Le Comité d'assistance pour la localisation et la promotion des investissement (CALPI) a enregistré près de 800 demandes d'investissement dans le secteur du tourisme et qui sont actuellement en cours d'examen. Le Comité d'assistance pour la localisation et la promotion des investissement (CALPI) a enregistré près de 800 demandes d'investissement dans le secteur du tourisme et qui sont actuellement en cours d'examen. Parmi ces demandes, plusieurs émanent d'investisseurs arabes (Arabie saoudite, Emirats arabes unis, Koweït et Liban), a-t-on appris auprès de ce comité, où l'on souligne qu'une dizaine de promoteurs ont opté pour la réalisation, en partenariat ou en investissement direct étranger (IDE), de projets hôteliers et touristiques. Ces demandes viennent s'ajouter à plus de 300 projets touristiques en cours de réalisation, d'un coût d'environ 61 milliards de dinars. Le taux de réalisation de ces projets est estimé à 62%. 77 d'entre ces projets sont à vocation balnéaire, 219 à vocation urbaine, 9 climatique, alors que les 10 autres sont à vocation thermale. Il s'agit également de 25 complexes touristiques, 223 hôtels, 14 résidences, 19 motels, 10 stations thermales et 18 pensions. En revanche, le volume de l'investissement des projets à l'arrêt pour des raisons financières, est de 195 milliards de dinars. Afin de redynamiser ces projets, le ministère en charge du secteur a signé deux conventions avec le Crédit populaire d'Algérie (CPA) et la Banque de développement local (BDL) pour permettre aux investisseurs d'accéder aux crédits nécessaires. Par ailleurs, les études d'aménagement du programme initial de 22 zones d'expansion touristique (ZET) ont été achevées en 2006 et les prévisions de réalisation tablent sur 55 mille lits et la création de 63 mille emplois directs et indirects. A cet égard, des appels d'offres viennent d'être lancés pour la viabilisation des six pôles désignés "prioritaires" et pour lesquels les financements nécessaires ont été dégagés. Par ces actions, l'Algérie ambitionne de rejoindre les pays les plus développés en matière de tourisme. Pour ce faire, un programme a été arrêté en collaboration avec les instances internationales compétentes, notamment l'Organisation mondiale du tourisme (OMT), le Programme des Nations unies pour le Développement (PNUD) et le Comité des Nations unies pour le commerce et le développement, en vue de permettre à tous les acteurs du tourisme des secteurs public et privé, les instances concernées directement ou indirectement par l'activité touristique et la société civile, de prendre connaissance périodiquement des nouveautés en matière de tourisme. Dans ce sens, le directeur de la conception et de la régulation des activités touristiques a indiqué que l'Algérie est "déterminée" à promouvoir son tourisme à travers la gestion des destinations touristiques pour répondre à une demande qui devient de plus en plus exigeante. C'est à partir de cette exigence que le ministre de l'Aménagement du territoire, de l'Environnement et du Tourisme, M. Chérif Rahmani, a procédé dernièrement à l'installation du comité de préparation des assises nationales de développement du tourisme à l'horizon 2025. Composé de 16 membres, dont des cadres de l'administration centrale, des experts, des consultants et des bureaux d'études, ce comité aura à enrichir les débats autour du développement du tourisme, lors des assises qui auront lieu au mois de décembre prochain. Ce comité est chargé d'assurer la coordination des actions inhérentes à la préparation des assises, d'écouter, enregistrer et confronter par le débat participatif les propositions des acteurs partenaires, d'assurer l'expertise et assurer la cohérence et la circulation de l'information et des indicateurs relatifs au secteur. Cette nouvelle démarche vise, selon ses promoteurs, à donner un nouveau souffle au secteur, tout en précisant que les prochaines assises s'inscrivent dans le cadre de la mise en œuvre des programmes d'action du secteur. Un programme qui s'articule autour de cinq dynamiques, notamment la valorisation de la destination Algérie, en vue de favoriser la production d'une offre touristique diversifiée de qualité et innovante, le développement de l'émergence des pôles d'excellence du tourisme et la mise en œuvre d'un plan qualité dans le tourisme et d'un partenariat public-privé qui vise la