Le mois de ramadhan est attendu pour les premiers jours de septembre. Les effets d'annonce ont déjà commencé. Les prix de la mercuriale se sont affolés ces derniers jours. Ils sont déjà en substantielle hausse. Le mois de ramadhan est attendu pour les premiers jours de septembre. Les effets d'annonce ont déjà commencé. Les prix de la mercuriale se sont affolés ces derniers jours. Ils sont déjà en substantielle hausse. Deux évènements majeurs attendent les ménages algériens dans les prochains jours. Après la célébration des fêtes de mariage ou autres et leur saignée en termes de dépenses pour les cadeaux, le mois sacré du Ramadhan et la rentrée scolaire s'invitent cette année presque à la même période, c'est-à-dire au début du mois prochain. Deux évènements synonymes de plus de dépenses pour les honorer à leur juste valeur. Le mois de ramadhan, avec ses couffins et tables garnies, est attendu pour les premiers jours de septembre. Les effets d'annonce ont déjà commencé. Les prix de la mercuriale se sont affolés ces derniers jours. Ils sont déjà en substantiel la hausse et vont prendre l'ascenseur à mesure que l'on approche de la veille du mois sacré. Chaque année, c'est le même rituel qui est observé. Des signes annonciateurs nous renseignent du moment attendu. En ville, dans les foyers et même dans les mosquées, l'atmosphère propre à ce mois s'est déjà installée. Les commerces exposent les denrées et autres confiseries qui vont avec la table ramadhanesque. Tout est là à attendre l'acheteur. Mais il faudrait y mettre le prix. Il faut le dire, la grande saignée aura lieu durant le mois même, car près du tiers des dépenses iront aux produits carnés, toutes viandes confondues. En moyenne, un foyer algérien composé de 5 ou 6 personnes dépense 1.000 dinars par jour durant ce mois rien que pour les besoins de la table, soit une note mensuelle de 30.000 dinars. Plus du triple du SNMG (salaire national minimum garanti). C'est à un véritable calvaire que seront soumis les smicards et autres salariés qui seront amenés à faire des accrobaties pour boucler ce mois. Hasard du calendrier, avant la mi-Ramadhan, soit le 13 septembre prochain, c'est la rentrée scolaire. Un événement synonyme de double dépense. Les parents sont appelés à acheter les fournitures scolaires et les effets vestimentaires. Afin de prendre les devants et de faire de bonnes affaires, ces derniers achats sont effectués ces jours-ci, avant le rush de la rentrée et ses inévitables hausses des prix. Là aussi, il faut mettre le prix. Une famille de deux enfants dépense une moyenne de 10.000 à 15.000 dinars. Plus de la moitié des foyers algériens ne peuvent échapper à cette autre saignée. Une autre acrobatie en perspective pour assurer cette dépense supplémentaire et nécessaire. Et ce n'est pas fini. Une fois les nouveaux habits de la rentrée achetés et le trousseau entre les mains des enfants, il faut se préparer à accueillir comme il se doit, l'Aïd El Fitr. Un autre évènement synonyme de dépenses pour garnir la table de diverses sortes de gâteaux. En somme un mois de septembre qui sera chaud, très chaud pour les ménages. Deux évènements majeurs attendent les ménages algériens dans les prochains jours. Après la célébration des fêtes de mariage ou autres et leur saignée en termes de dépenses pour les cadeaux, le mois sacré du Ramadhan et la rentrée scolaire s'invitent cette année presque à la même période, c'est-à-dire au début du mois prochain. Deux évènements synonymes de plus de dépenses pour les honorer à leur juste valeur. Le mois de ramadhan, avec ses couffins et tables garnies, est attendu pour les premiers jours de septembre. Les effets d'annonce ont déjà commencé. Les prix de la mercuriale se sont affolés ces derniers jours. Ils sont déjà en substantiel la hausse et vont prendre l'ascenseur à mesure que l'on approche de la veille du mois sacré. Chaque année, c'est le même rituel qui est observé. Des signes annonciateurs nous renseignent du moment attendu. En ville, dans les foyers et même dans les mosquées, l'atmosphère propre à ce mois s'est déjà installée. Les commerces exposent les denrées et autres confiseries qui vont avec la table ramadhanesque. Tout est là à attendre l'acheteur. Mais il faudrait y mettre le prix. Il faut le dire, la grande saignée aura lieu durant le mois même, car près du tiers des dépenses iront aux produits carnés, toutes viandes confondues. En moyenne, un foyer algérien composé de 5 ou 6 personnes dépense 1.000 dinars par jour durant ce mois rien que pour les besoins de la table, soit une note mensuelle de 30.000 dinars. Plus du triple du SNMG (salaire national minimum garanti). C'est à un véritable calvaire que seront soumis les smicards et autres salariés qui seront amenés à faire des accrobaties pour boucler ce mois. Hasard du calendrier, avant la mi-Ramadhan, soit le 13 septembre prochain, c'est la rentrée scolaire. Un événement synonyme de double dépense. Les parents sont appelés à acheter les fournitures scolaires et les effets vestimentaires. Afin de prendre les devants et de faire de bonnes affaires, ces derniers achats sont effectués ces jours-ci, avant le rush de la rentrée et ses inévitables hausses des prix. Là aussi, il faut mettre le prix. Une famille de deux enfants dépense une moyenne de 10.000 à 15.000 dinars. Plus de la moitié des foyers algériens ne peuvent échapper à cette autre saignée. Une autre acrobatie en perspective pour assurer cette dépense supplémentaire et nécessaire. Et ce n'est pas fini. Une fois les nouveaux habits de la rentrée achetés et le trousseau entre les mains des enfants, il faut se préparer à accueillir comme il se doit, l'Aïd El Fitr. Un autre évènement synonyme de dépenses pour garnir la table de diverses sortes de gâteaux. En somme un mois de septembre qui sera chaud, très chaud pour les ménages.