Cette conférence continentale, qui intervient après celle organisée en 1991 au même Palais des Nations, a pour objet essentiel de rechercher une stratégie à l'échelle africaine. Cette conférence continentale, qui intervient après celle organisée en 1991 au même Palais des Nations, a pour objet essentiel de rechercher une stratégie à l'échelle africaine. La présentation de la thématique et la modélisation des risques environnementaux, ainsi que la prévention et l'allégement de la détérioration de l'environnement et les initiatives urgentes à prendre en cas d'urgences, sont les principales communications qui seront faites durant trois jours, au Palais des Nations, au cours de la Conférence et assemblée générale de l'organisation des assurances africaines. Cette conférence continentale, qui intervient après celle organisée en 1991 au même Palais des Nations, a pour objet essentiel de rechercher une stratégie à l'échelle africaine en vue de faire face aux risques majeurs risques inhérents à la dégradation et à la sauvegarde de l'environnement et du milieu naturel. Il s'agit notamment de trouver des solutions aux problèmes épineux liés à la sécheresse et au manque de ressources hydriques, (des millions d'habitants n'ont pas accès à l'eau potable), et tenter de prévenir les risques et les aléas des calamites naturelles, tels que les tremblements de terre et les inondations. Les différentes compagnies d'assurances et les organismes et institutions publics et d'Etat des pays africains vont s'efforcer de trouver les voies et moyens à même de leur permettre de coordonner leurs efforts pour asseoir une action commune et une politique unifiée en vue de prendre en charge d'éventuels événements de catastrophes majeures imprévisibles. La catastrophe chimique ayant été à l'origine des émanations de gaz et déchets toxiques à Abidjan, il y a quelques années, aurait pu être évitée si des précautions et des mesures de sécurité et de protection ont été prises préalablement. D'autres thèmes, non moins importants seront également débattus durant la journée de demain où il sera notamment question de développer des actions de partenariat dans les domaines du développement des assurances des risques environnementaux, la coordination des différents assureurs- vie africains et des compagnies d'assurances à l'exportation. Etant à la recherche d'une intégration économique continentale entre les Etats, l'Afrique envisage d'accélérer les échanges commerciaux et la coopération entre les différents partenaires économiques des 52 Etats du continent. Le secteur des assurances est considéré comme primordial pour mener à bien les projets de coopération économique. Le programme du NEEPAD est justement basé sur l'instauration d'une coopération multiforme et multilatérale entre l'ensemble des pays africains. C'est dans ce sens qu'aujourd'hui aura lieu la réunion des courtiers d'assurances africains. L'inauguration de cette 35e édition de la Conférence AG de l'OAA sera rehaussée par le discours du chef du gouvernement, Abdelaziz Belkhadem et l'allocution du ministre des Finances, Karim Djoudi. La présentation de la thématique et la modélisation des risques environnementaux, ainsi que la prévention et l'allégement de la détérioration de l'environnement et les initiatives urgentes à prendre en cas d'urgences, sont les principales communications qui seront faites durant trois jours, au Palais des Nations, au cours de la Conférence et assemblée générale de l'organisation des assurances africaines. Cette conférence continentale, qui intervient après celle organisée en 1991 au même Palais des Nations, a pour objet essentiel de rechercher une stratégie à l'échelle africaine en vue de faire face aux risques majeurs risques inhérents à la dégradation et à la sauvegarde de l'environnement et du milieu naturel. Il s'agit notamment de trouver des solutions aux problèmes épineux liés à la sécheresse et au manque de ressources hydriques, (des millions d'habitants n'ont pas accès à l'eau potable), et tenter de prévenir les risques et les aléas des calamites naturelles, tels que les tremblements de terre et les inondations. Les différentes compagnies d'assurances et les organismes et institutions publics et d'Etat des pays africains vont s'efforcer de trouver les voies et moyens à même de leur permettre de coordonner leurs efforts pour asseoir une action commune et une politique unifiée en vue de prendre en charge d'éventuels événements de catastrophes majeures imprévisibles. La catastrophe chimique ayant été à l'origine des émanations de gaz et déchets toxiques à Abidjan, il y a quelques années, aurait pu être évitée si des précautions et des mesures de sécurité et de protection ont été prises préalablement. D'autres thèmes, non moins importants seront également débattus durant la journée de demain où il sera notamment question de développer des actions de partenariat dans les domaines du développement des assurances des risques environnementaux, la coordination des différents assureurs- vie africains et des compagnies d'assurances à l'exportation. Etant à la recherche d'une intégration économique continentale entre les Etats, l'Afrique envisage d'accélérer les échanges commerciaux et la coopération entre les différents partenaires économiques des 52 Etats du continent. Le secteur des assurances est considéré comme primordial pour mener à bien les projets de coopération économique. Le programme du NEEPAD est justement basé sur l'instauration d'une coopération multiforme et multilatérale entre l'ensemble des pays africains. C'est dans ce sens qu'aujourd'hui aura lieu la réunion des courtiers d'assurances africains. L'inauguration de cette 35e édition de la Conférence AG de l'OAA sera rehaussée par le discours du chef du gouvernement, Abdelaziz Belkhadem et l'allocution du ministre des Finances, Karim Djoudi.