C'est lors d'une rencontre amicale avec les représentants de la presse nationale, organisée hier à la résidence officielle de l'ambassadeur du Canada, que M. Robert Peck est intervenu à propos de plusieurs sujets d'actualité relevant des relations algéro-canadiennes. A cette occasion, l'ambassadeur du Canada qui a présenté ses adieux au président de la République le 3 octobre après 3 ans passés en Algérie, nous a éclairés la lanterne sur plusieurs questions relevant de la coopération bilatérale entre les deux pays. Concernant la pomme de terre qui a fait l'actualité nationale ces derniers mois, M. Robert Peck a encore mis en évidence « La réputation mondiale et la très bonne qualité du tubercule canadien. » « Sachez que nous ne donnons pas cette pomme de terre aux animaux. Nous avons entendu jusque-là beaucoup de rumeurs qui nous ont secoués et c'est pour cela que nous avons tenu à réagir », a confié M. Robert Peck. Il est vrai que récemment, l'ambassade du Canada a expliqué, dans un communiqué de presse, à l'opinion publique, que la pomme de terre de table importée du Canada, destinée à la consommation des ménages, et arrivée en Algérie cet été, a été cultivée, récoltée et entreposée en respectant rigoureusement les normes. Ainsi, selon M. Robert Peck, la pomme de terre a été soumise à une inspection avant d'être chargée sur des bateaux et a été inspectée une nouvelle fois par les autorités algériennes une fois parvenue au port. Concernant les dix tonnes avariées saisies, M. Robert Peck a pointé du doigt le mauvais entreposage d'un acheteur qui s'est aventuré dans la spéculation. Il est clair à ce sujet que la pomme de terre étant, en effet, un aliment périssable, il est essentiel de l'entreposer dans des conditions appropriées et d'assurer un bon entreposage quotidien. « La responsabilité du Canada s'arrête une fois la pomme de terre arrivée au port. Et comme il n'y a pas eu de problème à la douane, c'est donc à l'acheteur algérien qu'incombe la responsabilité de veiller à la pérennité de la qualité de la pomme de terre une fois sur le marché. De notre côté, nous avons toujours assuré que les quantités importées ont été bien prises en charge jusqu'à leur arrivée au port », a-t-il encore expliqué. Quant au volet économique, l'ex désormais ambassadeur canadien a insisté sur le fait qu'aucune compagnie canadienne installée en Algérie n'a décidé de rapatrier ses cadres. « Les compagnies canadiennes ont toujours travaillé dans les moments les plus difficiles en Algérie. Même si la sécurité reste une préoccupation majeure, je peux vous assurer que nous n'avons reçu aucune réaction particulière de la part de nos compagnies depuis les récents attentats », a-t-il précisé. L'Algérie qui demeure le premier partenaire commercial du Canada en Afrique attise de plus en plus les convoitises des sociétés canadiennes qui y voient un marché potentiel. Les cas de la SNC LAVALIN et de Dassault Soprin est, aux yeux de M. Robert Peck, une très bonne illustration. « Le secteur minier en Algérie est encore vierge et le secteur sanitaire intéresse beaucoup les investisseurs canadiens dont l'expertise et les capacités de gestion en font des partenaires stratégiques », a-t-il affirmé. Concernant enfin les visas, M. Robert Peck a relevé une croissance de 37 % de demandes en 2006. C'est pour cela que prochainement, un service de courrier qui facilite le dépôt de la demande sera mis sur pied. Un système de convocation sur rendez-vous sera également mis en œuvre dans les jours à venir. Il est à signaler également que le diplomate a mis en garde les demandeurs algériens contre les agents non autorisés ou des organismes gouvernementaux canadiens fictifs qui leur demandent de payer des sommes importantes en échange de visas canadiens. Quant à ligne aérienne direct Alger/Montréal, elle demeure pour M. Robert Peck le symbole même du renforcement des relations bilatérales entre l'Algérie et le Canada. C'est