Ces derniers jours, une augmentation du prix du poulet a été remarquée sur l'ensemble des points de vente. Cette hausse est en rapport direct avec une augmentation des aliments de volaille, soutiennent les commerçants que nous avons approchés. Hier, le kilogramme du poulet de chair se négociait au marché de détail à 250 DA. Et il n'est pas exclu que ce prix augmente encore dans les jours à venir. «Ce sont les grossistes qui dictent les prix bien que notre marge bénéficiaire reste la même», affirme un commerçant à Bouzaréah. Lui et ses collègues jurent que leur prix d'achat auprès des grossistes n'est pas à moins de 230 Da le Kg. L'on assiste à une sorte de fièvre qui s'empare du marché de la viande blanche, soulignent certains professionnels du secteur qui disent comprendre les inquiétudes des consommateurs. Ces derniers qui s'entendent dire que cette flambée des prix est en rapport avec l'augmentation des prix des aliments sur le marché mondial, en appréhendent les conséquences. Les professionnels affirment que cette appréhension est d'autant plus légitime qu'ils voient mal l'Etat intervenir, encore une fois, pour subventionner les produits importés, après les aides déjà accordées pour la semoule, le lait et la farine. Contacté par Midi Libre, un responsable de l'ONAB a confirmé que la hausse du prix du poulet est liée à l'inflation que connaît la matière première, importée depuis l'étranger, notamment les céréales. Cette hausse est d'ores et déjà estimée à 30% en une année, vu qu'actuellement le prix de cet aliment sur le marché est passé à environ 3500 Da le quintal. Là encore ce sont les producteurs qui tirent la sonnette d'alarme. Le citoyen, pour sa part sera forcé, pour sa consommation, de se procurer le poulet au prix de 250 Da le kilogramme, voir à un prix un peu plus élevé dans certains endroits. Selon des sources proche des milieux des éleveurs, cette situation persistera encore dans les jours à venir. Cette situation fera que, rares seront les foyers qui pourront s'offrir du poulet. Il faut savoir enfin que la moyenne de consommation du poulet en Algérie est de 10 kg par habitant et par an. Ces derniers jours, une augmentation du prix du poulet a été remarquée sur l'ensemble des points de vente. Cette hausse est en rapport direct avec une augmentation des aliments de volaille, soutiennent les commerçants que nous avons approchés. Hier, le kilogramme du poulet de chair se négociait au marché de détail à 250 DA. Et il n'est pas exclu que ce prix augmente encore dans les jours à venir. «Ce sont les grossistes qui dictent les prix bien que notre marge bénéficiaire reste la même», affirme un commerçant à Bouzaréah. Lui et ses collègues jurent que leur prix d'achat auprès des grossistes n'est pas à moins de 230 Da le Kg. L'on assiste à une sorte de fièvre qui s'empare du marché de la viande blanche, soulignent certains professionnels du secteur qui disent comprendre les inquiétudes des consommateurs. Ces derniers qui s'entendent dire que cette flambée des prix est en rapport avec l'augmentation des prix des aliments sur le marché mondial, en appréhendent les conséquences. Les professionnels affirment que cette appréhension est d'autant plus légitime qu'ils voient mal l'Etat intervenir, encore une fois, pour subventionner les produits importés, après les aides déjà accordées pour la semoule, le lait et la farine. Contacté par Midi Libre, un responsable de l'ONAB a confirmé que la hausse du prix du poulet est liée à l'inflation que connaît la matière première, importée depuis l'étranger, notamment les céréales. Cette hausse est d'ores et déjà estimée à 30% en une année, vu qu'actuellement le prix de cet aliment sur le marché est passé à environ 3500 Da le quintal. Là encore ce sont les producteurs qui tirent la sonnette d'alarme. Le citoyen, pour sa part sera forcé, pour sa consommation, de se procurer le poulet au prix de 250 Da le kilogramme, voir à un prix un peu plus élevé dans certains endroits. Selon des sources proche des milieux des éleveurs, cette situation persistera encore dans les jours à venir. Cette situation fera que, rares seront les foyers qui pourront s'offrir du poulet. Il faut savoir enfin que la moyenne de consommation du poulet en Algérie est de 10 kg par habitant et par an.