«Nous ne serons pas intimidés, toutes les agences de l'ONU vont continuer à travailler en Algérie», a déclaré Ban Ki-moon, SG de l'ONU, lors d'un point de presse à l'aéroport avant de quitter Alger, à l'issue d'une visite d'une journée. Le programme de cette visite éclair était très chargé pour le premier responsable de l'organisation onusienne qui s'est entretenu avec de hauts responsables de l'Etat avant d'être reçu, longuement, par le Président de la République, Abdelaziz Bouteflika. «Nous avons décidé de travailler de manière étroite pour combattre le terrorisme international», a déclaré M. Ban à l'issue de cette audience, ajoutant qu'il était «très choqué» par ces attentats et qu'il était à Alger pour «affirmer la solidarité de l'ONU à l'Algérie». Le secrétaire général de l'ONU avait, à son arrivée à Alger, fermement condamné le terrorisme, soulignant que «le terrorisme n'est jamais justifiable, il doit être condamné au nom de l'humanité et au nom de la communauté internationale». Il a estimé «important» que l'Algérie et l'ONU «travaillent ensemble et étroitement pour lutter contre le terrorisme». Il a également exprimé «au gouvernement et au peuple algériens ses sincères condoléances, ainsi que pour les familles des victimes et ses collègues des Nations unies» touchés par les deux attentats perpétrés le 11 décembre. Dès son arrivée à Alger, M. Ban s'est rendu à Hydra aux sièges dévastés du HCR et du PNUD dont il a fait le tour en écoutant les explications du ministre de la Solidarité nationale, Djamel Ould Abbès. Il a ensuite rencontré, à la résidence d'Etat Djenane El-Mithak, le personnel de l'ONU et les familles des employés tués dans l'attentat, puis s'est entretenu avec le ministre des Affaires étrangères, Mourad Médelci. «Je suis encore sous le choc de ce que j'ai vu. L'impact a été terrifiant», a déclaré le SG de l'ONU au cours de cette visite sur les lieux de l'attentat. Les sièges du HCR et du PNUD, abritaient 145 employés, dont 115 Algériens et 30 fonctionnaires étrangers. Evoquant les différents programmes des agences onusiennes en Algérie, Ban Ki-Moon a réaffirmé la solidarité de l'ONU avec le peuple algérien dans «sa tâche noble et difficile» contre le terrorisme, précisant que «le terrorisme n'est jamais justifiable». Pour le SG de l'ONU, le terrorisme est «un phénomène inacceptable, un crime contre l'humanité et ne sera jamais justifié», soulignant, dans ce sens, toute l'importance d'une lutte pour l'éradiquer. Par ailleurs, le secrétaire général de l'ONU a souligné que le terrorisme n'est pas un phénomène propre à un Etat ou à une région déterminée, mais «qu'il s'agit d'une menace globale nécessitant un effort global et concerté de toute la communauté internationale». Il a indiqué dans ce cadre que «les deux attaques terroristes perpétrés contre les sièges des agences de l'ONU à Hydra et celui du Conseil constitutionnel représentent «un drame immense», vécu par l'Algérie et l'ONU. Dès son retour, à New York en fin de matinée, le Secrétaire général est intervenu devant les membres du personnel, leur soulignant à quel point il avait été choqué et accablé par ce qu'il a vu à Alger et à quel point sa rencontre avec les survivants et les familles des victimes, avait été bouleversante. Cette attaque, a-t-il dit, n'avait fait que renforcer sa détermination à faire avancer la mise en œuvre de la Stratégie antiterrorisme mondiale de l'ONU et à améliorer les conditions de sécurité du personnel de l'Organisation. «Nous ne serons pas intimidés, toutes les agences de l'ONU vont continuer à travailler en Algérie», a déclaré Ban Ki-moon, SG de l'ONU, lors d'un point de presse à l'aéroport avant de quitter Alger, à l'issue d'une visite d'une journée. Le programme de cette visite éclair était très chargé pour le premier responsable de l'organisation onusienne qui s'est entretenu avec de hauts responsables de l'Etat avant d'être reçu, longuement, par le Président de la République, Abdelaziz Bouteflika. «Nous avons décidé de travailler de manière étroite pour combattre le terrorisme international», a déclaré M. Ban à l'issue de cette audience, ajoutant qu'il était «très choqué» par ces attentats et qu'il était à Alger pour «affirmer la solidarité de l'ONU à l'Algérie». Le secrétaire général de l'ONU avait, à son arrivée à Alger, fermement condamné le terrorisme, soulignant que «le terrorisme n'est jamais justifiable, il doit être condamné au nom de l'humanité et au nom de la communauté internationale». Il a estimé «important» que l'Algérie et l'ONU «travaillent ensemble et étroitement pour lutter contre le terrorisme». Il a également exprimé «au gouvernement et au peuple algériens ses sincères condoléances, ainsi que pour les familles des victimes et ses collègues des Nations unies» touchés par les deux attentats perpétrés le 11 décembre. Dès son arrivée à Alger, M. Ban s'est rendu à Hydra aux sièges dévastés du HCR et du PNUD dont il a fait le tour en écoutant les explications du ministre de la Solidarité nationale, Djamel Ould Abbès. Il a ensuite rencontré, à la résidence d'Etat Djenane El-Mithak, le personnel de l'ONU et les familles des employés tués dans l'attentat, puis s'est entretenu avec le ministre des Affaires étrangères, Mourad Médelci. «Je suis encore sous le choc de ce que j'ai vu. L'impact a été terrifiant», a déclaré le SG de l'ONU au cours de cette visite sur les lieux de l'attentat. Les sièges du HCR et du PNUD, abritaient 145 employés, dont 115 Algériens et 30 fonctionnaires étrangers. Evoquant les différents programmes des agences onusiennes en Algérie, Ban Ki-Moon a réaffirmé la solidarité de l'ONU avec le peuple algérien dans «sa tâche noble et difficile» contre le terrorisme, précisant que «le terrorisme n'est jamais justifiable». Pour le SG de l'ONU, le terrorisme est «un phénomène inacceptable, un crime contre l'humanité et ne sera jamais justifié», soulignant, dans ce sens, toute l'importance d'une lutte pour l'éradiquer. Par ailleurs, le secrétaire général de l'ONU a souligné que le terrorisme n'est pas un phénomène propre à un Etat ou à une région déterminée, mais «qu'il s'agit d'une menace globale nécessitant un effort global et concerté de toute la communauté internationale». Il a indiqué dans ce cadre que «les deux attaques terroristes perpétrés contre les sièges des agences de l'ONU à Hydra et celui du Conseil constitutionnel représentent «un drame immense», vécu par l'Algérie et l'ONU. Dès son retour, à New York en fin de matinée, le Secrétaire général est intervenu devant les membres du personnel, leur soulignant à quel point il avait été choqué et accablé par ce qu'il a vu à Alger et à quel point sa rencontre avec les survivants et les familles des victimes, avait été bouleversante. Cette attaque, a-t-il dit, n'avait fait que renforcer sa détermination à faire avancer la mise en œuvre de la Stratégie antiterrorisme mondiale de l'ONU et à améliorer les conditions de sécurité du personnel de l'Organisation.