L'indignation était unanime, les suites aux réactions officielles enregistrées hier, condamnant vivement les deux attentats qui ont ciblé le Conseil constitutionnel et la représentation onusienne à Hydra. Ils ne sauraient «se justifier», selon la déclaration du Chef du gouvernement. «Rien ne peut justifier le crime» déclarait le Chef du gouvernement à partir de l'hôpital de Beni-Messous, où il s'est rendu au chevet des blessés. Belkhadem était consterné par la gravité de cet acte ignoble qui a fauché la vie à des dizaines de victimes innocentes. «C'est une atteinte à la réconciliation nationale», selon les termes de la déclaration officielle du secrétaire général de l'Ugta, rendue publique dans la journée. Pour le secrétaire général de l'organisation syndicale Abdelmadjid Sidi Said, ce double attentat est un acte qui vise à «porter atteinte à la réconciliation nationale», soit au choix souverain du peuple algérien, déterminant «pour la paix et le développement de notre pays». Exprimant au nom de la direction nationale, des cadres et des travailleurs algériens, la profonde émotion du monde, M. Sidi Said a qualifié cet acte de «criminel», car il porte «la signature de l'extrémisme» et vise «à créer un climat de violence propice à toute les manœuvres malsaines et déstabilisatrices». L'indignation et la consternation ont été, par ailleurs, officiellement exprimées par les responsables des partis politiques dont le Parti des travailleurs qui a, dans une déclaration, considéré que c'était tout simplement «horrible», se demandant à quoi obéit un tel acharnement et en ce temps précis. Pour la porte-parole du PT, il est «évident que les commanditaires n'acceptent justement pas le fait que l'irréparable ne se soit pas produit dans notre pays malgré la gravité de la crise qui la meurtri» Le parti des Travailleurs n'écarte pas dans son analyse des faits que «ces attentats semblent synchronisés avec des événements politiques importants», se demandant alors, «à quel centre d'intérêt profite ces attentats qui visent à déstabiliser le pays, au moment où précisément les élections locales se sont déroulées dans la sérénité démontrant une progression indiscutable dans le retour effectif des conditions normales de l'exercice de la politique et que des questions importantes d'ordre politiques et économiques sont soulevées» ? Aucun intérêt particulier qu'il soit local ou étranger «ne saurait justifier ce massacre d'une telle barbarie», comme, il n'existe aucun algérien «digne de ce nom qui puisse accepter que le pays sombre à nouveau dans la tourmente, après tant de souffrance». Le communiqué conclut par un appel à la mobilisation de toutes les forces vives de la nation pour défendre «l'intégrité et la souveraineté nationale». Le syndicat national des magistrats, de son côté, a tenu à dénoncer ces attentats dont un a ciblé une haute institution nationale à savoir le Conseil constitutionnel estimant que ce crime « odieux ne sert que les intérêts des ennemis de l'islam, de l'Algérie et de son peuple en particulier» réaffirmant officiellement l'engagement de la corporation à «poursuivre la construction d'un Etat de droit et de justice et d'appréhender les criminels et leurs commanditaires à l'intérieur comme à l'extérieur du pays». L'indignation était unanime, les suites aux réactions officielles enregistrées hier, condamnant vivement les deux attentats qui ont ciblé le Conseil constitutionnel et la représentation onusienne à Hydra. Ils ne sauraient «se justifier», selon la déclaration du Chef du gouvernement. «Rien ne peut justifier le crime» déclarait le Chef du gouvernement à partir de l'hôpital de Beni-Messous, où il s'est rendu au chevet des blessés. Belkhadem était consterné par la gravité de cet acte ignoble qui a fauché la vie à des dizaines de victimes innocentes. «C'est une atteinte à la réconciliation nationale», selon les termes de la déclaration officielle du secrétaire général de l'Ugta, rendue publique dans la journée. Pour le secrétaire général de l'organisation syndicale Abdelmadjid Sidi Said, ce double attentat est un acte qui vise à «porter atteinte à la réconciliation nationale», soit au choix souverain du peuple algérien, déterminant «pour la paix et le développement de notre pays». Exprimant au nom de la direction nationale, des cadres et des travailleurs algériens, la profonde émotion du monde, M. Sidi Said a qualifié cet acte de «criminel», car il porte «la signature de l'extrémisme» et vise «à créer un climat de violence propice à toute les manœuvres malsaines et déstabilisatrices». L'indignation et la consternation ont été, par ailleurs, officiellement exprimées par les responsables des partis politiques dont le Parti des travailleurs qui a, dans une déclaration, considéré que c'était tout simplement «horrible», se demandant à quoi obéit un tel acharnement et en ce temps précis. Pour la porte-parole du PT, il est «évident que les commanditaires n'acceptent justement pas le fait que l'irréparable ne se soit pas produit dans notre pays malgré la gravité de la crise qui la meurtri» Le parti des Travailleurs n'écarte pas dans son analyse des faits que «ces attentats semblent synchronisés avec des événements politiques importants», se demandant alors, «à quel centre d'intérêt profite ces attentats qui visent à déstabiliser le pays, au moment où précisément les élections locales se sont déroulées dans la sérénité démontrant une progression indiscutable dans le retour effectif des conditions normales de l'exercice de la politique et que des questions importantes d'ordre politiques et économiques sont soulevées» ? Aucun intérêt particulier qu'il soit local ou étranger «ne saurait justifier ce massacre d'une telle barbarie», comme, il n'existe aucun algérien «digne de ce nom qui puisse accepter que le pays sombre à nouveau dans la tourmente, après tant de souffrance». Le communiqué conclut par un appel à la mobilisation de toutes les forces vives de la nation pour défendre «l'intégrité et la souveraineté nationale». Le syndicat national des magistrats, de son côté, a tenu à dénoncer ces attentats dont un a ciblé une haute institution nationale à savoir le Conseil constitutionnel estimant que ce crime « odieux ne sert que les intérêts des ennemis de l'islam, de l'Algérie et de son peuple en particulier» réaffirmant officiellement l'engagement de la corporation à «poursuivre la construction d'un Etat de droit et de justice et d'appréhender les criminels et leurs commanditaires à l'intérieur comme à l'extérieur du pays».