Le candidat démocrate à la présidentielle américaine, Barack Obama, achève hier, une visite en Irak, où il s'était entretenu avec le Premier ministre irakien, Nouri al-Maliki, de l'évolution de la situation sécuritaire dans le pays. Au cours des discussions, M. al Maliki, qui s'est félicité des efforts accomplis par les forces de sécurité irakiennes, a souhaité que les troupes américaines quittent le pays au plus tard en 2010. M. Obama, en tête dans les sondages avant la présidentielle américaine de novembre prochain, prône un retrait militaire américain en 16 mois à partir de sa prise de fonction en janvier, s'il est élu à la présidence. «Cela sera l'été 2010, deux ans à partir de maintenant», avait-il annoncé. L'avenir de la présence militaire américaine en Irak, et la question du retrait des quelque 145.000 soldats américains déployés dans le pays fait l'objet de négociations entre le gouvernement irakien et l'Administration américaine. La visite intervient alors que la violence dans le pays est à son plus bas niveau depuis le début, en mars 2003, de l'intervention militaire dans le pays conduite par les Etats-Unis, à laquelle le sénateur américain s'était opposé. Le candidat démocrate à la présidentielle américaine, Barack Obama, achève hier, une visite en Irak, où il s'était entretenu avec le Premier ministre irakien, Nouri al-Maliki, de l'évolution de la situation sécuritaire dans le pays. Au cours des discussions, M. al Maliki, qui s'est félicité des efforts accomplis par les forces de sécurité irakiennes, a souhaité que les troupes américaines quittent le pays au plus tard en 2010. M. Obama, en tête dans les sondages avant la présidentielle américaine de novembre prochain, prône un retrait militaire américain en 16 mois à partir de sa prise de fonction en janvier, s'il est élu à la présidence. «Cela sera l'été 2010, deux ans à partir de maintenant», avait-il annoncé. L'avenir de la présence militaire américaine en Irak, et la question du retrait des quelque 145.000 soldats américains déployés dans le pays fait l'objet de négociations entre le gouvernement irakien et l'Administration américaine. La visite intervient alors que la violence dans le pays est à son plus bas niveau depuis le début, en mars 2003, de l'intervention militaire dans le pays conduite par les Etats-Unis, à laquelle le sénateur américain s'était opposé.