la 3e édition du Festival national de la musique actuelle qui a vu la présence de la ministre de la Culture, Khalida Toumi, a tiré à sa fin avec comme cerise sur le gâteau un sublimissime concert donné par le groupe hip-hop «Game Over», HTM (hchicha talba maïcha) et l'incontesté Mohamed Allaoua. la 3e édition du Festival national de la musique actuelle qui a vu la présence de la ministre de la Culture, Khalida Toumi, a tiré à sa fin avec comme cerise sur le gâteau un sublimissime concert donné par le groupe hip-hop «Game Over», HTM (hchicha talba maïcha) et l'incontesté Mohamed Allaoua. Après six nuits d'affilée de musique de différents rythmes, animées par une pléiade de groupes et d'artistes, venus d'un peu partout, qui ont défilé sur la scène de l'esplanade du centre-ville, la 3e édition du Festival national de la musique actuelle en présence de la ministre de la Culture, Khalida Toumi, a tiré à sa fin avec comme cerise sur le gâteau un sublimissime concert donné par le groupe hip-hop «Game Over», HTM (hchicha talba maïcha) et l'incontesté Mohamed Allaoua. Tous ont régalé le public jusqu'à une heure tardive de la nuit. Deux jours plus tôt, Khalas, avec son style sétifien, et qui n'a donc pas été dépaysé, avait à son tour excellé. Pour céder ensuite la deuxième partie de la soirée à El Hadja Zahouania, en jean et cheveux teints dans le vent, qui avait porté un peu d'eau au moulin, en berçant ses fans jusqu'à l'épuisement. Grosso modo, tout le monde témoigne que les organisateurs ont su clore la fête en apothéose. D'abord par un show survolté de danse hip-hop exécuté par la troupe locale «Game Over» suivie par Halim, casquette à l'envers, un rappeur qui, un jour auparavant, avait décroché le premier prix du Festival national de la chanson rap à Mostaganem. Durant l'interlude où des prix ont été attribués à ceux qui ont contribué à la réussite du Festival, la scène a été libérée à Mohamed Allaoua. Atone et aphone, l'idole de la nouvelle génération n'a ménagé ni ses cordes vocales ni ses jambes et ses bras, en occupant tout l'espace de la scène. Mais ce qui a orné le spectacle, c'était sa reprise à l'identique mais à merveille de «Aslavit a yabhri» à feu Matoub, et un slow «Assendou» à Idir, face à un public fin connaisseur et toute ouïe qu'il en avait l'air. Après six nuits d'affilée de musique de différents rythmes, animées par une pléiade de groupes et d'artistes, venus d'un peu partout, qui ont défilé sur la scène de l'esplanade du centre-ville, la 3e édition du Festival national de la musique actuelle en présence de la ministre de la Culture, Khalida Toumi, a tiré à sa fin avec comme cerise sur le gâteau un sublimissime concert donné par le groupe hip-hop «Game Over», HTM (hchicha talba maïcha) et l'incontesté Mohamed Allaoua. Tous ont régalé le public jusqu'à une heure tardive de la nuit. Deux jours plus tôt, Khalas, avec son style sétifien, et qui n'a donc pas été dépaysé, avait à son tour excellé. Pour céder ensuite la deuxième partie de la soirée à El Hadja Zahouania, en jean et cheveux teints dans le vent, qui avait porté un peu d'eau au moulin, en berçant ses fans jusqu'à l'épuisement. Grosso modo, tout le monde témoigne que les organisateurs ont su clore la fête en apothéose. D'abord par un show survolté de danse hip-hop exécuté par la troupe locale «Game Over» suivie par Halim, casquette à l'envers, un rappeur qui, un jour auparavant, avait décroché le premier prix du Festival national de la chanson rap à Mostaganem. Durant l'interlude où des prix ont été attribués à ceux qui ont contribué à la réussite du Festival, la scène a été libérée à Mohamed Allaoua. Atone et aphone, l'idole de la nouvelle génération n'a ménagé ni ses cordes vocales ni ses jambes et ses bras, en occupant tout l'espace de la scène. Mais ce qui a orné le spectacle, c'était sa reprise à l'identique mais à merveille de «Aslavit a yabhri» à feu Matoub, et un slow «Assendou» à Idir, face à un public fin connaisseur et toute ouïe qu'il en avait l'air.