La route menant vers Béjaïa est bâtie sur un spectacle saisissant de la courbure harmonieuse du golfe que longe la montagne, découpant la côte ouest, où se succèdent majestueusement des falaises, des plages, des caps et des presqu'îles. La route menant vers Béjaïa est bâtie sur un spectacle saisissant de la courbure harmonieuse du golfe que longe la montagne, découpant la côte ouest, où se succèdent majestueusement des falaises, des plages, des caps et des presqu'îles. Laissant derrière le Petit-paradis, une plage sise au cœur de la ville des artistes Azeffoun, dans la wilaya de Tizi- Ouzou, on prend la route pour rejoindre la capitale des Hammadites, distante d'une centaine de kilomètres d'Azeffoun. Le temps était beau, la mer invitait à la baignade, et ce sans parler de la tentation de s'arrêter à chaque coin, histoire de prendre une photo. En effet, tout le long de la route nationale 24, un panorama envoûtant, fait d'un mariage naturel entre le bleu turquois de la mer et le vert de la montagne, s'offre à nos yeux. Outre ces atouts naturels, d'agréables cafétérias et terrasses de restaurants, regroupant, le temps d'un repas, des bandes de copains, mais surtout des couples ou bien des familles entières, longent superbement le chemin. Ces petits coins aux activités saisonnières ajoutent leurs charmes au paysage. La route est sinueuse. Le voyageur a l'impression de découvrir constamment, après chaque virage, un nouveau paysage. «Que de merveilles qui font de la côte ouest de Béjaïa un véritable coin de rêve», nous dit Omar, un chauffeur de Taxi qui semble connaître parfaitement les lieux. Chaque été, témoigne-t-il, «les plages de Thaïs, Saket, Tagheramt et Boulimate grouillent d'estivants». Que des processions de véhicules. Les passagers n'arrivent pas à résister devant la beauté exotique et les tableaux pittoresques qui s'offrent à leurs yeux. La route menant vers Béjaïa est bâtie sur un spectacle saisissant de la courbure harmonieuse du golfe que longe la montagne, découpant la côte ouest, où se succèdent majestueusement des falaises, des plages, des caps et des presqu'îles. Les immatriculations de voitures que nous croisons attestent, incontestablement, des origines diverses des estivants. Paysages contrastes Les paysages pittoresques aux multiples couleurs sont subjuguants. «Les côtes bougiottes ont tous les atouts pour séduire des touristes et devenir la capitale du tourisme en Algérie», estime Hakim, un voyageur passionné, semble-t-il, de la mer et de la nature, qualifiant sans ambages la ville de Yemma Gouria de paradis. Le littoral de Béjaïa s'étale sur une centaine de kilomètres. Il compte de nombreuses plages qui font de la région une destination de rêve pour des milliers d'estivants. les belles plages, au nombre de 68, ne cessent d'attirer, de plus en plus, des vacanciers, provenant des quatre coins du pays, voire de l'étranger. Celles-ci sont séparées dans certains cas par des escarpements rocheux ou forestiers qui plongent dans l'eau bleue de la Méditerranée. Outre la limpidité de l'eau, les adeptes du bronzage peuvent s'étendre royalement sur du sable extrêmement fin. A Boulimate, nous avons appris auprès des estivants qu'il faut venir tôt pour s'offrir une place. Cette plage est notamment fréquentée par des Bougiottes et des émigrés. «Je suis très impressionné par le littoral béjaoui, il est considérablement riche en sites et en paysages contrastes», souligne Hocine, un émigré rencontré à Boulimate, estimant que les charmes enchanteurs des plages bougiottes, à l'instar des Aiguades, Boulimate, Saket, Théchy, Aokas, Melbou et bien d'autres encore plus attrayantes par leur tranquillité et leur beauté, sont autant d'atouts qui peuvent faire de la région une zone touristique par excellence. C'est le début de l'après-midi, un moment d'affluence record. La plage de Saket est pleine à craquer. Des familles entières, des jeunes filles et des garçons se côtoient dans un climat de chaleur intense au bord de la Méditerranée. Par groupe ou en solitaire, tout le monde