Ua médiation et l'arbitrage des affaires économiques restent deux aspects très peu utilisés par nos entreprises au niveau national. Ce sont, pourtant, des outils d'une très grande importance pour les opérateurs économiques puisqu'ils leur offrent les moyen de gérer au mieux les conflits dans la perspective de solutions rapides, durables et, surtout, peu coûteuses. Les spécialistes de l'arbitrage économique ont animé, hier, un séminaire, organisé par la Chambre Algéro-Allemande sur le règlement des conflits du commerce et et de l'industrie. Ils associent la méconnaissance de ce secteur au fait que les cabinets nationaux d'arbitrages sont systématiquement écartés par les grands groupes publics algériens au profit de cabinets étrangers. « C'est le cas actuellement de la Sonatrach qui a confié son dossier à un cabinet d'avocats parisien pour la représenter dans le conflit avec les pétroliers espagnoles», souligne maître Farid Benbelkacem, en sa qualité de représentant de la Chambre algérienne du commerce et et de l'industrie (Caci). Le conférencier s'est interrogé sur les vraies raisons de la non-implication des compétences algériennes lors des règlements des nombreux conflits qui ont opposé la Sonatrach à des entreprises étrangères. « Lors de ces conflits, la Sonatrach qui est un groupe public, représentant de l'Etat algérien a toujours fait appel aux services des cabinets étrangers », a affirmé le responsable. Sur le registre de la formation des professionnels d'intermédiation économique, la Caci a commencé, et ce, depuis la création du Centre national d'intermédiation, à travailler dans le but d'inciter les entreprises algériennes à utiliser ces deux alternatives comme solution aux conflits, a indiqué le responsable. «A cet effet, un premier séminaire organisé en collaboration avec la Chambre du commerce internationale de Paris a permi la formation de plus de 40 médiateurs», a souligné M. Benbelkacem. Concernant le thème du séminaire qui porte sur « la médiation dans l'économie, une bonne alternative comme solution aux conflits », M. Benbelkacem a expliqué que la médiation est « d'essayer de trouver une tierce personne qui soit indépendante de l'ensemble des parties et qui puisse les aider à trouver des solutions à leurs différends. La médiation économique est l'avenir pour l'Algérie, a indiqué M. Benbelkacem. Et d'ajouter : « le tissu industriel, économique et social actuel de l'Algérie est constitué d'un ensemble PME et PMI. Or ces entreprises painent des lourdeurs de la justice, d'où l'intérêt d'utiliser ces deux alternatives, à savoir la médiation et l'arbitrage économique ». De sont côté, le Directeur de la chambre algéro-allemande du commerce et d'industrie, a affirmé que « pour assurer un transfert de la technologie ou de savoir-faire durable ou bien des joint-ventures d'investissement, il faut des partenaires très stables »… « La médiation offre à notre avis une très bonne alternative aux voies de solutions traditionnelles aux conflits, notamment, les procédures devant les juridictions officielles ». Ua médiation et l'arbitrage des affaires économiques restent deux aspects très peu utilisés par nos entreprises au niveau national. Ce sont, pourtant, des outils d'une très grande importance pour les opérateurs économiques puisqu'ils leur offrent les moyen de gérer au mieux les conflits dans la perspective de solutions rapides, durables et, surtout, peu coûteuses. Les spécialistes de l'arbitrage économique ont animé, hier, un séminaire, organisé par la Chambre Algéro-Allemande sur le règlement des conflits du commerce et et de l'industrie. Ils associent la méconnaissance de ce secteur au fait que les cabinets nationaux d'arbitrages sont systématiquement écartés par les grands groupes publics algériens au profit de cabinets étrangers. « C'est le cas actuellement de la Sonatrach qui a confié son dossier à un cabinet d'avocats parisien pour la représenter dans le conflit avec les pétroliers espagnoles», souligne maître Farid Benbelkacem, en sa qualité de représentant de la Chambre algérienne du commerce et et de l'industrie (Caci). Le conférencier s'est interrogé sur les vraies raisons de la non-implication des compétences algériennes lors des règlements des nombreux conflits qui ont opposé la Sonatrach à des entreprises étrangères. « Lors de ces conflits, la Sonatrach qui est un groupe public, représentant de l'Etat algérien a toujours fait appel aux services des cabinets étrangers », a affirmé le responsable. Sur le registre de la formation des professionnels d'intermédiation économique, la Caci a commencé, et ce, depuis la création du Centre national d'intermédiation, à travailler dans le but d'inciter les entreprises algériennes à utiliser ces deux alternatives comme solution aux conflits, a indiqué le responsable. «A cet effet, un premier séminaire organisé en collaboration avec la Chambre du commerce internationale de Paris a permi la formation de plus de 40 médiateurs», a souligné M. Benbelkacem. Concernant le thème du séminaire qui porte sur « la médiation dans l'économie, une bonne alternative comme solution aux conflits », M. Benbelkacem a expliqué que la médiation est « d'essayer de trouver une tierce personne qui soit indépendante de l'ensemble des parties et qui puisse les aider à trouver des solutions à leurs différends. La médiation économique est l'avenir pour l'Algérie, a indiqué M. Benbelkacem. Et d'ajouter : « le tissu industriel, économique et social actuel de l'Algérie est constitué d'un ensemble PME et PMI. Or ces entreprises painent des lourdeurs de la justice, d'où l'intérêt d'utiliser ces deux alternatives, à savoir la médiation et l'arbitrage économique ». De sont côté, le Directeur de la chambre algéro-allemande du commerce et d'industrie, a affirmé que « pour assurer un transfert de la technologie ou de savoir-faire durable ou bien des joint-ventures d'investissement, il faut des partenaires très stables »… « La médiation offre à notre avis une très bonne alternative aux voies de solutions traditionnelles aux conflits, notamment, les procédures devant les juridictions officielles ».