lors d'une rencontre amicale avec les représentants de la presse nationale, organisée hier à la résidence officielle de l'ambassadeur du Canada, que M. Robert Peck est intervenu à propos de plusieurs sujets d'actualité relevant des relations algéro-canadiennes. A cette occasion, l'ambassadeur du Canada qui a présenté ses adieux au président de la République le 3 octobre après 3 ans passés en Algérie, nous a éclairés la lanterne sur plusieurs questions relevant de la coopération bilatérale entre les deux pays. Concernant la pomme de terre qui a fait l'actualité nationale ces derniers mois, M. Robert Peck a encore mis en évidence « La réputation mondiale et la très bonne qualité du tubercule canadien. » « Sachez que nous ne donnons pas cette pomme de terre aux animaux. Nous avons entendu jusque-là beaucoup de rumeurs qui nous ont secoués et c'est pour cela que nous avons tenu à réagir », a confié M. Robert Peck. Il est vrai que récemment, l'ambassade du Canada a expliqué, dans un communiqué de presse, à l'opinion publique, que la pomme de terre de table importée du Canada, destinée à la consommation des ménages, et arrivée en Algérie cet été, a été cultivée, récoltée et entreposée en respectant rigoureusement les normes. Ainsi, selon M. Robert Peck, la pomme de terre a été soumise à une inspection avant d'être chargée sur des bateaux et a été inspectée une nouvelle fois par les autorités algériennes une fois parvenue au port. Concernant les dix tonnes avariées saisies, M. Robert Peck a pointé du doigt le mauvais entreposage d'un acheteur qui s'est aventuré dans la spéculation. Il est clair à ce sujet que la pomme de terre étant, en effet, un aliment périssable, il est essentiel de l'entreposer dans des conditions appropriées et d'assurer un bon entreposage quotidien. « La responsabilité du Canada s'arrête une fois la pomme de terre arrivée au port. Et comme il n'y a pas eu de problème à la douane, c'est donc à l'acheteur algérien qu'incombe la responsabilité de veiller à la pérennité de la qualité de la pomme de terre une fois sur le marché. De notre côté, nous avons toujours assuré que les quantités importées ont été bien prises en charge jusqu'à leur arrivée au port », a-t-il encore expliqué. Quant au volet économique, l'ex désormais ambassadeur canadien a insisté sur le fait qu'aucune compagnie canadienne installée en Algérie n'a décidé de rapatrier ses cadres. « Les compagnies canadiennes ont toujours travaillé dans les moments les plus difficiles en Algérie. Même si la sécurité reste une préoccupation majeure, je peux vous assurer que nous n'avons reçu aucune réaction particulière de la part de nos compagnies depuis les récents attentats », a-t-il précisé. L'Algérie qui demeure le premier partenaire commercial du Canada en Afrique attise de plus en plus les convoitises des sociétés canadiennes qui y voient un marché potentiel. Les cas de la SNC LAVALIN et de Dassault Soprin est, aux yeux de M. Robert Peck, une très bonne illustration. « Le secteur minier en Algérie est encore vierge et le secteur sanitaire intéresse beaucoup les investisseurs canadiens dont l'expertise et les capacités de gestion en font des partenaires stratégiques », a-t-il affirmé. Concernant enfin les visas, M. Robert Peck a relevé une croissance de 37 % de demandes en 2006. C'est pour cela que prochainement, un service de courrier qui facilite le dépôt de la demande sera mis sur pied. Un système de convocation sur rendez-vous sera également mis en œuvre dans les jours à venir. Il est à signaler également que le diplomate a mis en garde les demandeurs algériens contre les agents non autorisés ou des organismes gouvernementaux canadiens fictifs qui leur demandent de payer des sommes importantes en échange de visas canadiens. Quant à ligne aérienne direct Alger/Montréal, elle demeure pour M. Robert Peck le symbole même du renforcement des relations bilatérales entre l'Algérie et le Canada.