L'appel à une grève générale lancé par la Coordination nationale des syndicats de la Fonction publique a été différemment suivi dans les différents secteurs dans la wilaya de Tizi-Ouzou. En effet, l'arrêt de travail a été massivement observé dans les établissements scolaires et de la formation professionnelle de la wilaya, où les enseignants n'ont pas rejoint leur lieu de travail. Par ailleurs, les fonctionnaires des Douanes ont également répondu favorablement à l'appel de leur syndicat en suivant son mot d'ordre. Dans le secteur de la santé, les travailleurs ont également observé un arrêt de travail, notamment dans les structures hospitalières des villes où seul un service minimum a été assuré. En revanche, l'administration publique n'a pas été concernée par la grève et a fonctionné normalement, hier. Quant à l'université, qui vit, depuis quelques semaines, une situation de contestation et de grève lancée par la coordination locale des étudiants, elle a été paralysée hier par la grève du Conseil national des enseignants du supérieur (CNES). Rappelons, enfin, que par ce mouvement de protestation, la Coordination nationale des syndicats de la Fontion publique demande notamment la révision de la grille des salaires. L'appel à une grève générale lancé par la Coordination nationale des syndicats de la Fonction publique a été différemment suivi dans les différents secteurs dans la wilaya de Tizi-Ouzou. En effet, l'arrêt de travail a été massivement observé dans les établissements scolaires et de la formation professionnelle de la wilaya, où les enseignants n'ont pas rejoint leur lieu de travail. Par ailleurs, les fonctionnaires des Douanes ont également répondu favorablement à l'appel de leur syndicat en suivant son mot d'ordre. Dans le secteur de la santé, les travailleurs ont également observé un arrêt de travail, notamment dans les structures hospitalières des villes où seul un service minimum a été assuré. En revanche, l'administration publique n'a pas été concernée par la grève et a fonctionné normalement, hier. Quant à l'université, qui vit, depuis quelques semaines, une situation de contestation et de grève lancée par la coordination locale des étudiants, elle a été paralysée hier par la grève du Conseil national des enseignants du supérieur (CNES). Rappelons, enfin, que par ce mouvement de protestation, la Coordination nationale des syndicats de la Fontion publique demande notamment la révision de la grille des salaires.