Le gouvernement semble pencher pour un déploiement avec pour toile de fond le compter-sur-soi. Le gouvernement semble pencher pour un déploiement avec pour toile de fond le compter-sur-soi. Dans un rapport d'étape, la ministre en charge de la Réforme financière a présenté, en Conseil du gouvernement, les différents paliers devant être suivis pour parachever la réforme, et ce, en prenant soin de ne pas négliger l'impact de la crise financière mondiale, qui, bien qu'à l'état latent, s'est tout de même fait sentir sur le secteur par le gel de la privatisation du CPA (Crédit populaire d'Algérie) dont les soumissionnaires à la prise de participation sont eux, victimes de cette crise. Le gouvernement, tout en maintenant le principe d'ouverture du capital de cette banque et de deux autres comme prévu dans le programme, reformule son approche et semble pencher pour un déploiement avec comme toile de fond, le compter-sur-soi. C'est ainsi qu'il a été avancé l'idée de formation de «groupements de banques publiques» et la création d'autres établissements de financement comme les banques d'investissement. Pour le gouvernement qui constate, selon les dernières déclarations du Chef du gouvernement, le manque d'entrain des banques étrangères dans le financement de l'économie, pour ne proposer que des produits de consommation, en plus de l'incapacité des banques publiques à assumer à elles seules la tâche de ce financement, il devient opportun de revoir les structures de ces dernières afin d'en faire un groupement d'intérêt commun et dont l'impact sur la dynamisation de la vie économique serait plus important. Cette approche qui souffre encore du manque de lisibilité quant à l'aspect technique, puisque avancée comme fait d'annonce, apparaît toutefois comme une démarche nouvelle par laquelle il est préconisé la rationalisation des ressources financières nationales existantes et pourrait constituer des gisements potentiels pouvant répondre aux besoins de financement de l'économie nationale pour en accroître le volume des investissements, soutenir le rythme de création d'emplois. Le rapport d'étape, tel que présenté par la ministre, s'articule en parallèle autour d'actions déjà engagées et qui ont trait au renforcement de la stabilité et de la rentabilité du secteur financier. Et ce, par le renforcement du marché du crédit et la réduction du coût d'intermédiation, la modernisation des systèmes d'information et de paiement pour améliorer la qualité des services, le développement substantiel du crédit immobilier et le renforcement du marché des capitaux. La révision des statuts de la Cosob en est un élément. Le gouvernement accorde, en sus des ces actions, un intérêt particulier à la dynamisation et au renforcement du secteur des assurances dont le chantier bien qu'il soit en nette évolution reste toutefois insuffisant. Il s'agit dans l'étape suivante de promouvoir la qualité de l'offre et la diversification des prestations par de nouveaux produits à savoir l'assurance-vie et la promotion du marché financier ce qui devrait, selon les attentes du gouvernement, augmenter le volume des investissements dans ce segment financier en développant les branches non encore exploitées et participer à la création d'emplois. Dans un rapport d'étape, la ministre en charge de la Réforme financière a présenté, en Conseil du gouvernement, les différents paliers devant être suivis pour parachever la réforme, et ce, en prenant soin de ne pas négliger l'impact de la crise financière mondiale, qui, bien qu'à l'état latent, s'est tout de même fait sentir sur le secteur par le gel de la privatisation du CPA (Crédit populaire d'Algérie) dont les soumissionnaires à la prise de participation sont eux, victimes de cette crise. Le gouvernement, tout en maintenant le principe d'ouverture du capital de cette banque et de deux autres comme prévu dans le programme, reformule son approche et semble pencher pour un déploiement avec comme toile de fond, le compter-sur-soi. C'est ainsi qu'il a été avancé l'idée de formation de «groupements de banques publiques» et la création d'autres établissements de financement comme les banques d'investissement. Pour le gouvernement qui constate, selon les dernières déclarations du Chef du gouvernement, le manque d'entrain des banques étrangères dans le financement de l'économie, pour ne proposer que des produits de consommation, en plus de l'incapacité des banques publiques à assumer à elles seules la tâche de ce financement, il devient opportun de revoir les structures de ces dernières afin d'en faire un groupement d'intérêt commun et dont l'impact sur la dynamisation de la vie économique serait plus important. Cette approche qui souffre encore du manque de lisibilité quant à l'aspect technique, puisque avancée comme fait d'annonce, apparaît toutefois comme une démarche nouvelle par laquelle il est préconisé la rationalisation des ressources financières nationales existantes et pourrait constituer des gisements potentiels pouvant répondre aux besoins de financement de l'économie nationale pour en accroître le volume des investissements, soutenir le rythme de création d'emplois. Le rapport d'étape, tel que présenté par la ministre, s'articule en parallèle autour d'actions déjà engagées et qui ont trait au renforcement de la stabilité et de la rentabilité du secteur financier. Et ce, par le renforcement du marché du crédit et la réduction du coût d'intermédiation, la modernisation des systèmes d'information et de paiement pour améliorer la qualité des services, le développement substantiel du crédit immobilier et le renforcement du marché des capitaux. La révision des statuts de la Cosob en est un élément. Le gouvernement accorde, en sus des ces actions, un intérêt particulier à la dynamisation et au renforcement du secteur des assurances dont le chantier bien qu'il soit en nette évolution reste toutefois insuffisant. Il s'agit dans l'étape suivante de promouvoir la qualité de l'offre et la diversification des prestations par de nouveaux produits à savoir l'assurance-vie et la promotion du marché financier ce qui devrait, selon les attentes du gouvernement, augmenter le volume des investissements dans ce segment financier en développant les branches non encore exploitées et participer à la création d'emplois.