Ahmed Ouyahia, secrétaire général du RND, a confirmé l'imminence de la révision de la Constitution. «Elle va arriver», a-t-il affirmé jeudi dernier sur les ondes de la radio Chaîne II. Ahmed Ouyahia, secrétaire général du RND, a confirmé l'imminence de la révision de la Constitution. «Elle va arriver», a-t-il affirmé jeudi dernier sur les ondes de la radio Chaîne II. Après Ziari et Soltani, respectivement présidents de l'APN et du MSP, et le SG du FLN, Abdelaziz Belkhadem, c'est au tour de Ahmed Ouyahia, secrétaire général du RND, de confirmer l'imminence de la révision de la Constitution. « Elle va arriver », a-t-il affirmé jeudi dernier sur les ondes de la radio Chaîne II, soulignant que « le contenu et le moment de cette échéance relèvent uniquement des prérogatives du Président ». Ouyahia soutiendra toutefois que la révision ne devrait pas toucher à « l'équilibre des institutions» . Un « avis » qui laisse croire que la l'amendement de la loi fondamentale du pays se fera au niveau du Parlement. Aussi, Ouyahia ne manquera pas de réitérer la position de son parti par rapport au troisième mandat présidentiel en évoquant «l'avantage de la continuité». Un principe qui concerne, également, l'actuelle équipe gouvernementale dont l'amélioration du rendement n'exige pas un grand lifting, a-t-il laissé entendre. Le pays, avancera Ouyahia, en parlant du remaniement ministériel, est plutôt dans le besoin de «réformer les mentalités des gouvernants et celles du peuple». Le SG du RND estimera que l'actuel Exécutif doit donner plus de facilitations à l'investissement national, en lui proposant de «secouer les banques ». Ces dernières, a-t-il relevé, «refusent de financer les jeunes promoteurs et accordent des crédits en dizaines de milliards de DA à des gens qui ne remboursent jamais». Parlant du troisième congrès de son parti, prévu mercredi prochain, il indiquera que la résolution politique qui en émanera sera sans surprise. «Il n'y aura pas de révolution dans les positions du RND», a-t-il dit en précisant que « le statut du parti fera l'objet de révision. » Et d'ajouter que «les congressistes ont décidé d'élaborer une résolution spéciale sur les questions économiques et sociales». Ouyahia fera savoir que les 8 congrès régionaux organisés dernièrement ont permis à quelque 78.000 militants, sur les 180.000 que compte le parti de se réunir et s'exprimer. Les militants établis à l'étranger tiendront leur congrès au cours de cette semaine à Alger, ajoutera-t-il. Ahmed Ouyahia qui s'est montré très confiant quant à sa reconduction à la tête du RND fera part des innovations à apporter par le congrès national. Il est question, notamment, de la création de clubs de réflexion et de la consolidation de la place de la femme au sein des instances du parti. La gente féminine sera représentée par 60 membres au sein du Conseil national, au lieu de 30 actuellement, a-t-il indiqué. Par ailleurs, le SG du RND dira ne pas trouver d'inconvénient à ce que l'Algérie participe au sommet du lancement de l'UPM, prévu à Paris le 13 juillet prochain. Cela après avoir endossé la position officielle de l'Algérie, consistant à demander plus de clarification sur ce projet, particulièrement, le point inhérent à la présence d'Israël dans cette union. Sur un autre registre, Ouyahia affichera un soutien inconditionnel à la politique du ministère des Affaires religieuses pour ce qui concerne le prosélytisme. Selon lui, la fermeture de certaines églises et la poursuite en justice de quelques prédicateurs sont intervenues «en application de la loi sur le culte». Cette dernière, rappellera-t-il, a été promulguée, au temps où il était Chef de gouvernement, dans le but de «mettre fin à la prolifération des lieux de culte clandestins, qu'il soient musulmans ou autres». Après Ziari et Soltani, respectivement présidents de l'APN et du MSP, et le SG du FLN, Abdelaziz Belkhadem, c'est au tour de Ahmed Ouyahia, secrétaire général du RND, de confirmer l'imminence de la révision de la Constitution. « Elle va arriver », a-t-il affirmé jeudi dernier sur les ondes de la radio Chaîne II, soulignant que « le contenu et le moment de cette échéance relèvent uniquement des prérogatives du Président ». Ouyahia soutiendra toutefois que la révision ne devrait pas toucher à « l'équilibre des institutions» . Un « avis » qui laisse croire que la l'amendement de la loi fondamentale du pays se fera au niveau du Parlement. Aussi, Ouyahia ne manquera pas de réitérer la position de son parti par rapport au troisième mandat présidentiel en évoquant «l'avantage de la continuité». Un principe qui concerne, également, l'actuelle équipe gouvernementale dont l'amélioration du rendement n'exige pas un grand lifting, a-t-il laissé entendre. Le pays, avancera Ouyahia, en parlant du remaniement ministériel, est plutôt dans le besoin de «réformer les mentalités des gouvernants et celles du peuple». Le SG du RND estimera que l'actuel Exécutif doit donner plus de facilitations à l'investissement national, en lui proposant de «secouer les banques ». Ces dernières, a-t-il relevé, «refusent de financer les jeunes promoteurs et accordent des crédits en dizaines de milliards de DA à des gens qui ne remboursent jamais». Parlant du troisième congrès de son parti, prévu mercredi prochain, il indiquera que la résolution politique qui en émanera sera sans surprise. «Il n'y aura pas de révolution dans les positions du RND», a-t-il dit en précisant que « le statut du parti fera l'objet de révision. » Et d'ajouter que «les congressistes ont décidé d'élaborer une résolution spéciale sur les questions économiques et sociales». Ouyahia fera savoir que les 8 congrès régionaux organisés dernièrement ont permis à quelque 78.000 militants, sur les 180.000 que compte le parti de se réunir et s'exprimer. Les militants établis à l'étranger tiendront leur congrès au cours de cette semaine à Alger, ajoutera-t-il. Ahmed Ouyahia qui s'est montré très confiant quant à sa reconduction à la tête du RND fera part des innovations à apporter par le congrès national. Il est question, notamment, de la création de clubs de réflexion et de la consolidation de la place de la femme au sein des instances du parti. La gente féminine sera représentée par 60 membres au sein du Conseil national, au lieu de 30 actuellement, a-t-il indiqué. Par ailleurs, le SG du RND dira ne pas trouver d'inconvénient à ce que l'Algérie participe au sommet du lancement de l'UPM, prévu à Paris le 13 juillet prochain. Cela après avoir endossé la position officielle de l'Algérie, consistant à demander plus de clarification sur ce projet, particulièrement, le point inhérent à la présence d'Israël dans cette union. Sur un autre registre, Ouyahia affichera un soutien inconditionnel à la politique du ministère des Affaires religieuses pour ce qui concerne le prosélytisme. Selon lui, la fermeture de certaines églises et la poursuite en justice de quelques prédicateurs sont intervenues «en application de la loi sur le culte». Cette dernière, rappellera-t-il, a été promulguée, au temps où il était Chef de gouvernement, dans le but de «mettre fin à la prolifération des lieux de culte clandestins, qu'il soient musulmans ou autres».