La Gendarmerie nationale va procéder à l'augmentation du nombre de radars existant actuellement à Alger, afin de mieux contrôler la vitesse des véhicules et identifier ceux recherchés, notamment au niveau des autoroutes d'Alger. C'est ce qu'a indiqué hier le capitaine Mohamed Mouaizia, chef de la sécurité routière du groupement de wilaya de la Gendarmerie nationale, soulignant que « le renforcement du nombre des radars contribuera à la sécurité des routes et à la maîtrise de la situation sécuritaire », ce qui justifierait cette décision. L'officier a également rappelé que selon les statistiques nationales, 4.820 cas d'excès de vitesse ayant entraîné le retrait du permis de conduire ont été enregistrés en 2007. Le capitaine Mouaizia a affirmé par ailleurs que « le nombre des radars fonctionnant 24h/24 n'est pas suffisant, compte tenu de la densité du parc automobile de la seule wilaya d'Alger». De ce fait, «de nouveaux radars en cours d'expérimentation seront bientôt utilisés », a-t-il annoncé. Les radars, fonctionnels depuis le 16 mars 2003, «sont installés au niveau des autoroutes enregistrant le plus grand nombre d'accidents à l'instar de celle menant vers l'aéroport international Houari-Boumediène», précisera-t-il. Leur utilisation a donné «des résultats positifs qui se sont traduits par un recul du nombre d'accidents du fait que les propriétaires des véhicules font de moins en moins de vitesse». Sur ce point, durant l'année 2007, 363 accidents dus à l'excès de vitesse ont été enregistrés contre 373 en 2005. Concernant l'utilisation du radar pour l'identification de véhicules recherchés par ses services, le même responsable a indiqué que cette opération s'effectue à travers les données relatives au véhicule recherché, enregistrées par le radar qui le détecte dès qu'il entre dans son champ d'intervention. La Gendarmerie a utilisé divers modèles de radars tant fixes que mobiles, installés dans les véhicules de patrouilles ou en certains points noirs. La Gendarmerie nationale va procéder à l'augmentation du nombre de radars existant actuellement à Alger, afin de mieux contrôler la vitesse des véhicules et identifier ceux recherchés, notamment au niveau des autoroutes d'Alger. C'est ce qu'a indiqué hier le capitaine Mohamed Mouaizia, chef de la sécurité routière du groupement de wilaya de la Gendarmerie nationale, soulignant que « le renforcement du nombre des radars contribuera à la sécurité des routes et à la maîtrise de la situation sécuritaire », ce qui justifierait cette décision. L'officier a également rappelé que selon les statistiques nationales, 4.820 cas d'excès de vitesse ayant entraîné le retrait du permis de conduire ont été enregistrés en 2007. Le capitaine Mouaizia a affirmé par ailleurs que « le nombre des radars fonctionnant 24h/24 n'est pas suffisant, compte tenu de la densité du parc automobile de la seule wilaya d'Alger». De ce fait, «de nouveaux radars en cours d'expérimentation seront bientôt utilisés », a-t-il annoncé. Les radars, fonctionnels depuis le 16 mars 2003, «sont installés au niveau des autoroutes enregistrant le plus grand nombre d'accidents à l'instar de celle menant vers l'aéroport international Houari-Boumediène», précisera-t-il. Leur utilisation a donné «des résultats positifs qui se sont traduits par un recul du nombre d'accidents du fait que les propriétaires des véhicules font de moins en moins de vitesse». Sur ce point, durant l'année 2007, 363 accidents dus à l'excès de vitesse ont été enregistrés contre 373 en 2005. Concernant l'utilisation du radar pour l'identification de véhicules recherchés par ses services, le même responsable a indiqué que cette opération s'effectue à travers les données relatives au véhicule recherché, enregistrées par le radar qui le détecte dès qu'il entre dans son champ d'intervention. La Gendarmerie a utilisé divers modèles de radars tant fixes que mobiles, installés dans les véhicules de patrouilles ou en certains points noirs.