Il pleuvait sans discontinuer ce jeudi 29 novembre 2007, jour des élections locales. Evénement heureux pour les agriculteurs, ces intempéries n'ont pas arrangé les affaires des candidats. Et pour cause, les chutes de pluie ont quelque peu empêché les citoyens d'aller voter massivement. Dans les premières heures de la matinée, il n'y a pas eu de grande affluence dans les bureaux de vote. Les électeurs attendaient peut-être une éclaircie du ciel pour aller accomplir leur devoir électoral. Au centre de vote « El Djamila » de Ain Benian, les premiers votants sont arrivés vers 9 heures, prés d'une heure après l'ouverture des bureaux. Cela dit, à aucun moment de la journée il n'y eut rush. Comme à l'accoutumée, la matinée est « réservée » aux hommes. De petits groupes d'électeurs bravaient la pluie et, les averses aidant, se « précipitaient » vers les bureaux de vote. Les fortes précipitations ont continué à s'abattre durant de longues heures. Il a fallu attendre une petite accalmie pour voir enfin les femmes de ladite commune se diriger, à leur tour, vers les établissements scolaires. Rencontrée à l'entrée de l'école primaire El Djamila, Yamina, sexagénaire, avoue être une habituée du vote. « Je n'ai raté aucun rendez-vous électoral », soutient-elle, en exhibant une carte de vote surchargée de cachets. « Ce geste civique » permettra, selon elle, « à assurer un avenir meilleur pour les jeunes ». La veille femme s'est ensuite dirigée vers l'urne, fière d'ajouter un autre tampon sur sa carte d'électeur. Plus loin, dans un autre centre de vote, Hayet, Radia et Karima, récemment inscrites sur la liste électorale, étaient au rendez-vous. Elles estiment que le vote est un devoir et qu'il ne faut pas s'abstenir. « Il faut choisir l'homme qui pourra œuvrer pour le bien de la commune et qui s'occupera des besoins de la population notamment des préoccupations de la jeunesse », ont-elles affirmé. En fin d'après midi, les bureaux de vote ont commencé à enregistrer une affluence plus ou moins importante. A 19 heures tapantes, les bureaux ont fermé leurs portes pour effectuer le dépouillement sous l'œil des observateurs et représentants des partis politiques. Il pleuvait sans discontinuer ce jeudi 29 novembre 2007, jour des élections locales. Evénement heureux pour les agriculteurs, ces intempéries n'ont pas arrangé les affaires des candidats. Et pour cause, les chutes de pluie ont quelque peu empêché les citoyens d'aller voter massivement. Dans les premières heures de la matinée, il n'y a pas eu de grande affluence dans les bureaux de vote. Les électeurs attendaient peut-être une éclaircie du ciel pour aller accomplir leur devoir électoral. Au centre de vote « El Djamila » de Ain Benian, les premiers votants sont arrivés vers 9 heures, prés d'une heure après l'ouverture des bureaux. Cela dit, à aucun moment de la journée il n'y eut rush. Comme à l'accoutumée, la matinée est « réservée » aux hommes. De petits groupes d'électeurs bravaient la pluie et, les averses aidant, se « précipitaient » vers les bureaux de vote. Les fortes précipitations ont continué à s'abattre durant de longues heures. Il a fallu attendre une petite accalmie pour voir enfin les femmes de ladite commune se diriger, à leur tour, vers les établissements scolaires. Rencontrée à l'entrée de l'école primaire El Djamila, Yamina, sexagénaire, avoue être une habituée du vote. « Je n'ai raté aucun rendez-vous électoral », soutient-elle, en exhibant une carte de vote surchargée de cachets. « Ce geste civique » permettra, selon elle, « à assurer un avenir meilleur pour les jeunes ». La veille femme s'est ensuite dirigée vers l'urne, fière d'ajouter un autre tampon sur sa carte d'électeur. Plus loin, dans un autre centre de vote, Hayet, Radia et Karima, récemment inscrites sur la liste électorale, étaient au rendez-vous. Elles estiment que le vote est un devoir et qu'il ne faut pas s'abstenir. « Il faut choisir l'homme qui pourra œuvrer pour le bien de la commune et qui s'occupera des besoins de la population notamment des préoccupations de la jeunesse », ont-elles affirmé. En fin d'après midi, les bureaux de vote ont commencé à enregistrer une affluence plus ou moins importante. A 19 heures tapantes, les bureaux ont fermé leurs portes pour effectuer le dépouillement sous l'œil des observateurs et représentants des partis politiques.