Trois personnalités politiques, et pas des moindres, connaissant parfaitement le paysage politique national, disent à l'unisson que la situation sécuritaire qui prévaut actuellement au pays est très préoccupante. Ce faisant, la venue de Hocine Aït Ahmed en Algérie ne s'est finalement pas réduite à la seule activité organique de présider le 4° Congrès de son parti, puisqu'il vient de rendre public un communiqué commun signé conjointement avec Mouloud Hamrouche ex-chef de gouvernement, et Abdelhamid Mehri, ex-secrétaire général du FLN. «Affligées par la situation que vit notre pays et gravement préoccupées par un possible nouvel engrenage de la violence», ces trois personnalités, aussi laconique soit le communiqué qu'ils viennent de balancer, tirent la sonnette d'alarme et préviennent contre un éventuel retour de l'insécurité, que les algériens ont eu à supporter des années durant faites de feu et de sang. Aussi Aït Ahmed, Hamrouche et Mehri appellent-ils, à travers la déclaration, à favoriser les solutions politiques afin de «démocratiser le pouvoir», et endiguer le phénomène de la violence dans la société algérienne, «persuadés» qu'ils sont que cette même société suivrait et s'engagerait dans un tel processus. Condamnant vigoureusement et « sans appel » les derniers attentats terroristes qui ont ciblé les deux localités de Batna et de Dellys, les trois signataires précisent que «terreurs et violences ne sont pas les voix de l'espérance», soulignant leur sympathie envers les familles des victimes qu'ils soutiennent en toute solidarité. Et pour conclure leur constat, ces trois personnalités se déclarent «disposées à apporter leur contribution à la recherche de solutions de sortie de crise dans toutes ses dimensions», pour dire que l'initiative en soi n'est pas faite pour critiquer une quelconque politique, mais vise à apporter leur soutien et leur collaboration à la recherche de solutions tangibles et appropriées aux problèmes de toute l'Algérie. Cependant reste la question de savoir si l'initiative sera prise en considération ou si elle demeura lettre morte ? Trois personnalités politiques, et pas des moindres, connaissant parfaitement le paysage politique national, disent à l'unisson que la situation sécuritaire qui prévaut actuellement au pays est très préoccupante. Ce faisant, la venue de Hocine Aït Ahmed en Algérie ne s'est finalement pas réduite à la seule activité organique de présider le 4° Congrès de son parti, puisqu'il vient de rendre public un communiqué commun signé conjointement avec Mouloud Hamrouche ex-chef de gouvernement, et Abdelhamid Mehri, ex-secrétaire général du FLN. «Affligées par la situation que vit notre pays et gravement préoccupées par un possible nouvel engrenage de la violence», ces trois personnalités, aussi laconique soit le communiqué qu'ils viennent de balancer, tirent la sonnette d'alarme et préviennent contre un éventuel retour de l'insécurité, que les algériens ont eu à supporter des années durant faites de feu et de sang. Aussi Aït Ahmed, Hamrouche et Mehri appellent-ils, à travers la déclaration, à favoriser les solutions politiques afin de «démocratiser le pouvoir», et endiguer le phénomène de la violence dans la société algérienne, «persuadés» qu'ils sont que cette même société suivrait et s'engagerait dans un tel processus. Condamnant vigoureusement et « sans appel » les derniers attentats terroristes qui ont ciblé les deux localités de Batna et de Dellys, les trois signataires précisent que «terreurs et violences ne sont pas les voix de l'espérance», soulignant leur sympathie envers les familles des victimes qu'ils soutiennent en toute solidarité. Et pour conclure leur constat, ces trois personnalités se déclarent «disposées à apporter leur contribution à la recherche de solutions de sortie de crise dans toutes ses dimensions», pour dire que l'initiative en soi n'est pas faite pour critiquer une quelconque politique, mais vise à apporter leur soutien et leur collaboration à la recherche de solutions tangibles et appropriées aux problèmes de toute l'Algérie. Cependant reste la question de savoir si l'initiative sera prise en considération ou si elle demeura lettre morte ?