Les entrepreneurs algériens bénéficieront d'une enveloppe financière de 1 milliard de DA octroyée par le gouvernement pour leur permettre de se perfectionner dans le domaine du management et de la prise en charge des programmes d'acquisition technique et technologique. Cette décision des pouvoirs publics de parfaire les connaissances des managers des PME intervient à la faveur du soutien apporté par l'Union européenne pour la mise à niveau des entreprises industrielles algériennes. Le montant alloué à cette opération s'élève à 40 millions d'euros. Rappelons que le dispositif d'appui du programme MEDA de l'Union européene aux PME algériennes ne prend pas en considération le secteur privé, alors que cette décision du gouvernement de subventionner la formation des cadres touche aussi bien les entreprises publiques que privées. C'est l'Agence nationale pour le développement de la PME (ANDPE) qui se chargera de mener à bien les actions de formation. Elle assurera l'encadrement des entreprises tous secteurs économiques confondus, y compris le bâtiment et les travaux publics. La nouvelle configuration de l'économie nationale, caractérisée par la libre entreprise et la compétitivité accrue, contraint de nombreuses PME à se mettre à niveau afin de se doter des derniers procédés techniques et de s'adapter aux innovations technologiques indispensables à leur maintien dans un environnement fortement concurrentiel. Dans l'immédiat, il s'agit de diagnostiquer les principales entraves empêchant les PME de se développer. Parmi les difficultés majeures rencontrées par les entrepreneurs, on peut notamment citer les problèmes inhérents à la fiscalité, aux dettes cumulées par les PME, les différents besoins de financement pour une meilleure mise à niveau, et surtout la conformité à la réglementation en matière de passation de marchés. Les responsables à différents niveaux de la promotion de la PME sont actuellement en train de rechercher des solutions adéquates à ces problèmes. Ainsi, le ministère de l'Urbanisme et de l'Habitat et celui de la Petite et Moyenne entreprise et de l'Artisanat préparent une proposition destinée au gouvernement et visant à modifier un décret présidentiel relatif à la réglementation des marchés publics. Le développement rapide du contexte d'évolution des entreprises et des sociétés multinationales dans le monde, la nécessité d'adaptation de nos PME à l'environnement concurrentiel en prévision de l'adhésion de l'Algérie à l'Organisation mondiale du commerce (OMC) découlant de l'accord d'association avec l'Union européenne, sont autant de paramètres contraignant nos entreprises à se hisser à un niveau appréciable de compétitivité. Elles sont, en fait, condamnées à se moderniser et à se mettre au standard international, ou carrément disparaître. Car, il n'y a plus de place pour les entreprises déstructurées et inopérantes. Les entrepreneurs algériens bénéficieront d'une enveloppe financière de 1 milliard de DA octroyée par le gouvernement pour leur permettre de se perfectionner dans le domaine du management et de la prise en charge des programmes d'acquisition technique et technologique. Cette décision des pouvoirs publics de parfaire les connaissances des managers des PME intervient à la faveur du soutien apporté par l'Union européenne pour la mise à niveau des entreprises industrielles algériennes. Le montant alloué à cette opération s'élève à 40 millions d'euros. Rappelons que le dispositif d'appui du programme MEDA de l'Union européene aux PME algériennes ne prend pas en considération le secteur privé, alors que cette décision du gouvernement de subventionner la formation des cadres touche aussi bien les entreprises publiques que privées. C'est l'Agence nationale pour le développement de la PME (ANDPE) qui se chargera de mener à bien les actions de formation. Elle assurera l'encadrement des entreprises tous secteurs économiques confondus, y compris le bâtiment et les travaux publics. La nouvelle configuration de l'économie nationale, caractérisée par la libre entreprise et la compétitivité accrue, contraint de nombreuses PME à se mettre à niveau afin de se doter des derniers procédés techniques et de s'adapter aux innovations technologiques indispensables à leur maintien dans un environnement fortement concurrentiel. Dans l'immédiat, il s'agit de diagnostiquer les principales entraves empêchant les PME de se développer. Parmi les difficultés majeures rencontrées par les entrepreneurs, on peut notamment citer les problèmes inhérents à la fiscalité, aux dettes cumulées par les PME, les différents besoins de financement pour une meilleure mise à niveau, et surtout la conformité à la réglementation en matière de passation de marchés. Les responsables à différents niveaux de la promotion de la PME sont actuellement en train de rechercher des solutions adéquates à ces problèmes. Ainsi, le ministère de l'Urbanisme et de l'Habitat et celui de la Petite et Moyenne entreprise et de l'Artisanat préparent une proposition destinée au gouvernement et visant à modifier un décret présidentiel relatif à la réglementation des marchés publics. Le développement rapide du contexte d'évolution des entreprises et des sociétés multinationales dans le monde, la nécessité d'adaptation de nos PME à l'environnement concurrentiel en prévision de l'adhésion de l'Algérie à l'Organisation mondiale du commerce (OMC) découlant de l'accord d'association avec l'Union européenne, sont autant de paramètres contraignant nos entreprises à se hisser à un niveau appréciable de compétitivité. Elles sont, en fait, condamnées à se moderniser et à se mettre au standard international, ou carrément disparaître. Car, il n'y a plus de place pour les entreprises déstructurées et inopérantes.