Mohamed Abdelaziz a profité de la présence au Maghreb de la secrétaire d'Etat américaine pour lui exprimer son souhait de la voir intervenir auprès des autorités marocaines pour qu'elles aillent dans le sens de la légalité internationale. Il rappelle à cet effet la proposition sahraouie adressée au Conseil de sécurité de l'ONU en avril 2007. Mohamed Abdelaziz a profité de la présence au Maghreb de la secrétaire d'Etat américaine pour lui exprimer son souhait de la voir intervenir auprès des autorités marocaines pour qu'elles aillent dans le sens de la légalité internationale. Il rappelle à cet effet la proposition sahraouie adressée au Conseil de sécurité de l'ONU en avril 2007. Mettant à proftt la venue à Alger, dans l'après-midi d'hier, de la secrétaire d'Etat américaine, Condoleezza Rice, après ses deux première escales de Tripoli et Tunis, le président sahraoui Mohamed Abdelazie a adressé à cette dernière une lettre dans laquelle il n'a pas manqué de lui exprimer son souhait de la voir profiter de son passage à Rabat pour «intervenir auprès des autorités marocaines afin de les convaincre de revenir à la légalité internationale et laisser aux actuelles négociations la possibilité d'aboutir, permettant d'organiser un référendum d'autodétermination.» Le Président Abdelaziz ajoute dans la même lettre ouverte que«le Polisario a assumé toutes les démarches et consenti tous les efforts nécessaires pour parvenir à une solution juste et durable.» Ajoutant que cette solution, «ne doit pas être fondée sur la négation du peuple sahraoui, mais sur le respect de ses volontés et choix.» Le premier responsable du Front Polisario rappelle aussi que le Front a présenté le 10 avril 2007 à l'ONU une importante proposition basée sur le référendum qui inclue aux côtés de l'option d'indépendance, celles de l'autonomie ou de l'intégration. Cette démarche, explique-t-il, «tient compte des intérêts du peuple sahraoui mais ménage en même temps les préoccupations marocaines, et notamment celles relevant des domaines économiques et de peuplement. » Or, jusqu'à présent, aucune suite n'a été donnée à une telle proposition. Mohamed Abdelaziz, toujours dans la même lettre ouverte, attire l'attention de la secrétaire d'Etat américaine sur la situation des droits de l'Homme dans les territoires. Faisant allusion aux multiples incidents qui émaillent le quotidien des Sahraouis face aux forces d'occupation marocaines et aux services de police et de renseignement. Il précise que le Maroc pour l'heure détient plus de 500 personnes, toutes des civiles arrêtées à la suite des imposantes manifestations organisées par les Sahraouis favorables au Front Polisario. De même que 151 prisonniers de guerre sont toujours détenus dans les prisons marocaines alors que le Front Polisario a achevé, il y a plusieurs années, le processus de libération des prisonniers de guerre marocains conformément aux accords passés du temps où James Baker était l'envoyé spécial de Kofi Annan, ex- secrétaire général de l'ONU pour le Sahara Occidental. Mettant à proftt la venue à Alger, dans l'après-midi d'hier, de la secrétaire d'Etat américaine, Condoleezza Rice, après ses deux première escales de Tripoli et Tunis, le président sahraoui Mohamed Abdelazie a adressé à cette dernière une lettre dans laquelle il n'a pas manqué de lui exprimer son souhait de la voir profiter de son passage à Rabat pour «intervenir auprès des autorités marocaines afin de les convaincre de revenir à la légalité internationale et laisser aux actuelles négociations la possibilité d'aboutir, permettant d'organiser un référendum d'autodétermination.» Le Président Abdelaziz ajoute dans la même lettre ouverte que«le Polisario a assumé toutes les démarches et consenti tous les efforts nécessaires pour parvenir à une solution juste et durable.» Ajoutant que cette solution, «ne doit pas être fondée sur la négation du peuple sahraoui, mais sur le respect de ses volontés et choix.» Le premier responsable du Front Polisario rappelle aussi que le Front a présenté le 10 avril 2007 à l'ONU une importante proposition basée sur le référendum qui inclue aux côtés de l'option d'indépendance, celles de l'autonomie ou de l'intégration. Cette démarche, explique-t-il, «tient compte des intérêts du peuple sahraoui mais ménage en même temps les préoccupations marocaines, et notamment celles relevant des domaines économiques et de peuplement. » Or, jusqu'à présent, aucune suite n'a été donnée à une telle proposition. Mohamed Abdelaziz, toujours dans la même lettre ouverte, attire l'attention de la secrétaire d'Etat américaine sur la situation des droits de l'Homme dans les territoires. Faisant allusion aux multiples incidents qui émaillent le quotidien des Sahraouis face aux forces d'occupation marocaines et aux services de police et de renseignement. Il précise que le Maroc pour l'heure détient plus de 500 personnes, toutes des civiles arrêtées à la suite des imposantes manifestations organisées par les Sahraouis favorables au Front Polisario. De même que 151 prisonniers de guerre sont toujours détenus dans les prisons marocaines alors que le Front Polisario a achevé, il y a plusieurs années, le processus de libération des prisonniers de guerre marocains conformément aux accords passés du temps où James Baker était l'envoyé spécial de Kofi Annan, ex- secrétaire général de l'ONU pour le Sahara Occidental.