La décision de l'UGTA de tenir le 11e congrès les 29, 30 et 31 mars de l'année prochaine a été prise par le secrétariat national, lors de sa réunion du 16 décembre dernier, alors que le syndicat accuse, au plan organique, un grand retard dans la préparation de ces assises. En effet, selon des sources syndicales, 11 unions de wilaya et 5 de fédérations n'ont pas encore organisées leur congrès. Une situation qui dure depuis de très longues années ce qui les place, de fait, en porte-à-faux avec les statuts de l'organisation. Dépourvues ainsi de légitimité, ces structures syndicales sont dans l'obligation de tenir des assises et d'élire de nouvelles directions avant d'aller au prochain congrès de la centrale qui est aussi en retard sur les échéances car devant se tenir en 2005. A la Maison Abdelhak Benhamouda, le secrétariat national a engagé une véritable course contre la montre pour être fin prêt pour le rendez-vous de mars. Ainsi une série de congrès de wilayas est au programme ces jours ci, à l'exemple de ceux de Mascara le 26 décembre, Djelfa le 30 décembre, Ain Temouchent le 6 janvier et Ain Defla le 7 janvier. Pour les autres unions de wilyas la date n'a pas encore été fixée mais les préparatifs vont bon train comme c'est le cas pour Alger dont le poids sur l'échiquier interne de l'UGTA n'est plus à démontrer. Selon Salah Djenouhat, membre du secrétariat national, contacté hier, «il se pourrait que le congrès d'Alger soit le dernier dans la série». Pour notre interlocuteur qui chapeaute le département de l'organique, «le congrès sera en tout cas tenu au moment opportun pour éviter qu'il y ait des manipulations comme il est de coutume quelquefois dans pareille circonstance». Il faut dire qu'a travers ces congrès, chaque camp à la centrale syndicale tente de placer les siens et avoir de meilleurs atouts quand sonnera l'heure de la bataille pour le leadership, d'autant que l'actuel secrétaire général, Abdelmadjid Sidi Saïd, très fragilisé par l'affaire du scandale de Khalifa Bank où il a reconnu devant la cour de Blida avoir déposé les fonds de la caisse de sécurité sociale à la banque de Abdelmoumène Khalifa, hésite, dit-on, à briguer un second mandat. La décision de l'UGTA de tenir le 11e congrès les 29, 30 et 31 mars de l'année prochaine a été prise par le secrétariat national, lors de sa réunion du 16 décembre dernier, alors que le syndicat accuse, au plan organique, un grand retard dans la préparation de ces assises. En effet, selon des sources syndicales, 11 unions de wilaya et 5 de fédérations n'ont pas encore organisées leur congrès. Une situation qui dure depuis de très longues années ce qui les place, de fait, en porte-à-faux avec les statuts de l'organisation. Dépourvues ainsi de légitimité, ces structures syndicales sont dans l'obligation de tenir des assises et d'élire de nouvelles directions avant d'aller au prochain congrès de la centrale qui est aussi en retard sur les échéances car devant se tenir en 2005. A la Maison Abdelhak Benhamouda, le secrétariat national a engagé une véritable course contre la montre pour être fin prêt pour le rendez-vous de mars. Ainsi une série de congrès de wilayas est au programme ces jours ci, à l'exemple de ceux de Mascara le 26 décembre, Djelfa le 30 décembre, Ain Temouchent le 6 janvier et Ain Defla le 7 janvier. Pour les autres unions de wilyas la date n'a pas encore été fixée mais les préparatifs vont bon train comme c'est le cas pour Alger dont le poids sur l'échiquier interne de l'UGTA n'est plus à démontrer. Selon Salah Djenouhat, membre du secrétariat national, contacté hier, «il se pourrait que le congrès d'Alger soit le dernier dans la série». Pour notre interlocuteur qui chapeaute le département de l'organique, «le congrès sera en tout cas tenu au moment opportun pour éviter qu'il y ait des manipulations comme il est de coutume quelquefois dans pareille circonstance». Il faut dire qu'a travers ces congrès, chaque camp à la centrale syndicale tente de placer les siens et avoir de meilleurs atouts quand sonnera l'heure de la bataille pour le leadership, d'autant que l'actuel secrétaire général, Abdelmadjid Sidi Saïd, très fragilisé par l'affaire du scandale de Khalifa Bank où il a reconnu devant la cour de Blida avoir déposé les fonds de la caisse de sécurité sociale à la banque de Abdelmoumène Khalifa, hésite, dit-on, à briguer un second mandat.