La deuxième édition du Festival culturel local de la musique et de la chanson kabyles, durant six jours, a pris fin mardi 8 décembre. A l'occasion une pleïade de célèbres chanteurs et poètes kabyles, dont Kamel Hamadi, Medjahed Hamid, Nouara, le groupe Abranis… ont afflué à la maison de la culture Taos- Amrouche de Béjaïa. Placée sous le haut patronage de la ministre de la Culture, cette manifestation culturelle a été dédiée à deux grandes figures de la chanson kabyle, à savoir feu Allaoua Zerrouki, dit le rossignol de la Soummam et la diva kabyle, Nouara. Le coup d'envoi de ce Festival a été donné, jeudi dernier en présence du wali de Béjaïa, par la projection d'un reportage en hommage à ces deux artistes aux voix mélodieuses, suivi de variétés artistiques, dont une soirée musicale animée par le "tonitruant" Mohamed Allaoua. Plusieurs autres artistes de renom, à l'image de Hassiba Amrouche, Agraw, Abdelkader Bouhi, Les Abranis, Brahim Tayeb, El Hasnaoui Amechtouh, Boualem Ber…, ont galvanisé, durant toute la semaine, un public assoiffé d'une pareille ambiance musicale. Celui qui a fait vibrer son public, est, sans conteste, le chanteur Karim Tiziouar qui vient de faire un retour fracassant à la faveur d'un gala artistique qu'il a animé durant la soirée de vendredi passé, en hommage à Allaoua Zerrouki. En outre, des activités périphériques, notamment des soirées musicales, ont été également organisées à travers les différentes localités de la région. Par ailleurs, des conférences- débats sur Allaoua Zerrouki, Si Moh et Nouara, ont été animées par les artistes Kamel Hamadi, Medjahed Hamid et le Dr Amar Améziane, chercheur universitaire, diplomé de l'Inalco (Institut national des langues et civilisations orientales) de Paris. Afin de permettre une clôture en apothéose, le duo Medjahed Hamid-Nouara devaient co-animer un gala artistique dans la soirée de ce mardi, à la maison de la culture de Béjaïa. Il est à noter enfin que le Festival culturel local de la musique et de la chanson kabyles a été institué en février 2008, par la ministre de la Culture, Khalida Toumi. La deuxième édition du Festival culturel local de la musique et de la chanson kabyles, durant six jours, a pris fin mardi 8 décembre. A l'occasion une pleïade de célèbres chanteurs et poètes kabyles, dont Kamel Hamadi, Medjahed Hamid, Nouara, le groupe Abranis… ont afflué à la maison de la culture Taos- Amrouche de Béjaïa. Placée sous le haut patronage de la ministre de la Culture, cette manifestation culturelle a été dédiée à deux grandes figures de la chanson kabyle, à savoir feu Allaoua Zerrouki, dit le rossignol de la Soummam et la diva kabyle, Nouara. Le coup d'envoi de ce Festival a été donné, jeudi dernier en présence du wali de Béjaïa, par la projection d'un reportage en hommage à ces deux artistes aux voix mélodieuses, suivi de variétés artistiques, dont une soirée musicale animée par le "tonitruant" Mohamed Allaoua. Plusieurs autres artistes de renom, à l'image de Hassiba Amrouche, Agraw, Abdelkader Bouhi, Les Abranis, Brahim Tayeb, El Hasnaoui Amechtouh, Boualem Ber…, ont galvanisé, durant toute la semaine, un public assoiffé d'une pareille ambiance musicale. Celui qui a fait vibrer son public, est, sans conteste, le chanteur Karim Tiziouar qui vient de faire un retour fracassant à la faveur d'un gala artistique qu'il a animé durant la soirée de vendredi passé, en hommage à Allaoua Zerrouki. En outre, des activités périphériques, notamment des soirées musicales, ont été également organisées à travers les différentes localités de la région. Par ailleurs, des conférences- débats sur Allaoua Zerrouki, Si Moh et Nouara, ont été animées par les artistes Kamel Hamadi, Medjahed Hamid et le Dr Amar Améziane, chercheur universitaire, diplomé de l'Inalco (Institut national des langues et civilisations orientales) de Paris. Afin de permettre une clôture en apothéose, le duo Medjahed Hamid-Nouara devaient co-animer un gala artistique dans la soirée de ce mardi, à la maison de la culture de Béjaïa. Il est à noter enfin que le Festival culturel local de la musique et de la chanson kabyles a été institué en février 2008, par la ministre de la Culture, Khalida Toumi.