les pourparlers de paix indirects entre Israël et la Syrie dans le cadre d'une médiation turque reprendront dans un délai d'une semaine à dix jours, déclare un responsable turc. «Les deux parties sont convenues de se rencontrer régulièrement. Le prochain cycle de discussions aura lieu à Istanbul dans une semaine ou dix jours», a déclaré un responsable du gouvernement turc, qui a requis l'anonymat. Le porte-parole du Premier ministre israélien Ehud Olmert, Mark Regev, a confirmé que des discussions auraient lieu en Turquie prochainement. La Turquie, qui entretient de bonnes relations avec Israël et la Syrie, a accueilli trois jours de pourparlers indirects cette semaine à Istanbul, les premiers du genre entre les deux pays depuis huit ans. Le journal turc Sabah rapporte hier que les délégations syrienne et israélienne, pourtant logées dans le même hôtel, ne se sont pas rencontrées au cours de ces pourparlers, échangeant exclusivement par l'intermédiaire de communiqués écrits. Avant-hier, Israël a fixé les termes de ses négociations de paix avec les Syriens en exigeant que Damas prenne ses distances avec l'Iran et cesse de soutenir les groupes armés libanais et palestiniens. Damas, qui exige la rétrocession du plateau du Golan envahi par Israël en 1967 et annexé en 1981, a fermement rejeté ces exigences, soulignant par la voix de son ministre de l'Information que «le processus de paix ne nécessitait aucune condition préalable». Il y a quelques jours pourtant, le Premier ministre israélien avait déclaré officiellement que la paix avec la Syrie exigeait des concessions douloureuses, une allusion à une possible évacuation du Golan et le retour aux frontières du 4 juin 1967. Ce plateau stratégique surplombe le lac de Tibériade et la Galilée en Israël, et est considéré par Tel Aviv comme son véritable réservoir en eau douce. Côté syrien, il revêt la même valeur stratégique, non seulement ce plateau est la source de plusieurs rivière notamment le Yarmouk, mais il surplombe également la plaine de Damas, la capitale syrienne. les pourparlers de paix indirects entre Israël et la Syrie dans le cadre d'une médiation turque reprendront dans un délai d'une semaine à dix jours, déclare un responsable turc. «Les deux parties sont convenues de se rencontrer régulièrement. Le prochain cycle de discussions aura lieu à Istanbul dans une semaine ou dix jours», a déclaré un responsable du gouvernement turc, qui a requis l'anonymat. Le porte-parole du Premier ministre israélien Ehud Olmert, Mark Regev, a confirmé que des discussions auraient lieu en Turquie prochainement. La Turquie, qui entretient de bonnes relations avec Israël et la Syrie, a accueilli trois jours de pourparlers indirects cette semaine à Istanbul, les premiers du genre entre les deux pays depuis huit ans. Le journal turc Sabah rapporte hier que les délégations syrienne et israélienne, pourtant logées dans le même hôtel, ne se sont pas rencontrées au cours de ces pourparlers, échangeant exclusivement par l'intermédiaire de communiqués écrits. Avant-hier, Israël a fixé les termes de ses négociations de paix avec les Syriens en exigeant que Damas prenne ses distances avec l'Iran et cesse de soutenir les groupes armés libanais et palestiniens. Damas, qui exige la rétrocession du plateau du Golan envahi par Israël en 1967 et annexé en 1981, a fermement rejeté ces exigences, soulignant par la voix de son ministre de l'Information que «le processus de paix ne nécessitait aucune condition préalable». Il y a quelques jours pourtant, le Premier ministre israélien avait déclaré officiellement que la paix avec la Syrie exigeait des concessions douloureuses, une allusion à une possible évacuation du Golan et le retour aux frontières du 4 juin 1967. Ce plateau stratégique surplombe le lac de Tibériade et la Galilée en Israël, et est considéré par Tel Aviv comme son véritable réservoir en eau douce. Côté syrien, il revêt la même valeur stratégique, non seulement ce plateau est la source de plusieurs rivière notamment le Yarmouk, mais il surplombe également la plaine de Damas, la capitale syrienne.