Les six établissements concernés, BNP Paribas, Santander, Banques populaires, Société Générale, Crédit agricole et Citibank auront jusqu'à la fin de ce mois pour déposer leurs offres technique et financière. Les six établissements concernés, BNP Paribas, Santander, Banques populaires, Société Générale, Crédit agricole et Citibank auront jusqu'à la fin de ce mois pour déposer leurs offres technique et financière. La privatisation du Crédit populaire d'Algérie (CPA) est entrée dans la dernière ligne droite. En effet, après la remise des documents juridiques (contrat de concession, pacte d'actionnaire) aux six banques étrangères candidates au rachat de 51 % du capital de cette banque publique, ces dernières seront dans l'obligation de déposer leurs offres technique et financière avant la fin du mois de novembre, a affirmé, hier à Alger, M. Mohamed Djelab, Président-directeur général du CPA et Présient de l'Association des banques et des établissements financiers (ABEF). De ce fait, les six établissements concernés, notamment, BNP Paribas, Santander, Banques populaires, Société générale, Crédit agricole et Citibank auront jusqu'à la fin de ce mois pour déposer leurs offres technique et financière. Par ailleurs, intervenant lors d'une rencontre organisée par l'ABEF portant sur le développement du capital investissement au Maghreb, M. Djelab a réitéré l'importance des crédits d'investissement dans le développement des Petites et moyennes entreprises dans les pays du Maghreb. Entièrement d'accord avec les propos de M. Djelab, Mme Fatiha Mentouri, ministre délégué à la Réforme financière et bancaire a affirmé que «les banques en Algérie sont des bailleurs de fonds, elles représentent 80% des crédits corporates soit près de 18 millions d'euros». Concernant le crédit investissement, Mme Mentouri a souligné que «le capital investissement est un maillon fort pour l'intégration financière maghrébine». Pour sa part, M. Othman Benjeloun, président de l'Union des Banques maghrébines a plaidé, lors de son intervention, à la constitution et le renforcement de la coopération maghrébine dans le domaine financier. A ce sujet, M. Benjeloun s'est interrogé sur les raisons qui empêchent les Maghrébines «à constituer un regroupement économique et financier fort au moment où les investissements internationaux concédèrent le bloc du Maghreb», a souligné le responsable, évoquant ainsi la finalisation du projet concernant la création d'une banque maghrébine de l'investissement et du commerce extérieur, l'élaboration des conventions d'incitation à l'investissement entre les Etats du Maghreb, et enfin le projet d'interopérabilité de la monétique maghrébine qui consiste en «une voie sur l'intégration financière maghrébine». Sur ces points, et en marge de la tenue de la réunion du conseil administratif de l'UBM, M. Abderrahmane Benkhalfa, secrétaire général de Abef, a affirmé qu'au cours de cette réunion, les banquiers ont adopté des réformes de 2e génération, concernant, notamment, l'adoption des règles de bale 2 pour ce qui est de la survenance bancaire, la réflexion sur l'instauration d'une monnaie unique à long terme, les possibilités de création d'une académie maghrébine la formation bancaire, le renforcement des relations directes entre les banques maghrébines sans passer par les banques étrangères, la consolidation d'une fusion financière et économique entre les pays du Maghreb ainsi que dans le financement des petites et moyennes entreprises. La privatisation du Crédit populaire d'Algérie (CPA) est entrée dans la dernière ligne droite. En effet, après la remise des documents juridiques (contrat de concession, pacte d'actionnaire) aux six banques étrangères candidates au rachat de 51 % du capital de cette banque publique, ces dernières seront dans l'obligation de déposer leurs offres technique et financière avant la fin du mois de novembre, a affirmé, hier à Alger, M. Mohamed Djelab, Président-directeur général du CPA et Présient de l'Association des banques et des établissements financiers (ABEF). De ce fait, les six établissements concernés, notamment, BNP Paribas, Santander, Banques populaires, Société générale, Crédit agricole et Citibank auront jusqu'à la fin de ce mois pour déposer leurs offres technique et financière. Par ailleurs, intervenant lors d'une rencontre organisée par l'ABEF portant sur le développement du capital investissement au Maghreb, M. Djelab a réitéré l'importance des crédits d'investissement dans le développement des Petites et moyennes entreprises dans les pays du Maghreb. Entièrement d'accord avec les propos de M. Djelab, Mme Fatiha Mentouri, ministre délégué à la Réforme financière et bancaire a affirmé que «les banques en Algérie sont des bailleurs de fonds, elles représentent 80% des crédits corporates soit près de 18 millions d'euros». Concernant le crédit investissement, Mme Mentouri a souligné que «le capital investissement est un maillon fort pour l'intégration financière maghrébine». Pour sa part, M. Othman Benjeloun, président de l'Union des Banques maghrébines a plaidé, lors de son intervention, à la constitution et le renforcement de la coopération maghrébine dans le domaine financier. A ce sujet, M. Benjeloun s'est interrogé sur les raisons qui empêchent les Maghrébines «à constituer un regroupement économique et financier fort au moment où les investissements internationaux concédèrent le bloc du Maghreb», a souligné le responsable, évoquant ainsi la finalisation du projet concernant la création d'une banque maghrébine de l'investissement et du commerce extérieur, l'élaboration des conventions d'incitation à l'investissement entre les Etats du Maghreb, et enfin le projet d'interopérabilité de la monétique maghrébine qui consiste en «une voie sur l'intégration financière maghrébine». Sur ces points, et en marge de la tenue de la réunion du conseil administratif de l'UBM, M. Abderrahmane Benkhalfa, secrétaire général de Abef, a affirmé qu'au cours de cette réunion, les banquiers ont adopté des réformes de 2e génération, concernant, notamment, l'adoption des règles de bale 2 pour ce qui est de la survenance bancaire, la réflexion sur l'instauration d'une monnaie unique à long terme, les possibilités de création d'une académie maghrébine la formation bancaire, le renforcement des relations directes entre les banques maghrébines sans passer par les banques étrangères, la consolidation d'une fusion financière et économique entre les pays du Maghreb ainsi que dans le financement des petites et moyennes entreprises.