Le Cnapest qui affirme avoir largement réussi son mouvement de protestation de deux jours, se désolidarise de l'ensemble des autres syndicats de la Fonction publique qui comptent débrayer demain. C'est ce qui ressort d'une conférence de presse animé, hier par le coordinateur national de la Coordination nationale de l'enseignement secondaire et technique, Nouar Larbi. L'argument qu'il met en avant pour refuser de se joindre à l'action du 15 janvier tient dans le fait qu'«à l'exception du Cla, tous les autres syndicats de l'Education nationale sont des fabrications du ministère pour parasiter le champ syndical». Affichant une grande satisfaction quant aux taux de suivi de la grève du 12 et 13 janvier, M.Nouar affirme que c'est un message clair destiné à la tutelle, plaidant néanmoins pour l'ouverture d'un véritable dialogue entre le ministère et son syndicat. C'est, pour M.Nouar, la seule issue possible pour régler tous les problèmes de l'Education nationale. Brandissant les «90% du taux de suivi» de la grève, comme un trophée mérité, le coordinateur du CNAPEST a affirmé que les wilayas de Tizi-Ouzou et Béjaïa ont massivement suivi le mot d'ordre de grève au deuxième jour de la protestation. Abordant les revendications des enseignants qui ont motivé le mouvement de grève, M.Nouar a vertement critiqué la nouvelle grille des salaires, ainsi que la statut particulier des enseignants rédigés par l'Administration et l'UGTA. Il dira que les régimes indemnitaires des enseignants étaient méprisants. Et ce qui peut justifier le recours à la grève est le fait que l'administration a complètement ignoré les propositions du Cnapest lors de l'élabioration des textes concernant cette catégorie de fonctionnaires. Le CNAPEST voit en la personne du chef de l'Etat le seul habilité à régler le contentieux entre les enseignants du secondaire et le ministère de l'Education. M.Nouar en appelle à l'intervention du président de la République pour aplanir les problèmes qui minent le secteur, aux fins de donner toutes ses chances à la réforme de l'éducation. Le Cnapest qui affirme avoir largement réussi son mouvement de protestation de deux jours, se désolidarise de l'ensemble des autres syndicats de la Fonction publique qui comptent débrayer demain. C'est ce qui ressort d'une conférence de presse animé, hier par le coordinateur national de la Coordination nationale de l'enseignement secondaire et technique, Nouar Larbi. L'argument qu'il met en avant pour refuser de se joindre à l'action du 15 janvier tient dans le fait qu'«à l'exception du Cla, tous les autres syndicats de l'Education nationale sont des fabrications du ministère pour parasiter le champ syndical». Affichant une grande satisfaction quant aux taux de suivi de la grève du 12 et 13 janvier, M.Nouar affirme que c'est un message clair destiné à la tutelle, plaidant néanmoins pour l'ouverture d'un véritable dialogue entre le ministère et son syndicat. C'est, pour M.Nouar, la seule issue possible pour régler tous les problèmes de l'Education nationale. Brandissant les «90% du taux de suivi» de la grève, comme un trophée mérité, le coordinateur du CNAPEST a affirmé que les wilayas de Tizi-Ouzou et Béjaïa ont massivement suivi le mot d'ordre de grève au deuxième jour de la protestation. Abordant les revendications des enseignants qui ont motivé le mouvement de grève, M.Nouar a vertement critiqué la nouvelle grille des salaires, ainsi que la statut particulier des enseignants rédigés par l'Administration et l'UGTA. Il dira que les régimes indemnitaires des enseignants étaient méprisants. Et ce qui peut justifier le recours à la grève est le fait que l'administration a complètement ignoré les propositions du Cnapest lors de l'élabioration des textes concernant cette catégorie de fonctionnaires. Le CNAPEST voit en la personne du chef de l'Etat le seul habilité à régler le contentieux entre les enseignants du secondaire et le ministère de l'Education. M.Nouar en appelle à l'intervention du président de la République pour aplanir les problèmes qui minent le secteur, aux fins de donner toutes ses chances à la réforme de l'éducation.