Il s'agit d'une grève de la faim déclenchée par ceux soumis au régime de la détention préventive. Il s'agit d'une grève de la faim déclenchée par ceux soumis au régime de la détention préventive. Des détenus de la prison d'El Harrach, au nombre indéterminé sont en colère. Ils ont ainsi déclenché une mouvement de protestation dès samedi passé, apprend-on de sources bien informées. Selon ces mêmes sources, il s'agit d'une grève de la faim déclenchée par ceux soumis au régime de la détention préventive, dont font partie ceux de droit commun et de la «spéciale» c'est-à-dire ceux impliqués dans des affaires de terrorisme. Le ministre de la Justice, garde des Sceaux, Tayeb Belaiz, aurait dépêché le directeur général de l'administration pénitentiaire, Mokhtar Felioune, à la prison d'El Harrach pour s'enquérir de la situation et tenter d'apaiser la grogne des détenus. Toutes nos tentatives de joindre ce cadre du ministère se sont avérées vaines. Au niveau de son secrétariat, on nous a indiqué à chaque fois, qu'il était en réunion. La détention préventive, qui se veut une exception et non une règle, est souvent décriée par nombre de juristes et de défenseurs des droits de l'Homme. Des dizaines de prisonniers voire plus subissent des détentions prolongées qui dépassent quelquefois les 3 années pour certains d'entre eux. Une situation qui a souvent mis à mal les pouvoirs publics. Selon Tayeb Belaiz, ministre de la Justice, garde des Sceaux, la détention préventive ne concerne que 10% de l'ensemble des détenus. Un chiffre qu'il a jugé, dans une de ses déclarations, acceptable. Ainsi, il a estimé qu'entre 2001 et 2005 11,20% seulement des décisions portant détention préventive ont été annulées par les chambres d'accusation, suite aux cassations introduites par les accusés. Selon lui, cela démontre que « les juges d'instruction ne prononcent les décisions de détention préventive qu'après avoir réuni suffisamment de preuves dans les dossiers des accusés, ce qui amène d'ailleurs les chambres d'accusation à confirmer dans la plupart des cas, ces décisions ». Des détenus de la prison d'El Harrach, au nombre indéterminé sont en colère. Ils ont ainsi déclenché une mouvement de protestation dès samedi passé, apprend-on de sources bien informées. Selon ces mêmes sources, il s'agit d'une grève de la faim déclenchée par ceux soumis au régime de la détention préventive, dont font partie ceux de droit commun et de la «spéciale» c'est-à-dire ceux impliqués dans des affaires de terrorisme. Le ministre de la Justice, garde des Sceaux, Tayeb Belaiz, aurait dépêché le directeur général de l'administration pénitentiaire, Mokhtar Felioune, à la prison d'El Harrach pour s'enquérir de la situation et tenter d'apaiser la grogne des détenus. Toutes nos tentatives de joindre ce cadre du ministère se sont avérées vaines. Au niveau de son secrétariat, on nous a indiqué à chaque fois, qu'il était en réunion. La détention préventive, qui se veut une exception et non une règle, est souvent décriée par nombre de juristes et de défenseurs des droits de l'Homme. Des dizaines de prisonniers voire plus subissent des détentions prolongées qui dépassent quelquefois les 3 années pour certains d'entre eux. Une situation qui a souvent mis à mal les pouvoirs publics. Selon Tayeb Belaiz, ministre de la Justice, garde des Sceaux, la détention préventive ne concerne que 10% de l'ensemble des détenus. Un chiffre qu'il a jugé, dans une de ses déclarations, acceptable. Ainsi, il a estimé qu'entre 2001 et 2005 11,20% seulement des décisions portant détention préventive ont été annulées par les chambres d'accusation, suite aux cassations introduites par les accusés. Selon lui, cela démontre que « les juges d'instruction ne prononcent les décisions de détention préventive qu'après avoir réuni suffisamment de preuves dans les dossiers des accusés, ce qui amène d'ailleurs les chambres d'accusation à confirmer dans la plupart des cas, ces décisions ».