiplie les spéculations et les surenchères. En effet, la situation tendue et inquiétante régnant au Nigeria ne fait qu'aiguiser l'appétit des spéculateurs avides d'argent pour réaliser de nouveaux records en élevant les prix du baril. Aussi bien à Londres pour le baril du Brent de la mer du Nord que pour le light sweet crude de New York, les cours connaissent une effervescence avec la valse des hausses qui ont vu le baril gagner plus de 7 dollars en l'espace d'un mois ! A la suite de cette constatation relative à l'évolution des prix du baril de pétrole, qui a abouti à un niveau proche de celui d'août 2006, l'Agence internationale de l'énergie (AIE) dope la valeur marchande du baril et estime que la demande de pétrole des pays consommateurs est en nette croissance ces derniers temps. Et en 2008, les cours du baril connaîtront une courbe ascendante, en ce sens que l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) n'a pas l'intention de relever le volume de production afin de provoquer la hausse des prix du baril, évidemment très avantageuse pour ses pays membres. Selon l'AIE, «les approvisionnements mondiaux en pétrole chuteront plus rapidement que prévu, à en juger par l'augmentation considérable de la consommation en Chine et au Moyen-Orient et l'affaiblissement de la capacité de production. Les nouvelles hausses des prix qui en découlent pourraient ébranler l'économie mondiale». L'AIE a fait remarquer également dans son rapport sur les perspectives du marché pétrolier à moyen terme, publié il y a quelques jours seulement, que dans cinq ans, le monde ferait face à une grave crise de l'approvisionnement en pétrole, car la croissance de la production des pays non membres de l'OPEP ne suit pas celle de la demande. Devenant de plus en plus dépendants des pays exportateurs de pétrole pour leur approvisionnement énergétique, les pays industrialisés chercheront certainement des moyens pour ne pas sombrer dans la pénurie et la crise qui freineraient les capacités de production de leurs usines et complexes industriels. Par ailleurs, le rapport de l'AIE ajoute que «les faibles capacités de réserves de l'OPEP et la faible croissance de la production en provenance des pays non-membres de l'OPEP suscitent de grandes préoccupations».