tente de profiter au mieux d'une mer calme et sereine. Chaque été, Saket enregistre une affluence record d'estivants. Et pour preuve, l'on constate que l'espace manque visiblement. «Ici, c'est calme et bien fréquenté. On peut vraiment y passer un moment agréable», nous dit d'emblée Ahmed, un enseignant venu en famille pour passer son congé d'été, ajoutant : «Je viens régulièrement ici depuis quatre ans», dit le chef de famille qui précise, sans qu'on le lui demande, qu'«ici, c'est tranquille, c'est plus propre et c'est sécurisé». Calme et sérénité Le choix de ces belles plages s'explique, selon les touristes, d'abord par la tranquillité, la beauté des lieux et l'ambiance familiale, mais surtout par la sécurité totale qui règne au niveau de l'ensemble des sites touristiques que recèle cette région. S'agissant du volet sécuritaire, la wilaya de Béjaïa est connue par sa sérénité et sa quiétude. Cet aspect contribue, d'ailleurs, à plus d'un titre, aux grands rushs des estivants que connaît périodiquement la capitale des Hammadites. Le corps de la Gendarmerie nationale a mobilisé, dans le cadre du plan «Delphine», un effectif considérable pour veiller sur la sécurité et la quiétude des citoyens, mais surtout pour mieux organiser la grande circulation routière et la lutte contre la criminalité sous toutes ses formes. Outre les éléments de la Gendarmerie nationale, nous avons constaté la forte présence de la police qui s'est fortement déployée, à son tour, à travers le plan «Azur». Soulignons, en outre, que chaque plage est dotée d'un poste de gendarmerie. Des gendarmes circulent le long des plages pour intervenir rapidement en cas d'incident. Aussi, la surveillance des plages est, aussi, appuyée par des hélicoptères qui survolent quotidiennement les côtes. Un parc hôtelier riche et diversifié La capitale des Hammadites dispose d'un parc hôtelier assez important. «Les hôtels sont nombreux. Ces derniers ne manquent d'aucune commodité. Les touristes n'ont pas à s'inquiéter là-dessus», nous a indiqué Mourad, l'un des chargés de la communication au niveau de la Direction du tourisme de la wilaya en ajoutant que les services de la wilaya chargés du contrôle des hôtels ont veillé, assure-t-il, à ce que tous les hôtels de la ville soient conformes aux normes requises par la loi. Les Hammadites, un établissement d'Etat, est à moitié plein. A première vue, rien n'est fait pour l'occasion. C'est une bâtisse qui s'étale en longueur, agrémentée d'un jardin plus ou moins bien entretenu. «Cet hôtel aurait pu, souligne Hassan, un émigré habitué des lieux, constituer l'un des complexes de rêve. Par là, l'ambiance est très familiale», rassure-t-il en connaisseur des lieux. Le personnel fait montre d'un professionnalisme certain. Les chambres sont d'un bon standing et soigneusement équipées. Non loin de là, le club Alloui et l'Hôtel Syphax. Deux autres bijoux qui se côtoient pour mieux illustrer tous les efforts d'un investissement privé. Ces derniers affichent pratiquement complets quotidiennement à en croire Hocine, un réceptionniste à l'hôtel Syphaxe, notant que la nouveauté pour la saison en cours est, sans doute, l'arrivée massive des nouveaux mariés pour des séjours nuptiaux. Même constat, a-t-on établi, à Thaïs, au village touristiques Saket, au Grand rocher et Delphine. Les locataires sont pour la plupart des touristes venus des différentes wilayas du pays ou des émigrés. Ces derniers ne manquent pas de satisfaction quant à l'accueil réservé et à l'animation assurée. Les soirées artistiques et la variété des loisirs proposés sont autant d'ingrédients, assurant des paisibles séjours aux vacanciers. «Depuis que j'ai eu à découvrir la région de Béjaïa, il y a cinq années, je n'ai pas encore raté une occasion de venir y passer mon congé d'été», nous a fait savoir El-Djouhar, une native de Tizi-Ouzou, rencontrée à Boulimate, accompagnée de ses deux garçons. Signalons, enfin, que la wilaya de Béjaïa a connu, notamment depuis quelques années, un notable investissement en matière touristique. A