C'est donc quasi-quotidiennement que les algériens sont assaillis par des informations de la sorte : des harraga, encore et toujours, interceptés au large de nos côtes. Pis encore, nos citoyens se sont même habitués à ce fléau qui se banalise au fur des années. Ainsi, encore une fois, un groupe de Quatre vingt six (86) candidats à l'émigration clandestine dont une femme, ont été interceptés jeudi au large des côtes de Annaba alors qu'ils tentaient de rejoindre la rive Nord de la méditerranée à bord d'embarcations artisanales, a-t-on appris du commandement du groupement territorial des Gardes-Côtes. Agés entre 18 et 30 ans, ces ''harraga'' ont été acheminés par groupes au siège des Gardes- Côtes où ils ont subi un contrôle médical avant d'être présentés dans la journée devant le procureur de la république près le tribunal de Annaba, nous a-t-on signalé. D'autre part, l'on a appris aussi, à ce sujet, que l'arrestation de ces harraga a été rendue possible grâce à des informations parvenues aux Gardes-Côtes faisant état d'embarcations artisanales se dirigeant vers les côtes italiennes, a-t-on précisé de même source. Pour rappel, cette nouvelle interception vient s'ajouter à de nombreuses autres qui ont marqué les esprits de nos citoyens tout au long de l'année 2008. Preuve en est, pas plus tard que mardi dernier, quatorze jeunes ont été découverts également au large d'Annaba à bord d'un bateau battant pavillon «antigua» en provenance d'Alger. Ces harraga, âgés entre 21 et 35 ans ont été remis aux garde-côtes algériens après avoir été débusqués par l'équipage de ce navire qui se dirigeait vers le port de Djebel Ali à Dubaï, a précisé à l'Agence algérienne APS, le chef de la station maritime des garde-côtes d'Annaba, M. Zaidi Abdelaziz. Au cours de la même semaine, dimanche dernier plus exactement, quatorze autres candidats à l'émigration clandestine vers l'Europe ont été arrêtés par la gendarmerie sur une plage d'Annaba, alors qu'ils attendaient un passeur qui ne s'était pas présenté au rendez-vous convenu. Il est à souligner, sur ce registre, que durant le premier semestre 2008, 718 Algériens qui ont tenté d'émigrer clandestinement en Europe ont été arrêtés alors que pas moins de 38 embarcations de fortune ont été saisies, selon les forces navales algériennes. Ces mêmes Forces Navales envisagent de se doter, dans un avenir proche, de matériels d'intervention aérienne et de remorqueurs de haute-mer pour venir à bout de la «harga ». Ce matériel hautement sophistiqué permettra, selon les dires des responsables des Forces Navales, d'améliorer leur intervention contre les harraga. D'un autre côté, ce nouveau matériel permettra également aux gardes-côtes, premiers concernés par la lutte contre les harraga, de lancer des opérations de recherche de nuit et de réduire les risques de noyade de ces jeunes désespérés. Toutefois, il faut bien reconnaître, en dernier lieu, à nos harraga, une volonté et une détermination sans faille dans leur tentative de quitter leur pays. Et celui-là semble par ailleurs encore incapable de leur donner l'espoir d'un avenir meilleur. C'est dire donc que les escapades de nos harraga risquent de ne pas connaître de répit dans les jours à venir. C'est donc quasi-quotidiennement que les algériens sont assaillis par des informations de la sorte : des harraga, encore et toujours, interceptés au large de nos côtes. Pis encore, nos citoyens se sont même habitués à ce fléau qui se banalise au fur des années. Ainsi, encore une fois, un groupe de Quatre vingt six (86) candidats à l'émigration clandestine dont une femme, ont été interceptés jeudi au large des côtes de Annaba alors qu'ils tentaient de rejoindre la rive Nord de la méditerranée à bord d'embarcations artisanales, a-t-on appris du commandement du groupement territorial des Gardes-Côtes. Agés entre 18 et 30 ans, ces ''harraga'' ont été acheminés par groupes au siège des Gardes- Côtes où ils ont subi un contrôle médical avant d'être présentés dans la journée devant le procureur de la république près le tribunal de Annaba, nous a-t-on signalé. D'autre part, l'on a appris aussi, à ce sujet, que l'arrestation de ces harraga a été rendue possible grâce à des informations parvenues aux Gardes-Côtes faisant état d'embarcations artisanales se dirigeant vers les côtes italiennes, a-t-on précisé de même source. Pour rappel, cette nouvelle interception vient s'ajouter à de nombreuses autres qui ont marqué les esprits de nos citoyens tout au long de l'année 2008. Preuve en est, pas plus tard que mardi dernier, quatorze jeunes ont été découverts également au large d'Annaba à bord d'un bateau battant pavillon «antigua» en provenance d'Alger. Ces harraga, âgés entre 21 et 35 ans ont été remis aux garde-côtes algériens après avoir été débusqués par l'équipage de ce navire qui se dirigeait vers le port de Djebel Ali à Dubaï, a précisé à l'Agence algérienne APS, le chef de la station maritime des garde-côtes d'Annaba, M. Zaidi Abdelaziz. Au cours de la même semaine, dimanche dernier plus exactement, quatorze autres candidats à l'émigration clandestine vers l'Europe ont été arrêtés par la gendarmerie sur une plage d'Annaba, alors qu'ils attendaient un passeur qui ne s'était pas présenté au rendez-vous convenu. Il est à souligner, sur ce registre, que durant le premier semestre 2008, 718 Algériens qui ont tenté d'émigrer clandestinement en Europe ont été arrêtés alors que pas moins de 38 embarcations de fortune ont été saisies, selon les forces navales algériennes. Ces mêmes Forces Navales envisagent de se doter, dans un avenir proche, de matériels d'intervention aérienne et de remorqueurs de haute-mer pour venir à bout de la «harga ». Ce matériel hautement sophistiqué permettra, selon les dires des responsables des Forces Navales, d'améliorer leur intervention contre les harraga. D'un autre côté, ce nouveau matériel permettra également aux gardes-côtes, premiers concernés par la lutte contre les harraga, de lancer des opérations de recherche de nuit et de réduire les risques de noyade de ces jeunes désespérés. Toutefois, il faut bien reconnaître, en dernier lieu, à nos harraga, une volonté et une détermination sans faille dans leur tentative de quitter leur pays. Et celui-là semble par ailleurs encore incapable de leur donner l'espoir d'un avenir meilleur. C'est dire donc que les escapades de nos harraga risquent de ne pas connaître de répit dans les jours à venir.