Afin d'éviter des mésaventures et des déboires aux voyageurs durant le mois sacré du Ramadhan où un dysfonctionnement des transporteurs a déjà été perceptible à la veille du premier jour du jeûne, le président du comité national des transporteurs de l'Union générale des commerçants et artisans algériens (UGCAA), Kamel Bouhennaf, affirme que toutes les dispositions nécessaires ont été prises pour permettre une fluidité dans les transports en commun. En effet, sachant qu'une demi-heure avant le F'tour, la plupart des chauffeurs de bus n'assurent plus les rotations et la desserte des lignes urbaines et suburbaines en raison notamment de l'encombrement et du temps relativement court restant pour l'appel du muezzin pour la prière du Maghreb, donc l'heure de la rupture du jeûne, les stations de bus accueillent encore quelques voyageurs attendant un pathétique bus. Dans cet ordre d'idées, nombre d'usagers restent cloués dans les stations des bus patientant et guettant désespérément un geste noble et généreux de personnes véhiculées pour une éventuelle solution à leur calvaire.Des dizaines de voyageurs, notamment des banlieusards, passent parfois la nuit sur place guettant le moindre moyen de locomotion pour renter chez eux, alors que les transporteurs censés assurer le service minimum auront déjà terminé leurs repas. Afin de remédier à cette sempiternelle situation désastreuse, Bouhennaf a tenu une réunion avec les membres du bureau national et les opérateurs, ainsi que tous les acteurs concernés, pour évoquer ce problème et lui trouver une solution adéquate. «Nous avons rappelé aux transporteurs leur devoir d'assurer le service minimum durant la période du mois de Ramadhan et ce, même après les heures du F'tour. Nous leur avons recommandé et conseillé de respecter le programme des lignes pourvues d'activités et de trafic normal dans la mesure où les dessertes sont fréquentes et régulières dans l'agglomération urbaine. Mais, nous avons également insisté sur la nécessité de veiller au transport des voyageurs dans les zones à faible densité de la population et d'activités des bus», a déclaré notre interlocuteur. Concernant les lignes suburbaines, le président du comité national des transporteurs estime que le manque de sécurité serait à l'origine de l'insuffisance des prestations assurées par les transporteurs. Il explique qu'il est impossible d'assurer un service à 100 % durant les heures de pointe de forte affluence et à l'approche de l'adhan du Maghreb. Bouhennaf précise que le comité des transporteurs a discuté avec les différentes responsables au niveau des wilayas afin de résorber cette crise des transports, car il s'agit d'un problème propre à Alger et ses environs. «Les gens retardataires auront donc peu de chances de se retrouver en famille et dans leurs foyers au moment voulu. Nous avons donné des instructions strictes afin d'assurer le minimum possible afin d'éviter des désagréments aux usagers des transports», a-t-il ajouté. Toutes les situations ont été traitées et discutées entre le comité national et les représentants des transporteurs qui ont été sensibles et compréhensifs à ce phénomène de dégradation des transports en commun, selon Bouhennaf, qui lance un message pressant aux chauffeurs de bus les invitant à ne pas dépasser la vitesse prescrite et d'éviter tout excès de précipitation sachant que la concurrence est souvent à l'origine des accidents mortels de la circulation où l'insouciance des chauffards est mise en cause. Afin d'éviter des mésaventures et des déboires aux voyageurs durant le mois sacré du Ramadhan où un dysfonctionnement des transporteurs a déjà été perceptible à la veille du premier jour du jeûne, le président du comité national des transporteurs de l'Union générale des commerçants et artisans algériens (UGCAA), Kamel Bouhennaf, affirme que toutes les dispositions nécessaires ont été prises pour permettre une fluidité dans les transports en commun. En effet, sachant qu'une demi-heure avant le F'tour, la plupart des chauffeurs de bus n'assurent plus les rotations et la desserte des lignes urbaines et suburbaines en raison notamment de l'encombrement et du temps relativement court restant pour l'appel du muezzin pour la prière du Maghreb, donc l'heure de la rupture du jeûne, les stations de bus accueillent encore quelques voyageurs attendant un pathétique bus. Dans cet ordre d'idées, nombre d'usagers restent cloués dans les stations des bus patientant et guettant désespérément un geste noble et généreux de personnes véhiculées pour une éventuelle solution à leur calvaire.Des dizaines de voyageurs, notamment des banlieusards, passent parfois la nuit sur place guettant le moindre moyen de locomotion pour renter chez eux, alors que les transporteurs censés assurer le service minimum auront déjà terminé leurs repas. Afin de remédier à cette sempiternelle situation désastreuse, Bouhennaf a tenu une réunion avec les membres du bureau national et les opérateurs, ainsi que tous les acteurs concernés, pour évoquer ce problème et lui trouver une solution adéquate. «Nous avons rappelé aux transporteurs leur devoir d'assurer le service minimum durant la période du mois de Ramadhan et ce, même après les heures du F'tour. Nous leur avons recommandé et conseillé de respecter le programme des lignes pourvues d'activités et de trafic normal dans la mesure où les dessertes sont fréquentes et régulières dans l'agglomération urbaine. Mais, nous avons également insisté sur la nécessité de veiller au transport des voyageurs dans les zones à faible densité de la population et d'activités des bus», a déclaré notre interlocuteur. Concernant les lignes suburbaines, le président du comité national des transporteurs estime que le manque de sécurité serait à l'origine de l'insuffisance des prestations assurées par les transporteurs. Il explique qu'il est impossible d'assurer un service à 100 % durant les heures de pointe de forte affluence et à l'approche de l'adhan du Maghreb. Bouhennaf précise que le comité des transporteurs a discuté avec les différentes responsables au niveau des wilayas afin de résorber cette crise des transports, car il s'agit d'un problème propre à Alger et ses environs. «Les gens retardataires auront donc peu de chances de se retrouver en famille et dans leurs foyers au moment voulu. Nous avons donné des instructions strictes afin d'assurer le minimum possible afin d'éviter des désagréments aux usagers des transports», a-t-il ajouté. Toutes les situations ont été traitées et discutées entre le comité national et les représentants des transporteurs qui ont été sensibles et compréhensifs à ce phénomène de dégradation des transports en commun, selon Bouhennaf, qui lance un message pressant aux chauffeurs de bus les invitant à ne pas dépasser la vitesse prescrite et d'éviter tout excès de précipitation sachant que la concurrence est souvent à l'origine des accidents mortels de la circulation où l'insouciance des chauffards est mise en cause.