Le mois de Ramadhan de cette année, contrairement aux années précédentes, n'est pas de tout repos pour les partis politiques. Ils sont contraints, en effet, de redoubler d'activités pour être fins prêts pour les élections locales du 29 novembre prochain. Le mois de Ramadhan de cette année, contrairement aux années précédentes, n'est pas de tout repos pour les partis politiques. Ils sont contraints, en effet, de redoubler d'activités pour être fins prêts pour les élections locales du 29 novembre prochain. Ainsi, toute l'attention des états-majors des partis est actuellement centrée sur la confection des listes électorales. Une opération qu'ils devraient boucler avant le 9 octobre prochain, date limite pour le dépôt des listes électorales, et ce, conformément à la réglementation qui stipule que les listes électorales devraient être déposées 50 jours avant le jour du scrutin. Pour cette élection, l'administration a, de son côté, achevé le 12 septembre dernier la révision des listes électorales. Cette prochaine échéance électorale sera marquée aussi par le sceau des nouvelles dispositions de la loi électorale amendée par le Parlement avant la fin de la session de printemps, au mois de juillet plus précisément. De ce fait, 9 partis politiques seulement, à savoir le FLN, RND, MSP, FFS, RCD, PT, Enahda, El Islah et le FNA sont assurés de prendre part à cette élection de renouvellement des assemblées locales. Ces partis, ayant obtenu 4% des suffrages dans l'une des trois dernières élections ( 2002 et 1997) ne seront pas obligés de souscrire à l'obligation de collecter les signatures d'au moins 3% des électeurs de la circonscription pour pouvoir parrainer des listes électorales. Ce qui n'est pas le cas des petites formations politiques et des indépendants, astreints quant à eux à cette obligation. Les partis politiques ont donc moins de 20 jours pour clôturer l'opération de confection des listes électorales. Et nombre d'entre eux éprouvent des difficultés à trouver des candidats crédibles, même si au sein des états-majors l'on tente de se montrer serein et confiant. Au sein du parti qui dispose de la majorité des assemblées locales, le FLN, on annonce que les dossiers de candidature sont actuellement au niveau des commissions des mouhafadhate en vue de procéder au classement des candidatures avant de les soumettre, le 30 septembre, à l'instance exécutive du parti. Les deux autres partis de l'Alliance présidentielle, le RND et le MSP, sont aussi à pied d'œuvre. Le parti d'Ahmed Ouyahia, qui compte être présent dans toutes les 1.541 communes du pays, dit avoir déjà concrétisé son programme à hauteur de 90 %. C'est presque le même cas pour le parti d'Aboudjerra Soltani qui soutient que le dépôt des dossiers de candidature a atteint «un niveau appréciable». Ce parti nourrit de grandes ambitions et veut faire mieux qu'en 2002 où il a pu contrôler 37 communes. Ces trois partis, estiment les observateurs, auront certainement les faveurs des électeurs, mais rien n'indique que les autres formations politiques, à l'image du FFS qui veut revenir en force sur la scène et du PT, voire même du RCD et du FNA, dont les préparatifs pour ce scrutin vont bon train, ne peuvent pas créer des surprises. Ainsi, toute l'attention des états-majors des partis est actuellement centrée sur la confection des listes électorales. Une opération qu'ils devraient boucler avant le 9 octobre prochain, date limite pour le dépôt des listes électorales, et ce, conformément à la réglementation qui stipule que les listes électorales devraient être déposées 50 jours avant le jour du scrutin. Pour cette élection, l'administration a, de son côté, achevé le 12 septembre dernier la révision des listes électorales. Cette prochaine échéance électorale sera marquée aussi par le sceau des nouvelles dispositions de la loi électorale amendée par le Parlement avant la fin de la session de printemps, au mois de juillet plus précisément. De ce fait, 9 partis politiques seulement, à savoir le FLN, RND, MSP, FFS, RCD, PT, Enahda, El Islah et le FNA sont assurés de prendre part à cette élection de renouvellement des assemblées locales. Ces partis, ayant obtenu 4% des suffrages dans l'une des trois dernières élections ( 2002 et 1997) ne seront pas obligés de souscrire à l'obligation de collecter les signatures d'au moins 3% des électeurs de la circonscription pour pouvoir parrainer des listes électorales. Ce qui n'est pas le cas des petites formations politiques et des indépendants, astreints quant à eux à cette obligation. Les partis politiques ont donc moins de 20 jours pour clôturer l'opération de confection des listes électorales. Et nombre d'entre eux éprouvent des difficultés à trouver des candidats crédibles, même si au sein des états-majors l'on tente de se montrer serein et confiant. Au sein du parti qui dispose de la majorité des assemblées locales, le FLN, on annonce que les dossiers de candidature sont actuellement au niveau des commissions des mouhafadhate en vue de procéder au classement des candidatures avant de les soumettre, le 30 septembre, à l'instance exécutive du parti. Les deux autres partis de l'Alliance présidentielle, le RND et le MSP, sont aussi à pied d'œuvre. Le parti d'Ahmed Ouyahia, qui compte être présent dans toutes les 1.541 communes du pays, dit avoir déjà concrétisé son programme à hauteur de 90 %. C'est presque le même cas pour le parti d'Aboudjerra Soltani qui soutient que le dépôt des dossiers de candidature a atteint «un niveau appréciable». Ce parti nourrit de grandes ambitions et veut faire mieux qu'en 2002 où il a pu contrôler 37 communes. Ces trois partis, estiment les observateurs, auront certainement les faveurs des électeurs, mais rien n'indique que les autres formations politiques, à l'image du FFS qui veut revenir en force sur la scène et du PT, voire même du RCD et du FNA, dont les préparatifs pour ce scrutin vont bon train, ne peuvent pas créer des surprises.