La taxe sur l'achat d'un véhicule neuf ne sera pas supprimée, a affirmé hier à Alger le ministre des Finances, M. Karim Djoudi. Intervenant en marge de la cérémonie d'ouverture de la session d'automne de l'Assemblée populaire nationale, M. Djoudi a indiqué que "la valeur des véhicules importés par l'Algérie est de 2,8 milliards de dollars, ce qui représente 10% de nos importations". Selon M. Djoudi, "il y a une situation de crise dans l'automobile dans les marchés internationaux et la loi de finances complémentaire a prévu deux charges pour les concessionnaires et pas pour les ménages, la première concernant le chiffre d'affaires et la deuxième le droit de circulation qui existait déjà par le passé". En ce sens, le ministre des Finances a relevé que "les concessionnaires vendent plus de 200.000 véhicules par an en Algérie et ils n'ont qu'à baisser leurs prix comme ils le font dans les autres pays", soulignant que "l'Algérie n'est pas là pour donner uniquement de l'argent aux concessionnaires". A cet effet, il a appelé les opérateurs à venir "investir" en Algérie, les assurant de "bénéficier de toutes les conditions nécessaires", soulignant que "l'impôt sur le bénéfice des sociétés (IBS) activant dans le commerce est de 25%, alors que pour celles qui produisent, il est de 19%". La taxe sur l'achat d'un véhicule neuf ne sera pas supprimée, a affirmé hier à Alger le ministre des Finances, M. Karim Djoudi. Intervenant en marge de la cérémonie d'ouverture de la session d'automne de l'Assemblée populaire nationale, M. Djoudi a indiqué que "la valeur des véhicules importés par l'Algérie est de 2,8 milliards de dollars, ce qui représente 10% de nos importations". Selon M. Djoudi, "il y a une situation de crise dans l'automobile dans les marchés internationaux et la loi de finances complémentaire a prévu deux charges pour les concessionnaires et pas pour les ménages, la première concernant le chiffre d'affaires et la deuxième le droit de circulation qui existait déjà par le passé". En ce sens, le ministre des Finances a relevé que "les concessionnaires vendent plus de 200.000 véhicules par an en Algérie et ils n'ont qu'à baisser leurs prix comme ils le font dans les autres pays", soulignant que "l'Algérie n'est pas là pour donner uniquement de l'argent aux concessionnaires". A cet effet, il a appelé les opérateurs à venir "investir" en Algérie, les assurant de "bénéficier de toutes les conditions nécessaires", soulignant que "l'impôt sur le bénéfice des sociétés (IBS) activant dans le commerce est de 25%, alors que pour celles qui produisent, il est de 19%".