Les capitales du monde entier ont condamné l'assassinat "odieux" et "abominable" de Benazir Bhutto, ex-Premier ministre et leader de l'opposition pakistanaise, en espérant que la stabilité sera préservée dans le pays. Le président américain George W. Bush, qui a appelé M. Musharraf, a condamné, dès les premières heures qui ont suivi l'attentat, ce "lâche" assassinat "perpétré par des extrémistes assoiffés de sang qui essayent de miner la démocratie au Pakistan". Il a appelé également les Pakistanais à poursuivre le processus démocratique. De son côté, le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, s'est déclaré, lui aussi, "choqué et scandalisé" par ce "crime odieux", et le Conseil de sécurité de l'ONU a "condamné cet attentat dans les termes les plus forts". D'autre part, le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, a dénoncé une "attaque contre la démocratie et contre le Pakistan" alors que le président russe Vladimir Poutine a souhaité que les responsables de cet "acte terroriste barbare" soient " châtiés". Grand voisin du Pakistan, l'Inde n'a pas manqué de qualifier d'"acte abominable" l'assassinat de Benazir Bhutto. L'Iran, a condamné "l'action criminelle" et a exhorté Islamabad à ne ménager "aucun effort pour identifier le groupe terroriste à l'origine (de l'attentat) et le punir". A Londres, le Premier ministre britannique Gordon Brown a estimé que Benazir Bhutto avait été "assassinée par des lâches qui ont peur de la démocratie". Quant à Nicolas Sarkozy, il a condamné l'attentat qu'il a qualifié d"acte odieux". La chancelière allemande Angela Merkel s'est déclarée, pour sa part, "bouleversée et horrifiée par la nouvelle" de cet attentat terroriste lâche". A Rome, le Chef du gouvernement italien, Romano Prodi, a condamné également "avec indignation (...) le fanatisme" qui a coûté la vie à Benazir Bhutto. Soulignons, également, que de nombreux pays arabes et musulmans ont condamné avec vigueur et sans ambiguïté l'assassinat de Benazir Bhutto. L'Egypte a dénoncé l'attentat, appelant les forces politiques pakistanaises à "dépasser leurs dissensions". Le secrétaire général de la Ligue arabe, Amr Moussa, s'est dit, lui aussi, choqué par ce "crime haineux et terroriste". L'Algérie a souligné également que Benazir Bhutto "représentait une lueur d'espoir importante pour son peuple, dans le processus de consolidation démocratique". Les capitales du monde entier ont condamné l'assassinat "odieux" et "abominable" de Benazir Bhutto, ex-Premier ministre et leader de l'opposition pakistanaise, en espérant que la stabilité sera préservée dans le pays. Le président américain George W. Bush, qui a appelé M. Musharraf, a condamné, dès les premières heures qui ont suivi l'attentat, ce "lâche" assassinat "perpétré par des extrémistes assoiffés de sang qui essayent de miner la démocratie au Pakistan". Il a appelé également les Pakistanais à poursuivre le processus démocratique. De son côté, le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, s'est déclaré, lui aussi, "choqué et scandalisé" par ce "crime odieux", et le Conseil de sécurité de l'ONU a "condamné cet attentat dans les termes les plus forts". D'autre part, le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, a dénoncé une "attaque contre la démocratie et contre le Pakistan" alors que le président russe Vladimir Poutine a souhaité que les responsables de cet "acte terroriste barbare" soient " châtiés". Grand voisin du Pakistan, l'Inde n'a pas manqué de qualifier d'"acte abominable" l'assassinat de Benazir Bhutto. L'Iran, a condamné "l'action criminelle" et a exhorté Islamabad à ne ménager "aucun effort pour identifier le groupe terroriste à l'origine (de l'attentat) et le punir". A Londres, le Premier ministre britannique Gordon Brown a estimé que Benazir Bhutto avait été "assassinée par des lâches qui ont peur de la démocratie". Quant à Nicolas Sarkozy, il a condamné l'attentat qu'il a qualifié d"acte odieux". La chancelière allemande Angela Merkel s'est déclarée, pour sa part, "bouleversée et horrifiée par la nouvelle" de cet attentat terroriste lâche". A Rome, le Chef du gouvernement italien, Romano Prodi, a condamné également "avec indignation (...) le fanatisme" qui a coûté la vie à Benazir Bhutto. Soulignons, également, que de nombreux pays arabes et musulmans ont condamné avec vigueur et sans ambiguïté l'assassinat de Benazir Bhutto. L'Egypte a dénoncé l'attentat, appelant les forces politiques pakistanaises à "dépasser leurs dissensions". Le secrétaire général de la Ligue arabe, Amr Moussa, s'est dit, lui aussi, choqué par ce "crime haineux et terroriste". L'Algérie a souligné également que Benazir Bhutto "représentait une lueur d'espoir importante pour son peuple, dans le processus de consolidation démocratique".