Le flux des investissements des hommes d'affaires des Emirats arabes unis en Algérie a atteint son apogée, notamment avec le grand projet de l'entreprise Emaar évalué à 28 milliards dollars et destiné à développer et à moderniser des infrastructures dans la capitale et ses environs. Le flux des investissements des hommes d'affaires des Emirats arabes unis en Algérie a atteint son apogée, notamment avec le grand projet de l'entreprise Emaar évalué à 28 milliards dollars et destiné à développer et à moderniser des infrastructures dans la capitale et ses environs. Il s'agit de mener à bien des mégaprojets liés à la transformation de certains sites de la baie d'Alger, notamment la restructuration et la reconstruction de la gare des chemins de fer d'Alger, la construction d'un énorme complexe touristique à Zeralda et Sidi- Fredj, ainsi que la mise en place d'un technopole dans la perspective d'un pôle industriel et d'excellence dans la nouvelle ville de Sidi-Abdellah (à côté d'Alger). Comme l'a affirmé le ministre des Finances, Karim Djoudi, la réunion entre les opérateurs économiques algériens et les hommes d'affaires émiratis, suite à la visite de la ministre de l'Economie émiratie à Alger, a surtout permis de lever tous les obstacles et entraves ayant ralenti la réalisation des projets émiratis dans notre pays. «Un véritable mouvement des investissements émiratis est en train de se réaliser actuellement», a-t-il notamment déclaré. Outre des projets d'investissement dans les secteurs de l'énergie (pétrole et gaz), de l'hydraulique, de l'électricité et du développement des infrastructures portuaires, les entrepreneurs émiratis envisagent de donner un nouveau visage à la capitale en la dotant d'une façade semblable à celle d'Abu Dhabi ou de Dubaï avec des gratte-ciel à l'américaine et des chaînes de magasins de grande surface. Ainsi, selon les hommes d'affaires de ce pays en pleine expansion économique, Emaar va construire des hôtels haut standing, des habitations et des centres commerciaux modernes sur la baie d'Alger, le long de l'autoroute notamment. Ayant un certain penchant et un goût démesuré pour les hautes tours et buildings de classe internationale, les Emiratis ont l'intention de construire au moins trois tours à Alger dont l'une sera imposante et haute de plus de 20 étages. Depuis quelques années, le marché algérien est devenu alléchant, porteur et juteux pour les hommes d'affaires émiratis qui ont commencé à adopter l'Algérie en raison des nombreuses opportunités d'investissements qu'elle offre. Le secteur financier n'est pas en reste puisqu'une banque a déjà été implantée en Algérie et est opérationnelle en attendant l'installation d'une autre qui a introduit récemment sa demande d'agrément auprès du Conseil de la monnaie et du crédit. Dans le domaine énergétique, plusieurs projets sont en voie de finalisation. A titre d'exemple, on peut citer l'accord entre Sonatrach et la firme émiratie Mubadala Company pour un partenariat nécessitant un investissement de plus de 5 milliards de dollars. Selon le président de la Chambre algérienne de commerce et d'industrie (CACI), Brahim Bendjaber, «les investissements émiratis en Algérie jusqu'à la fin juin 2007 ont atteint un montant de 10 milliards de dollars». L'un des projets prometteurs concerne l'usine d'aluminium de Beni-Saf d'une valeur de 5 milliards de dollars, mais il y a également celui du Parc des Grands Vents situé sur l'autoroute de Zeralda dont l'enveloppe financière est de l'ordre de 3 milliards de dollars. Par ailleurs, une centrale électrique de 1 milliard de dollars est en voie de construction sans oublier d'autres projets ambitieux, tels que ceux liés au développement touristique évalués à plusieurs milliards de dollars, notamment des infrastructures à réaliser à Sidi Fredj (centres commerciaux, hôtels de luxe et autres stations balnéaires. Durant l'année 2006, le montant global des investissements émiratis en Algérie a dépassé les 6 milliards dollars. Il s'agit de mener à bien des mégaprojets liés à la transformation de certains sites de la baie d'Alger, notamment la restructuration et la reconstruction de la gare des chemins de fer d'Alger, la construction d'un énorme complexe touristique à Zeralda et Sidi- Fredj, ainsi que la mise en place d'un technopole dans la perspective d'un pôle industriel et d'excellence dans la nouvelle ville de Sidi-Abdellah (à côté d'Alger). Comme l'a affirmé le ministre des Finances, Karim Djoudi, la réunion entre les opérateurs économiques algériens et les hommes d'affaires émiratis, suite à la visite de la ministre de l'Economie émiratie à Alger, a surtout permis de lever tous les obstacles et entraves ayant ralenti la réalisation des projets émiratis dans notre pays. «Un véritable mouvement des investissements émiratis est en train de se réaliser actuellement», a-t-il notamment déclaré. Outre des projets d'investissement dans les secteurs de l'énergie (pétrole et gaz), de l'hydraulique, de l'électricité et du développement des infrastructures portuaires, les entrepreneurs émiratis envisagent de donner un nouveau visage à la capitale en la dotant d'une façade semblable à celle d'Abu Dhabi ou de Dubaï avec des gratte-ciel à l'américaine et des chaînes de magasins de grande surface. Ainsi, selon les hommes d'affaires de ce pays en pleine expansion économique, Emaar va construire des hôtels haut standing, des habitations et des centres commerciaux modernes sur la baie d'Alger, le long de l'autoroute notamment. Ayant un certain penchant et un goût démesuré pour les hautes tours et buildings de classe internationale, les Emiratis ont l'intention de construire au moins trois tours à Alger dont l'une sera imposante et haute de plus de 20 étages. Depuis quelques années, le marché algérien est devenu alléchant, porteur et juteux pour les hommes d'affaires émiratis qui ont commencé à adopter l'Algérie en raison des nombreuses opportunités d'investissements qu'elle offre. Le secteur financier n'est pas en reste puisqu'une banque a déjà été implantée en Algérie et est opérationnelle en attendant l'installation d'une autre qui a introduit récemment sa demande d'agrément auprès du Conseil de la monnaie et du crédit. Dans le domaine énergétique, plusieurs projets sont en voie de finalisation. A titre d'exemple, on peut citer l'accord entre Sonatrach et la firme émiratie Mubadala Company pour un partenariat nécessitant un investissement de plus de 5 milliards de dollars. Selon le président de la Chambre algérienne de commerce et d'industrie (CACI), Brahim Bendjaber, «les investissements émiratis en Algérie jusqu'à la fin juin 2007 ont atteint un montant de 10 milliards de dollars». L'un des projets prometteurs concerne l'usine d'aluminium de Beni-Saf d'une valeur de 5 milliards de dollars, mais il y a également celui du Parc des Grands Vents situé sur l'autoroute de Zeralda dont l'enveloppe financière est de l'ordre de 3 milliards de dollars. Par ailleurs, une centrale électrique de 1 milliard de dollars est en voie de construction sans oublier d'autres projets ambitieux, tels que ceux liés au développement touristique évalués à plusieurs milliards de dollars, notamment des infrastructures à réaliser à Sidi Fredj (centres commerciaux, hôtels de luxe et autres stations balnéaires. Durant l'année 2006, le montant global des investissements émiratis en Algérie a dépassé les 6 milliards dollars.