L'humble et prudente Roumanie fait son entrée dans le Mondial de rugby aujourd'hui à Marseille contre l'Italie (Gr.C), espérant accrocher un rival quelque peu assommé la semaine dernière par la leçon administrée par les autobus de Nouvelle-Zélande. L'humble et prudente Roumanie fait son entrée dans le Mondial de rugby aujourd'hui à Marseille contre l'Italie (Gr.C), espérant accrocher un rival quelque peu assommé la semaine dernière par la leçon administrée par les autobus de Nouvelle-Zélande. Peut-on se remettre d'un 76-14 en quatre jours? C'est un peu le défi auquel sont confrontés les Italiens, qui espéraient avant le Mondial pouvoir poser des problèmes à la meilleure équipe du monde, et qui se sont réveillés en guenilles, à genou, avec un tableau d'affichage en déroute. Le sélectionneur italien Pierre Berbizier a, depuis, demandé à ses troupes de retrouver des valeurs face à des Roumains qui les avaient battues en juin 2006 à Bucarest (25-24). "Je l'ai toujours dit et je le repréciserai aux joueurs : le rugby est d'abord un sport de combat, il faut organiser le jeu dans le combat", a indiqué Berbizier. "C'est notre capacité à entrer dans le combat qui nous permettra j'espère de jouer à notre meilleur niveau". Une Roumanie sans complexe Forcé d'assumer trois matches en onze jours, Berbizier a effectué six changements dans son équipe par rapport à celle de samedi, et enregistré en plus le forfait de l'ailier Stanojevic, remplacé par Masi. En face, les joueurs de Robert Antonin et Daniel Santamans, se présentent tout de même avec douze joueurs évoluant dans le championnat de France, mais sans leur pilier Petru Balan, blessé, ni leur réputation d'il y a vingt ans, lorsque aller jouer à Bucarest relevait tout à la fois du pensum et du piège aux gros. "C'est le match le plus important car il va conditionner le reste de la compétition", a déclaré Antonin. "Notre objectif reste le même: gagner deux matches". La Nouvelle-Zélande et l'Ecosse semblant un peu loin, restent l'Italie et le Portugal. "La Roumanie arrive à Marseille sans complexe, mais il ne faut pas s'attendre à ce qu'elle fasse le spectacle au Vélodrome", a indiqué le technicien. "On sait que l'Italie est revancharde. Le spectacle, c'est aux Italiens de l'assurer. Nous, nous ferons plutôt dans le style besogneux", a-t-il conclu. Peut-on se remettre d'un 76-14 en quatre jours? C'est un peu le défi auquel sont confrontés les Italiens, qui espéraient avant le Mondial pouvoir poser des problèmes à la meilleure équipe du monde, et qui se sont réveillés en guenilles, à genou, avec un tableau d'affichage en déroute. Le sélectionneur italien Pierre Berbizier a, depuis, demandé à ses troupes de retrouver des valeurs face à des Roumains qui les avaient battues en juin 2006 à Bucarest (25-24). "Je l'ai toujours dit et je le repréciserai aux joueurs : le rugby est d'abord un sport de combat, il faut organiser le jeu dans le combat", a indiqué Berbizier. "C'est notre capacité à entrer dans le combat qui nous permettra j'espère de jouer à notre meilleur niveau". Une Roumanie sans complexe Forcé d'assumer trois matches en onze jours, Berbizier a effectué six changements dans son équipe par rapport à celle de samedi, et enregistré en plus le forfait de l'ailier Stanojevic, remplacé par Masi. En face, les joueurs de Robert Antonin et Daniel Santamans, se présentent tout de même avec douze joueurs évoluant dans le championnat de France, mais sans leur pilier Petru Balan, blessé, ni leur réputation d'il y a vingt ans, lorsque aller jouer à Bucarest relevait tout à la fois du pensum et du piège aux gros. "C'est le match le plus important car il va conditionner le reste de la compétition", a déclaré Antonin. "Notre objectif reste le même: gagner deux matches". La Nouvelle-Zélande et l'Ecosse semblant un peu loin, restent l'Italie et le Portugal. "La Roumanie arrive à Marseille sans complexe, mais il ne faut pas s'attendre à ce qu'elle fasse le spectacle au Vélodrome", a indiqué le technicien. "On sait que l'Italie est revancharde. Le spectacle, c'est aux Italiens de l'assurer. Nous, nous ferons plutôt dans le style besogneux", a-t-il conclu.