La chancelière allemande est arrivée hier à Alger, pour une visite officielle de deux jours, à l'invitation du chef de l'Etat Abdelaziz Bouteflika. C'est la première visite d'un chancelier allemand en Algérie depuis celle de Gerhard Schroeder en octobre 2004. Néanmoins, plusieurs visites de responsables allemands ont déjà eu lieu par le passé dont celle du président fédéral Horst Köhler et du chef d'état-major de l'armée, le général d'armée Wolfgang Schneiderhan, fin 2007. Angela Merkel devra s'entretenir aujourd'hui avec le président de la République. Hier, la chancelière allemande devrait assister à un forum des hommes d'affaires algériens et allemands. Les relations algéro-allemandes et les moyens de les promouvoir et les intensifier sont au menu des discussions, notamment dans le secteur du gaz, l'Algérie étant un sérieux fournisseur. Aussi la question de la promotion des énergies renouvelables constitue-t-elle une sérieuse option entre les deux pays, sachant que l'Allemagne est un des leaders mondiaux en la matière, et l'Algérie recèle des potentialités très considérables, notamment en ce qui concerne l'énergie solaire. En effet, les deux pays avaient déjà projeté de réaliser une ligne électrique solaire reliant les deux villes d'Adrar et d'Aachen sur une distance de 3.000 Km. La coopération algéro-allemande s'est concrétisée par ailleurs par le projet de construction d'une centrale hybride gaz-solaire à la localité de Hassi R'mel (Laghouat), une première de ce genre dans le monde. En outre, l'on avance également de probables pourparlers dans le secteur militaire entre la chancelière allemande et les responsables algériens. Ainsi, Berlin voudrait explorer la possibilité de vendre des équipements militaires à l'Algérie et participer à la formation de ses officiers, croit-on savoir. Le domaine culturel n'est pas en reste dans cette visite de la chancelière allemande, puisque les responsables allemands envisagent de réouvrir officiellement l'Institut Goethe, abrité actuellement dans les locaux de l'ambassade. La chancelière allemande est arrivée hier à Alger, pour une visite officielle de deux jours, à l'invitation du chef de l'Etat Abdelaziz Bouteflika. C'est la première visite d'un chancelier allemand en Algérie depuis celle de Gerhard Schroeder en octobre 2004. Néanmoins, plusieurs visites de responsables allemands ont déjà eu lieu par le passé dont celle du président fédéral Horst Köhler et du chef d'état-major de l'armée, le général d'armée Wolfgang Schneiderhan, fin 2007. Angela Merkel devra s'entretenir aujourd'hui avec le président de la République. Hier, la chancelière allemande devrait assister à un forum des hommes d'affaires algériens et allemands. Les relations algéro-allemandes et les moyens de les promouvoir et les intensifier sont au menu des discussions, notamment dans le secteur du gaz, l'Algérie étant un sérieux fournisseur. Aussi la question de la promotion des énergies renouvelables constitue-t-elle une sérieuse option entre les deux pays, sachant que l'Allemagne est un des leaders mondiaux en la matière, et l'Algérie recèle des potentialités très considérables, notamment en ce qui concerne l'énergie solaire. En effet, les deux pays avaient déjà projeté de réaliser une ligne électrique solaire reliant les deux villes d'Adrar et d'Aachen sur une distance de 3.000 Km. La coopération algéro-allemande s'est concrétisée par ailleurs par le projet de construction d'une centrale hybride gaz-solaire à la localité de Hassi R'mel (Laghouat), une première de ce genre dans le monde. En outre, l'on avance également de probables pourparlers dans le secteur militaire entre la chancelière allemande et les responsables algériens. Ainsi, Berlin voudrait explorer la possibilité de vendre des équipements militaires à l'Algérie et participer à la formation de ses officiers, croit-on savoir. Le domaine culturel n'est pas en reste dans cette visite de la chancelière allemande, puisque les responsables allemands envisagent de réouvrir officiellement l'Institut Goethe, abrité actuellement dans les locaux de l'ambassade.