La nouvelle année ouvre sur un regain de consistance du prix du baril, confirmant la tendance à la hausse qui avait atteint, au courant de l'année qui vient de s'achever, 60%, tirée à la hausse par les inquiétudes économiques et tensions géopolitiques. Hier, il a été enregistré le prix de 100 dollars le baril dans un marché craintif, des suites des événements survenus au Pakistan après l'assassinat de Benzir Buttho. En effet, dès les premières heures de l'ouverture du marché, premier de l'année, le marché londonien s'est montré particulièrement agité pour faire gagner 1,28 dollar au prix du Brent de la mer du Nord, pour les livraisons de février. Il faut dire que le Nigeria, cinquième fournisseur des Etats-Unis, avait perdu, en raison des troubles internes ces deux dernières années un quart de sa production. L'autre facteur aggravant vient des Etats-Unis qui accusent, selon les analystes, une réduction des réserves de brut de 3,15 millions de barils. Le marché, dans l'attente du rapport du département américain de l'Energie devant être rendu public aujourd'hui, est gagné par la fièvre de peur que les approvisionnements de brut ne parviennent à satisfaire la demande durant le premier trimestre de l'année. Les cours du brut pour cette nouvelle année sont donnés pour exceptionnels. Après avoir frôlé la barre des 100 dollars, le prix du baril a toutes ses chances de dépasser ce seuil, selon les analystes qui attribuent également cette hausse, outre les facteur géostratégiques précités, auxquels s'ajoute la tension sur le programme nucléaire iranien, à la situation incertaine de l'offre qui, combinée à un dollar faible, pourrait influer suffisamment sur les prix pour le faire grimper au dessus des 100 dollars le baril. La conjonction de ces deux facteurs ne peut que se traduire par un effet inflationniste sur les cours du brut, comme en témoignent les situations précédentes où, à chaque fois que le billet vert était à son plus bas niveau, le prix du pétrole grimpait. L'année 2008 qui, ne sera pas tellement différente, eu égard aux prévisions à la baisse de la croissance mondiale, selon le Fmi, ne peut que se traduire par un billet vert faible que l'administration américaine maintiendra encore un temps pour relancer son économie affaiblie par la crise financière des subprimes. La nouvelle année ouvre sur un regain de consistance du prix du baril, confirmant la tendance à la hausse qui avait atteint, au courant de l'année qui vient de s'achever, 60%, tirée à la hausse par les inquiétudes économiques et tensions géopolitiques. Hier, il a été enregistré le prix de 100 dollars le baril dans un marché craintif, des suites des événements survenus au Pakistan après l'assassinat de Benzir Buttho. En effet, dès les premières heures de l'ouverture du marché, premier de l'année, le marché londonien s'est montré particulièrement agité pour faire gagner 1,28 dollar au prix du Brent de la mer du Nord, pour les livraisons de février. Il faut dire que le Nigeria, cinquième fournisseur des Etats-Unis, avait perdu, en raison des troubles internes ces deux dernières années un quart de sa production. L'autre facteur aggravant vient des Etats-Unis qui accusent, selon les analystes, une réduction des réserves de brut de 3,15 millions de barils. Le marché, dans l'attente du rapport du département américain de l'Energie devant être rendu public aujourd'hui, est gagné par la fièvre de peur que les approvisionnements de brut ne parviennent à satisfaire la demande durant le premier trimestre de l'année. Les cours du brut pour cette nouvelle année sont donnés pour exceptionnels. Après avoir frôlé la barre des 100 dollars, le prix du baril a toutes ses chances de dépasser ce seuil, selon les analystes qui attribuent également cette hausse, outre les facteur géostratégiques précités, auxquels s'ajoute la tension sur le programme nucléaire iranien, à la situation incertaine de l'offre qui, combinée à un dollar faible, pourrait influer suffisamment sur les prix pour le faire grimper au dessus des 100 dollars le baril. La conjonction de ces deux facteurs ne peut que se traduire par un effet inflationniste sur les cours du brut, comme en témoignent les situations précédentes où, à chaque fois que le billet vert était à son plus bas niveau, le prix du pétrole grimpait. L'année 2008 qui, ne sera pas tellement différente, eu égard aux prévisions à la baisse de la croissance mondiale, selon le Fmi, ne peut que se traduire par un billet vert faible que l'administration américaine maintiendra encore un temps pour relancer son économie affaiblie par la crise financière des subprimes.