Les lycéens des classes terminales de la wilaya de Tizi Ouzou ont battus, hier, le pavé pour demander l'allègement des programmes. Ils étaient nombreux à affluer vers l'esplanade du stade du 1er Novembre d'où devait s'ébranler la procession. Pour le même motif l'appel à la grève générale lancé jeudi a été massivement suivi dans les lycées des 21 dairas de la wilaya. Vers 9h30 le coup d'envoi de la marche a été donné. Au premier carré est déployé l'emblème national, tandis que les autres étaient parsemés de banderoles sur lesquelles les lycéens ont inscrits leurs revendications. «Pour une véritable réforme», «Non au bradage de notre avenir», «Pour un allègement des programmes», «Nous ne sommes pas des cobayes» sont, entre autres, les slogans des manifestants. Les marcheurs ont emprunté l'avenue Abane Ramdane (grande rue), pour monter ensuite vers le siège de la direction de l'éducation. Quelques parents d'élèves les ont rejoint pour leur apporter leur soutien. Arrivé à destination, une délégation a été formée pour rencontrer le premier responsable de l'éducation au niveau de la wilaya et exposer leur doléances. S'agissant des dernières déclarations de Benbouzid, les lycéens répondent que leurs revendications sont claire «nous voulons un allègement du programme car si on continue à ce rythme nous n'aurons jamais assez de temps pour réviser». Les lycéens des classes terminales de la wilaya de Tizi Ouzou ont battus, hier, le pavé pour demander l'allègement des programmes. Ils étaient nombreux à affluer vers l'esplanade du stade du 1er Novembre d'où devait s'ébranler la procession. Pour le même motif l'appel à la grève générale lancé jeudi a été massivement suivi dans les lycées des 21 dairas de la wilaya. Vers 9h30 le coup d'envoi de la marche a été donné. Au premier carré est déployé l'emblème national, tandis que les autres étaient parsemés de banderoles sur lesquelles les lycéens ont inscrits leurs revendications. «Pour une véritable réforme», «Non au bradage de notre avenir», «Pour un allègement des programmes», «Nous ne sommes pas des cobayes» sont, entre autres, les slogans des manifestants. Les marcheurs ont emprunté l'avenue Abane Ramdane (grande rue), pour monter ensuite vers le siège de la direction de l'éducation. Quelques parents d'élèves les ont rejoint pour leur apporter leur soutien. Arrivé à destination, une délégation a été formée pour rencontrer le premier responsable de l'éducation au niveau de la wilaya et exposer leur doléances. S'agissant des dernières déclarations de Benbouzid, les lycéens répondent que leurs revendications sont claire «nous voulons un allègement du programme car si on continue à ce rythme nous n'aurons jamais assez de temps pour réviser».