D'un côté l'Iran qui continue à revendiquer haut et fort son droit à la poursuite de ses recherches nucléaires, et de l'autre les pays occidentaux et leur politique de la carotte et du bâton. Le feuilleton se poursuit cahin caha. D'un côté l'Iran qui continue à revendiquer haut et fort son droit à la poursuite de ses recherches nucléaires, et de l'autre les pays occidentaux et leur politique de la carotte et du bâton. Le feuilleton se poursuit cahin caha. Toutes les parties concernées par la question du nucléaire iranien continuent de souffler le chaud et le froid puisqu'aux avertissements succèdent imparablement des discussions et des négociations. Ainsi l'annonce faite hier après midi et confirmée autant par Téhéran que la porte parole de l'Espagnol Javier Solana, affirmant que ce dernier allait rencontrer, samedi prochain à Genève, le négociateur iranien Said Jalili. Mme Cristina Gallach a expliqué que « les discussions porteront sur le thème de l'énergie atomique et de la réponse iranienne récemment faite à la proposition transmise par Solana lui-même au mois de juin aux Iraniens et élaborée part les «six». A savoir, les USA la Chine, la Russie, la France, la Grande-Bretagne et l'Allemagne. Selon les termes de ce paquet de propositions, il s'agirait de «reconnaître le droit de l'Iran à développer des recherches, la production ainsi que l'utilisation de l'énergie nucléaire à des fins exclusivement pacifiques, en échange d'une coopération des grandes puissances dans des domaines aussi variés que le nucléaire civil lui-même, l'économie, le commerce et la politique.» On sait que le président iranien Ahmadinejad a déjà prévenu que son pays «ne reculera pas d'un iota pour ce qui est de son droit à développer les recherches dans le domaine de l'énergie nucléaire.» Renchérissant aux propos du président, le porte-parole du gouvernement iranien a, de son côté, affirmé que «toute attaque ou action militaire contre notre pays serait un acte stupide dont les répercussions pourraient affecter tout le monde. » Il réagissait aux propos répétés ces derniers temps et faisant allusion aux préparatifs d'une attaque américano israélienne contre l'Iran. La dureté de ces réactions autant de la part de Washington que de Tel Aviv faisait suite aux tests balistiques effectués par Téhéran à la fin juin passée. Mais pour l'heure, l'administration américaine vient de rappeler que malgré tout elle préfère la diplomatie « même si l'option militaire n'est pas définitivement écartée. » Tempérant la situation actuelle, Moscou vient d'affirmer qu'aux yeux de la Russie, « les conditions sont réunies pour entamer des pourparlers sérieux avec l'Iran. » On sait aussi que Téhéran a déjà répondu à la proposition des «six», mais que le contenu de la réponse n'a toujours pas être rendu public. Tout ce que l'on sait, c'est que Solana a qualifié cette réponse de « difficile et qu'il faut bien l'analyser. » Concernant la question du nucléaire iranien, c'est donc la stratégie chère aux Français et qui consiste en une diplomatie à double vitesse qui n'exclut ni les sanctions ni une éventuelle action militaire qui l'a emporté sur le jusqu'au boutisme initial de George Bush et des siens. Rappelons que le Conseil de sécurité de l'ONU a voté une troisième résolution la 1803, il y a tout juste deux mois et qu'auparavant, en décembre 2006, et en mars 2007, l'avaient précédé les résolutions 1737 et 1747. Ce qui n'a jamais empêché Téhéran d'une part de poursuivre ses recherches, et d'autre part de continuellement répéter que c'est le droit absolu du peuple iranien que de poursuivre ses recherches nucléaires. Toutes les parties concernées par la question du nucléaire iranien continuent de souffler le chaud et le froid puisqu'aux avertissements succèdent imparablement des discussions et des négociations. Ainsi l'annonce faite hier après midi et confirmée autant par Téhéran que la porte parole de l'Espagnol Javier Solana, affirmant que ce dernier allait rencontrer, samedi prochain à Genève, le négociateur iranien Said Jalili. Mme Cristina Gallach a expliqué que « les discussions porteront sur le thème de l'énergie atomique et de la réponse iranienne récemment faite à la proposition transmise par Solana lui-même au mois de juin aux Iraniens et élaborée part les «six». A savoir, les USA la Chine, la Russie, la France, la Grande-Bretagne et l'Allemagne. Selon les termes de ce paquet de propositions, il s'agirait de «reconnaître le droit de l'Iran à développer des recherches, la production ainsi que l'utilisation de l'énergie nucléaire à des fins exclusivement pacifiques, en échange d'une coopération des grandes puissances dans des domaines aussi variés que le nucléaire civil lui-même, l'économie, le commerce et la politique.» On sait que le président iranien Ahmadinejad a déjà prévenu que son pays «ne reculera pas d'un iota pour ce qui est de son droit à développer les recherches dans le domaine de l'énergie nucléaire.» Renchérissant aux propos du président, le porte-parole du gouvernement iranien a, de son côté, affirmé que «toute attaque ou action militaire contre notre pays serait un acte stupide dont les répercussions pourraient affecter tout le monde. » Il réagissait aux propos répétés ces derniers temps et faisant allusion aux préparatifs d'une attaque américano israélienne contre l'Iran. La dureté de ces réactions autant de la part de Washington que de Tel Aviv faisait suite aux tests balistiques effectués par Téhéran à la fin juin passée. Mais pour l'heure, l'administration américaine vient de rappeler que malgré tout elle préfère la diplomatie « même si l'option militaire n'est pas définitivement écartée. » Tempérant la situation actuelle, Moscou vient d'affirmer qu'aux yeux de la Russie, « les conditions sont réunies pour entamer des pourparlers sérieux avec l'Iran. » On sait aussi que Téhéran a déjà répondu à la proposition des «six», mais que le contenu de la réponse n'a toujours pas être rendu public. Tout ce que l'on sait, c'est que Solana a qualifié cette réponse de « difficile et qu'il faut bien l'analyser. » Concernant la question du nucléaire iranien, c'est donc la stratégie chère aux Français et qui consiste en une diplomatie à double vitesse qui n'exclut ni les sanctions ni une éventuelle action militaire qui l'a emporté sur le jusqu'au boutisme initial de George Bush et des siens. Rappelons que le Conseil de sécurité de l'ONU a voté une troisième résolution la 1803, il y a tout juste deux mois et qu'auparavant, en décembre 2006, et en mars 2007, l'avaient précédé les résolutions 1737 et 1747. Ce qui n'a jamais empêché Téhéran d'une part de poursuivre ses recherches, et d'autre part de continuellement répéter que c'est le droit absolu du peuple iranien que de poursuivre ses recherches nucléaires.