ce sujet, nous avons appris auprès de la Direction de tourisme de la wilaya qu'en plus des investissements hôteliers déjà réalisés dans la région, plusieurs autres projets sont inscrits et les demandes d'investissements ne manquent pas. Laissant derrière le Petit-paradis, une plage sise au cœur de la ville des artistes Azeffoun, dans la wilaya de Tizi- Ouzou, on prend la route pour rejoindre la capitale des Hammadites, distante d'une centaine de kilomètres d'Azeffoun. Le temps était beau, la mer invitait à la baignade, et ce sans parler de la tentation de s'arrêter à chaque coin, histoire de prendre une photo. En effet, tout le long de la route nationale 24, un panorama envoûtant, fait d'un mariage naturel entre le bleu turquois de la mer et le vert de la montagne, s'offre à nos yeux. Outre ces atouts naturels, d'agréables cafétérias et terrasses de restaurants, regroupant, le temps d'un repas, des bandes de copains, mais surtout des couples ou bien des familles entières, longent superbement le chemin. Ces petits coins aux activités saisonnières ajoutent leurs charmes au paysage. La route est sinueuse. Le voyageur a l'impression de découvrir constamment, après chaque virage, un nouveau paysage. «Que de merveilles qui font de la côte ouest de Béjaïa un véritable coin de rêve», nous dit Omar, un chauffeur de Taxi qui semble connaître parfaitement les lieux. Chaque été, témoigne-t-il, «les plages de Thaïs, Saket, Tagheramt et Boulimate grouillent d'estivants». Que des processions de véhicules. Les passagers n'arrivent pas à résister devant la beauté exotique et les tableaux pittoresques qui s'offrent à leurs yeux. La route menant vers Béjaïa est bâtie sur un spectacle saisissant de la courbure harmonieuse du golfe que longe la montagne, découpant la côte ouest, où se succèdent majestueusement des falaises, des plages, des caps et des presqu'îles. Les immatriculations de voitures que nous croisons attestent, incontestablement, des origines diverses des estivants. Paysages contrastes Les paysages pittoresques aux multiples couleurs sont subjuguants. «Les côtes bougiottes ont tous les atouts pour séduire des touristes et devenir la capitale du tourisme en Algérie», estime Hakim, un voyageur passionné, semble-t-il, de la mer et de la nature, qualifiant sans ambages la ville de Yemma Gouria de paradis. Le littoral de Béjaïa s'étale sur une centaine de kilomètres. Il compte de nombreuses plages qui font de la région une destination de rêve pour des milliers d'estivants. les belles plages, au nombre de 68, ne cessent d'attirer, de plus en plus, des vacanciers, provenant des quatre coins du pays, voire de l'étranger. Celles-ci sont séparées dans certains cas par des escarpements rocheux ou forestiers qui plongent dans l'eau bleue de la Méditerranée. Outre la limpidité de l'eau, les adeptes du bronzage peuvent s'étendre royalement sur du sable extrêmement fin. A Boulimate, nous avons appris auprès des estivants qu'il faut venir tôt pour s'offrir une place. Cette plage est notamment fréquentée par des Bougiottes et des émigrés. «Je suis très impressionné par le littoral béjaoui, il est considérablement riche en sites et en paysages contrastes», souligne Hocine, un émigré rencontré à Boulimate, estimant que les charmes enchanteurs des plages bougiottes, à l'instar des Aiguades, Boulimate, Saket, Théchy, Aokas, Melbou et bien d'autres encore plus attrayantes par leur tranquillité et leur beauté, sont autant d'atouts qui peuvent faire de la région une zone touristique par excellence. C'est le début de l'après-midi, un moment d'affluence record. La plage de Saket est pleine à craquer. Des familles entières, des jeunes filles et des garçons se côtoient dans un climat de chaleur intense au bord de la Méditerranée. Par groupe ou en solitaire, tout le monde tente de profiter au mieux d'une mer calme et sereine. Chaque été, Saket enregistre une affluence record d'estivants. Et pour preuve, l'on constate que l'espace manque visiblement. «Ici, c'est calme et bien fréquenté. On peut vraiment y