La grève à laquelle ont appelé les syndicats autonomes ne semble pas avoir eu d'effet au sein de plusieurs centres universitaires où nous nous sommes rendus hier dans la capitale. A l'université de Bouzaréah, nous avons constaté de visu le déroulement normal des cours. Nous avons rencontré, par ailleurs, les étudiants au sortir des premiers cours de la matinée d'hier, qui vaquaient à leurs occupations sans grand souci pour la suite des cours. «Les enseignants sont présents et ne nous ont fait part d'aucune annulation des cours», nous expliquent des étudiants de première année. Nous avons également interrogés d'autres étudiants qui s'apprêtaient à prendre leurs premiers cours : la réponse est la même. Signalons également l'absence de mot d'ordre quant au débrayage des enseignants de l'université. En effet, aucun affichage n'indiquait un quelconque mouvement de protestation à l'intérieur des campus. Ainsi, la majorité écrasante des étudiants à Bouzaréah ont suivi leurs cours de la manière la plus normale possible. «Les enseignants ont assuré leurs cours comme à l'habitude», nous affirme un responsable du département d'Anglais. En revanche, plusieurs enseignants ont répondu à l'appel du Cnes au sein du département de psychologie où plusieurs cours n'ont pas pu avoir lieu. Egalement à Delly Ibrahim, l'atmosphère ne se prêtait pas, là aussi, à la grève. Le secrétaire général de la faculté des sciences économiques et de gestion, M. Ali Djafer, nous a assuré qu'en ce qui le concerne, tous les enseignants ont tenu normalement leurs cours. «A Kharouba, on n'a enregistré qu'une seule absence, par ailleurs, justifiée. C'est pour vous dire que nous n'avons aucune perturbation dans notre établissement», déclare-t-il. De son côté, un enseignant que nous avons rencontré sur place voit d'une autre manière cet appel à la grève. «Il faut qu'il y ait un mouvement qui englobe tous les universitaires pour faire bouger les choses. On a mis de côté les vacataires et les enseignants associés. Un mouvement qui ne concerne que les maîtres assistants ne peut, à mon avis, obtenir gain de cause à lui seul», explique-t-il. A la faculté de Droit de Ben-Aknoun, aucun mouvement de grève n'a été constaté. Idem à l'institut de Beni-Messous. A Bab Ezzouar, des étudiants nous ont informés qu'ils ont reçu leurs cours. «Même les examens se sont déroulés de manière ordinaire. Nous n'avons rien remarqué d'anormal», ajoutent les étudiants. La grève à laquelle ont appelé les syndicats autonomes ne semble pas avoir eu d'effet au sein de plusieurs centres universitaires où nous nous sommes rendus hier dans la capitale. A l'université de Bouzaréah, nous avons constaté de visu le déroulement normal des cours. Nous avons rencontré, par ailleurs, les étudiants au sortir des premiers cours de la matinée d'hier, qui vaquaient à leurs occupations sans grand souci pour la suite des cours. «Les enseignants sont présents et ne nous ont fait part d'aucune annulation des cours», nous expliquent des étudiants de première année. Nous avons également interrogés d'autres étudiants qui s'apprêtaient à prendre leurs premiers cours : la réponse est la même. Signalons également l'absence de mot d'ordre quant au débrayage des enseignants de l'université. En effet, aucun affichage n'indiquait un quelconque mouvement de protestation à l'intérieur des campus. Ainsi, la majorité écrasante des étudiants à Bouzaréah ont suivi leurs cours de la manière la plus normale possible. «Les enseignants ont assuré leurs cours comme à l'habitude», nous affirme un responsable du département d'Anglais. En revanche, plusieurs enseignants ont répondu à l'appel du Cnes au sein du département de psychologie où plusieurs cours n'ont pas pu avoir lieu. Egalement à Delly Ibrahim, l'atmosphère ne se prêtait pas, là aussi, à la grève. Le secrétaire général de la faculté des sciences économiques et de gestion, M. Ali Djafer, nous a assuré qu'en ce qui le concerne, tous les enseignants ont tenu normalement leurs cours. «A Kharouba, on n'a enregistré qu'une seule absence, par ailleurs, justifiée. C'est pour vous dire que nous n'avons aucune perturbation dans notre établissement», déclare-t-il. De son côté, un enseignant que nous avons rencontré sur place voit d'une autre manière cet appel à la grève. «Il faut qu'il y ait un mouvement qui englobe tous les universitaires pour faire bouger les choses. On a mis de côté les vacataires et les enseignants associés. Un mouvement qui ne concerne que les maîtres assistants ne peut, à mon avis, obtenir gain de cause à lui seul», explique-t-il. A la faculté de Droit de Ben-Aknoun, aucun mouvement de grève n'a été constaté. Idem à l'institut de Beni-Messous. A Bab Ezzouar, des étudiants nous ont informés qu'ils ont reçu leurs cours. «Même les examens se sont déroulés de manière ordinaire. Nous n'avons rien remarqué d'anormal», ajoutent les étudiants.