Le président américain George W. Bush a reçu hier la chancelière allemande Angela Merkel, pour deux jours de discussions consacrées principalement à l'Iran et à l'Afghanistan. Ils devraient notamment y évoquer les efforts diplomatiques au sujet du programme nucléaire de l'Iran, que les Occidentaux soupçonnent d'être destiné à la fabrication de l'arme atomique. La secrétaire d'Etat américaine Condoleezza Rice devait se joindre à eux pour évoquer le processus de paix au Moyen-Orient, les efforts pour stabiliser l'Afghanistan, l'avenir du Kosovo, la Birmanie et la crise politique au Liban. «Stratégiquement, nous sommes sur la même longueur d'onde. Tactiquement, il y a quelques légères différences», a déclaré le porte-parole du Conseil national de sécurité de la Maison Blanche, Gordon Johndroe, qui a minimisé la probabilité d'une avancée majeure. Les deux leaders devaient faire valoir «la nécessité de continuer sur la voie diplomatique avec l'Iran», en dépit du ton belliqueux de Washington et des craintes d'une guerre alimentées par de nouvelles sanctions américaines contre la République islamique, a expliqué M. Johndroe. «Je veux une solution diplomatique et ferai tout pour y arriver», avait déclaré de son côté la chancelière allemande dans le quotidien Berliner Zeitung. L'Afghanistan, où quelque 3.000 soldats de la Bundeswehr sont déployés dans le nord du pays, fait aussi partie des sujets épineux, même si le porte-parole a refusé de réitérer les critiques américaines contre son partenaire allemand au sein de l'Otan, qui a refusé de déployer ses soldats dans le sud pour combattre l'insurrection talibane. Les relations entre les Etats-Unis et l'Allemagne s'étaient nettement refroidies sous le mandat du prédécesseur de Mme Merkel, Gerhard Schröder, qui s'était fermement opposé à l'invasion de l'Irak en 2003. Le président américain George W. Bush a reçu hier la chancelière allemande Angela Merkel, pour deux jours de discussions consacrées principalement à l'Iran et à l'Afghanistan. Ils devraient notamment y évoquer les efforts diplomatiques au sujet du programme nucléaire de l'Iran, que les Occidentaux soupçonnent d'être destiné à la fabrication de l'arme atomique. La secrétaire d'Etat américaine Condoleezza Rice devait se joindre à eux pour évoquer le processus de paix au Moyen-Orient, les efforts pour stabiliser l'Afghanistan, l'avenir du Kosovo, la Birmanie et la crise politique au Liban. «Stratégiquement, nous sommes sur la même longueur d'onde. Tactiquement, il y a quelques légères différences», a déclaré le porte-parole du Conseil national de sécurité de la Maison Blanche, Gordon Johndroe, qui a minimisé la probabilité d'une avancée majeure. Les deux leaders devaient faire valoir «la nécessité de continuer sur la voie diplomatique avec l'Iran», en dépit du ton belliqueux de Washington et des craintes d'une guerre alimentées par de nouvelles sanctions américaines contre la République islamique, a expliqué M. Johndroe. «Je veux une solution diplomatique et ferai tout pour y arriver», avait déclaré de son côté la chancelière allemande dans le quotidien Berliner Zeitung. L'Afghanistan, où quelque 3.000 soldats de la Bundeswehr sont déployés dans le nord du pays, fait aussi partie des sujets épineux, même si le porte-parole a refusé de réitérer les critiques américaines contre son partenaire allemand au sein de l'Otan, qui a refusé de déployer ses soldats dans le sud pour combattre l'insurrection talibane. Les relations entre les Etats-Unis et l'Allemagne s'étaient nettement refroidies sous le mandat du prédécesseur de Mme Merkel, Gerhard Schröder, qui s'était fermement opposé à l'invasion de l'Irak en 2003.