passer un moment agréable», nous dit d'emblée Ahmed, un enseignant venu en famille pour passer son congé d'été, ajoutant : «Je viens régulièrement ici depuis quatre ans», dit le chef de famille qui précise, sans qu'on le lui demande, qu'«ici, c'est tranquille, c'est plus propre et c'est sécurisé». Calme et sérénité Le choix de ces belles plages s'explique, selon les touristes, d'abord par la tranquillité, la beauté des lieux et l'ambiance familiale, mais surtout par la sécurité totale qui règne au niveau de l'ensemble des sites touristiques que recèle cette région. S'agissant du volet sécuritaire, la wilaya de Béjaïa est connue par sa sérénité et sa quiétude. Cet aspect contribue, d'ailleurs, à plus d'un titre, aux grands rushs des estivants que connaît périodiquement la capitale des Hammadites. Le corps de la Gendarmerie nationale a mobilisé, dans le cadre du plan «Delphine», un effectif considérable pour veiller sur la sécurité et la quiétude des citoyens, mais surtout pour mieux organiser la grande circulation routière et la lutte contre la criminalité sous toutes ses formes. Outre les éléments de la Gendarmerie nationale, nous avons constaté la forte présence de la police qui s'est fortement déployée, à son tour, à travers le plan «Azur». Soulignons, en outre, que chaque plage est dotée d'un poste de gendarmerie. Des gendarmes circulent le long des plages pour intervenir rapidement en cas d'incident. Aussi, la surveillance des plages est, aussi, appuyée par des hélicoptères qui survolent quotidiennement les côtes. Un parc hôtelier riche et diversifié La capitale des Hammadites dispose d'un parc hôtelier assez important. «Les hôtels sont nombreux. Ces derniers ne manquent d'aucune commodité. Les touristes n'ont pas à s'inquiéter là-dessus», nous a indiqué Mourad, l'un des chargés de la communication au niveau de la Direction du tourisme de la wilaya en ajoutant que les services de la wilaya chargés du contrôle des hôtels ont veillé, assure-t-il, à ce que tous les hôtels de la ville soient conformes aux normes requises par la loi. Les Hammadites, un établissement d'Etat, est à moitié plein. A première vue, rien n'est fait pour l'occasion. C'est une bâtisse qui s'étale en longueur, agrémentée d'un jardin plus ou moins bien entretenu. «Cet hôtel aurait pu, souligne Hassan, un émigré habitué des lieux, constituer l'un des complexes de rêve. Par là, l'ambiance est très familiale», rassure-t-il en connaisseur des lieux. Le personnel fait montre d'un professionnalisme certain. Les chambres sont d'un bon standing et soigneusement équipées. Non loin de là, le club Alloui et l'Hôtel Syphax. Deux autres bijoux qui se côtoient pour mieux illustrer tous les efforts d'un investissement privé. Ces derniers affichent pratiquement complets quotidiennement à en croire Hocine, un réceptionniste à l'hôtel Syphaxe, notant que la nouveauté pour la saison en cours est, sans doute, l'arrivée massive des nouveaux mariés pour des séjours nuptiaux. Même constat, a-t-on établi, à Thaïs, au village touristiques Saket, au Grand rocher et Delphine. Les locataires sont pour la plupart des touristes venus des différentes wilayas du pays ou des émigrés. Ces derniers ne manquent pas de satisfaction quant à l'accueil réservé et à l'animation assurée. Les soirées artistiques et la variété des loisirs proposés sont autant d'ingrédients, assurant des paisibles séjours aux vacanciers. «Depuis que j'ai eu à découvrir la région de Béjaïa, il y a cinq années, je n'ai pas encore raté une occasion de venir y passer mon congé d'été», nous a fait savoir El-Djouhar, une native de Tizi-Ouzou, rencontrée à Boulimate, accompagnée de ses deux garçons. Signalons, enfin, que la wilaya de Béjaïa a connu, notamment depuis quelques années, un notable investissement en matière touristique. A ce sujet, nous avons appris auprès de la Direction de tourisme de la wilaya qu'en plus des investissements hôteliers déjà réalisés dans la région, plusieurs autres projets sont inscrits et les demandes d'investissements ne manquent pas.