mobilisation de tous les acteurs activant dans le domaine ainsi que le développement d'une stratégie de financement opérationnelle dans le secteur en vue d'accompagner les opérateurs dans le secteur du tourisme. Parmi ces demandes, plusieurs émanent d'investisseurs arabes (Arabie saoudite, Emirats arabes unis, Koweït et Liban), a-t-on appris auprès de ce comité, où l'on souligne qu'une dizaine de promoteurs ont opté pour la réalisation, en partenariat ou en investissement direct étranger (IDE), de projets hôteliers et touristiques. Ces demandes viennent s'ajouter à plus de 300 projets touristiques en cours de réalisation, d'un coût d'environ 61 milliards de dinars. Le taux de réalisation de ces projets est estimé à 62%. 77 d'entre ces projets sont à vocation balnéaire, 219 à vocation urbaine, 9 climatique, alors que les 10 autres sont à vocation thermale. Il s'agit également de 25 complexes touristiques, 223 hôtels, 14 résidences, 19 motels, 10 stations thermales et 18 pensions. En revanche, le volume de l'investissement des projets à l'arrêt pour des raisons financières, est de 195 milliards de dinars. Afin de redynamiser ces projets, le ministère en charge du secteur a signé deux conventions avec le Crédit populaire d'Algérie (CPA) et la Banque de développement local (BDL) pour permettre aux investisseurs d'accéder aux crédits nécessaires. Par ailleurs, les études d'aménagement du programme initial de 22 zones d'expansion touristique (ZET) ont été achevées en 2006 et les prévisions de réalisation tablent sur 55 mille lits et la création de 63 mille emplois directs et indirects. A cet égard, des appels d'offres viennent d'être lancés pour la viabilisation des six pôles désignés "prioritaires" et pour lesquels les financements nécessaires ont été dégagés. Par ces actions, l'Algérie ambitionne de rejoindre les pays les plus développés en matière de tourisme. Pour ce faire, un programme a été arrêté en collaboration avec les instances internationales compétentes, notamment l'Organisation mondiale du tourisme (OMT), le Programme des Nations unies pour le Développement (PNUD) et le Comité des Nations unies pour le commerce et le développement, en vue de permettre à tous les acteurs du tourisme des secteurs public et privé, les instances concernées directement ou indirectement par l'activité touristique et la société civile, de prendre connaissance périodiquement des nouveautés en matière de tourisme. Dans ce sens, le directeur de la conception et de la régulation des activités touristiques a indiqué que l'Algérie est "déterminée" à promouvoir son tourisme à travers la gestion des destinations touristiques pour répondre à une demande qui devient de plus en plus exigeante. C'est à partir de cette exigence que le ministre de l'Aménagement du territoire, de l'Environnement et du Tourisme, M. Chérif Rahmani, a procédé dernièrement à l'installation du comité de préparation des assises nationales de développement du tourisme à l'horizon 2025. Composé de 16 membres, dont des cadres de l'administration centrale, des experts, des consultants et des bureaux d'études, ce comité aura à enrichir les débats autour du développement du tourisme, lors des assises qui auront lieu au mois de décembre prochain. Ce comité est chargé d'assurer la coordination des actions inhérentes à la préparation des assises, d'écouter, enregistrer et confronter par le débat participatif les propositions des acteurs partenaires, d'assurer l'expertise et assurer la cohérence et la circulation de l'information et des indicateurs relatifs au secteur. Cette nouvelle démarche vise, selon ses promoteurs, à donner un nouveau souffle au secteur, tout en précisant que les prochaines assises s'inscrivent dans le cadre de la mise en œuvre des programmes d'action du secteur. Un programme qui s'articule autour de cinq dynamiques, notamment la valorisation de la destination Algérie, en vue de favoriser la production d'une offre touristique diversifiée de qualité et innovante, le développement de l'émergence des pôles d'excellence du tourisme et la mise en œuvre d'un plan qualité dans le tourisme et d'un partenariat public-privé qui vise la mobilisation de tous les acteurs activant dans le domaine ainsi que le développement d'une stratégie de financement opérationnelle dans le secteur en vue d'accompagner les opérateurs dans le secteur du tourisme.