Aboudjerra Soltani a marqué son retour sur la scène médiatique en accusant implicitement le camp de Abdelamdjid Menasra de vouloir «verrouiller le jeu» lors du prochain congrès, le 4è, prévu les 29 et 30 avril et le 1er mai. Aboudjerra Soltani a marqué son retour sur la scène médiatique en accusant implicitement le camp de Abdelamdjid Menasra de vouloir «verrouiller le jeu» lors du prochain congrès, le 4è, prévu les 29 et 30 avril et le 1er mai. A l'évidence, le président du MSP en avait gros sur le cœur et, hier, en effet, il n'a pu cacher son profond «ressentiment» comme l'attestait si bien la mine renfrognée qu'il affichait. Aboudjerra Soltani laissait apparaître sa colère et son dépit face à la tournure prise par les événements au sein de la formation islamiste et, notamment, par rapport aux résultats de la dernière session extraordinaire du conseil consultatif tenue ce week-end. Une session que d'aucuns ont qualifiée d'explosive et qui a tourné en sa défaveur puisque son rival déclaré à la présidence du mouvement, Abdelamdjid Menasra, a remporté la partie en parvenant à imposer ses choix. «On refuse le tutorat comme on refuse la confiscation du droit des congressistes» a martelé Aboudjerra dans sa déclaration introductive avant de céder la place à Mohamed Djemaâ, porte-parole du parti, qui a animé la conférence de presse tenue au siège national, à alger. Aboudjerra Soltani qui s'est astreint, depuis quelques semaines, à un mutisme de rigueur a marqué son retour sur la scène médiatique en accusant implicitement le camp de Abdelamdjid Menasra de vouloir «verrouiller le jeu» lors du prochain congrès, le 4è, prévu les 29 et 30 avril et le 1er mai. Menasra et ses partisans qui ont réussi à faire élire, par les membres du conseil consultatif, la composante du bureau devant diriger les travaux du prochain congrès, ont aussi réussi à imposer leurs propres amendements sur les statuts du parti et le règlement intérieur du congrès. Et ce sont ces amendements qui sont à l'origine du «courroux» de Aboudjerra et de ses fidèles. Ainsi, l'actuel président du MSP est tenu de présenter sa démission du gouvernement s'il aspire à se porter candidat pour un second mandat à la tête de la formation islamiste. L'autre amendement porte sur l'élection du président du mouvement par le conseil consultatif et non par le congrès comme le souhaitent Aboudjerra et ses partisans. Aboudjerra a déclaré qu'«on refuse d'entrer dans jeu verrouillé», avant d'ajouter qu'«il aurait été préférable que la scène du mouvement soit ouverte». Il accuse l'autre camp, sans nommer quiconque, d'avoir totalement ignoré les propositions de la base militante formulées lors des dernières conférences locales en perspective des prochaines assises du mouvement. Toutefois, Aboudjerra, qui porte tous ses espoirs sur les congressistes pour faire pencher la balance de son côté, a estimé que ces propositions d'amendement seront soumises au congrès «qui reste souverain dans ses décisions». Il a ainsi espéré que la nouvelle direction qui sera issue du congrès ne vienne pas «par césarienne, mais plutôt dans des conditions ordinaires».Un congrès qui doit être crédible et pour lequel il a déclaré qu'il veillera à garantir le bon déroulement des travaux. Comme il veillera à la protection du droit des délégués à garantir la transparence et le respect des décisions souveraines du congrès. Des menaces à peine voilées à ses détracteurs car Aboudjerra et ses partisans considèrent que la majorité des délégués au congrès leur sont acquis. Aboudjerra, qui a refusé de se prêter au jeu des questions - réponses, a laissé cette tâche au porte-parole du parti qui est aussi un de ses alliés au sein de la direction du mouvement. Mohamed Djemaâ a abondé dans le même sens en fustigeant les partisans de Menasra, soulignant que ces propositions d'amendement ne sont que des projets et que le dernier mot revient aux congressistes. Pour Djemaâ «il est exclu de confisquer la volonté des congressistes» sur la majorité desquels reposent toutes les ambitions de Aboudjerra pour se maintenir à la tête du parti du défunt Nahnah. A l'évidence, le président du MSP en avait gros sur le cœur et, hier, en effet, il n'a pu cacher son profond «ressentiment» comme l'attestait si bien la mine renfrognée qu'il affichait. Aboudjerra Soltani laissait apparaître sa colère et son dépit face à la tournure prise par les événements au sein de la formation islamiste et, notamment, par rapport aux résultats de la dernière session extraordinaire du conseil consultatif tenue ce week-end. Une session que d'aucuns ont qualifiée d'explosive et qui a tourné en sa défaveur puisque son rival déclaré à la présidence du mouvement, Abdelamdjid Menasra, a remporté la partie en parvenant à imposer ses choix. «On refuse le tutorat comme on refuse la confiscation du droit des congressistes» a martelé Aboudjerra dans sa déclaration introductive avant de céder la place à Mohamed Djemaâ, porte-parole du parti, qui a animé la conférence de presse tenue au siège national, à alger. Aboudjerra Soltani qui s'est astreint, depuis quelques semaines, à un mutisme de rigueur a marqué son retour sur la scène médiatique en accusant implicitement le camp de Abdelamdjid Menasra de vouloir «verrouiller le jeu» lors du prochain congrès, le 4è, prévu les 29 et 30 avril et le 1er mai. Menasra et ses partisans qui ont réussi à faire élire, par les membres du conseil consultatif, la composante du bureau devant diriger les travaux du prochain congrès, ont aussi réussi à imposer leurs propres amendements sur les statuts du parti et le règlement intérieur du congrès. Et ce sont ces amendements qui sont à l'origine du «courroux» de Aboudjerra et de ses fidèles. Ainsi, l'actuel président du MSP est tenu de présenter sa démission du gouvernement s'il aspire à se porter candidat pour un second mandat à la tête de la formation islamiste. L'autre amendement porte sur l'élection du président du mouvement par le conseil consultatif et non par le congrès comme le souhaitent Aboudjerra et ses partisans. Aboudjerra a déclaré qu'«on refuse d'entrer dans jeu verrouillé», avant d'ajouter qu'«il aurait été préférable que la scène du mouvement soit ouverte». Il accuse l'autre camp, sans nommer quiconque, d'avoir totalement ignoré les propositions de la base militante formulées lors des dernières conférences locales en perspective des prochaines assises du mouvement. Toutefois, Aboudjerra, qui porte tous ses espoirs sur les congressistes pour faire pencher la balance de son côté, a estimé que ces propositions d'amendement seront soumises au congrès «qui reste souverain dans ses décisions». Il a ainsi espéré que la nouvelle direction qui sera issue du congrès ne vienne pas «par césarienne, mais plutôt dans des conditions ordinaires».Un congrès qui doit être crédible et pour lequel il a déclaré qu'il veillera à garantir le bon déroulement des travaux. Comme il veillera à la protection du droit des délégués à garantir la transparence et le respect des décisions souveraines du congrès. Des menaces à peine voilées à ses détracteurs car Aboudjerra et ses partisans considèrent que la majorité des délégués au congrès leur sont acquis. Aboudjerra, qui a refusé de se prêter au jeu des questions - réponses, a laissé cette tâche au porte-parole du parti qui est aussi un de ses alliés au sein de la direction du mouvement. Mohamed Djemaâ a abondé dans le même sens en fustigeant les partisans de Menasra, soulignant que ces propositions d'amendement ne sont que des projets et que le dernier mot revient aux congressistes. Pour Djemaâ «il est exclu de confisquer la volonté des congressistes» sur la majorité desquels reposent toutes les ambitions de Aboudjerra pour se maintenir à la tête du parti du défunt Nahnah.