Le marché des fruits et légumes de Bachdjarah, dans la périphérie d'Alger, n'est guère concerné par les pénuries et la flambée des prix. Le marché des fruits et légumes de Bachdjarah, dans la périphérie d'Alger, n'est guère concerné par les pénuries et la flambée des prix. Les étals sont bien achalandés. Vu les prix qu'ils proposent, les marchands sont certains d'écouler leurs marchandises. «Je viens pratiquement chaque week-end de Baba Hassen pour faire mes commissions dans ce souk en raison de la variété, mais surtout des prix proposés très abordables». témoigne un client rencontré sur les lieux. Et d'ajouter : «Si tous les marchés de la capitale fonctionnaient comme celui de Bachdjarah, le pouvoir d'achat des citoyens ne sera pas affecté». Le piment qui se vend à 90 dinars le kg au marché d'El-Biar est cédé à 30 dinars au marché de Bachdjarah. Le poivron est cédé à 25 dinars, alors qu'il affiche ailleurs 60 dinars le kg. La courgette, la carotte et la tomate négociées à 20 dinars sont vendues à 70 dinars le kg dans d'autres marchés. «Je n'arrive pas à comprendre cette flambée des prix. Je paye une moyenne haussière de 100% sur mes courses au marché des Trois horloges, et ce, comparativement au cours des prix pratiqués sur les mêmes produits au marché de Bachdjarah», s'interroge un restaurateur, habitué des marchés. Venu de Ben Aknoun, Omar affirme que «cela fera bientôt trois mois que je fais mes achats à Bachdjarah, je ne suis pas véhiculé, mais le déplacement en vaut la peine. Je fais moins de dépenses», argue une personne à la bourse modeste, soulignant que les prix pratiqués, à l'heure actuelle, n'ont pas connu une flambée qui suscite l'inquiétude du consommateur. L'habitué des lieux, relève, également, que certains produits ont gardé toujours le même prix, alors que d'autres ont même baissé. Et à titre illustratif, il citera le cas du raisin vendu à 80 dinars le kg, alors qu'il est cédé à 50 dinars à Bachdjarah. Les pommes et les poires qui étaient proposées à 35 dinars le kg avant le Ramadhan sont cédées aujourd'hui à 20 dinars le kg. Cette importante différence de prix constitue la principale raison qui fait la renommée de ce marché. Suite aux prix pratiqués, les citoyens, soutiennent des marchands approchés, sont nombreux à venir s'y approvisionner. Les clients viennent, notent-ils, des différentes localités de la wilaya d'Alger. «Il y a des marchands ambulants et des commerçants informels qui investissent les lieux quotidiennement», avancera Younes qui tient un étal au marché couvert de Bach djarah. Lui emboîtant le pas, Issam, un autre marchand, soutient que «la différence du marché de Bachdjarah par rapport aux autres marchés est simple. Les vendeurs n'exagèrent pas dans les prix, ils prennent des marges bénéficiaires très raisonnables». S'agissant des viandes, il est à signaler que les échoppes de viande ne désemplissent pas. Certains acheteurs ne font pas dans le détail. Ils achètent sans trop poser de questions. Le plus important pour eux est sans doute la différence de prix. Un kg de viande bovine, proposé à 750 dinars dans des marchés d'Alger, est affiché entre 600 à 620 dinars au marché de Bachdjarah. S'agissant de la viande congelée, celle-ci connaît, observe-t-on, une forte demande. Elle s'est accrue en ce mois de Jeûne. A ce propos, il est à noter enfin que le kg de viande congelée a gardé le prix de 300 dinars qui se pratiquait avant le mois de jeûne. Les étals sont bien achalandés. Vu les prix qu'ils proposent, les marchands sont certains d'écouler leurs marchandises. «Je viens pratiquement chaque week-end de Baba Hassen pour faire mes commissions dans ce souk en raison de la variété, mais surtout des prix proposés très abordables». témoigne un client rencontré sur les lieux. Et d'ajouter : «Si tous les marchés de la capitale fonctionnaient comme celui de Bachdjarah, le pouvoir d'achat des citoyens ne sera pas affecté». Le piment qui se vend à 90 dinars le kg au marché d'El-Biar est cédé à 30 dinars au marché de Bachdjarah. Le poivron est cédé à 25 dinars, alors qu'il affiche ailleurs 60 dinars le kg. La courgette, la carotte et la tomate négociées à 20 dinars sont vendues à 70 dinars le kg dans d'autres marchés. «Je n'arrive pas à comprendre cette flambée des prix. Je paye une moyenne haussière de 100% sur mes courses au marché des Trois horloges, et ce, comparativement au cours des prix pratiqués sur les mêmes produits au marché de Bachdjarah», s'interroge un restaurateur, habitué des marchés. Venu de Ben Aknoun, Omar affirme que «cela fera bientôt trois mois que je fais mes achats à Bachdjarah, je ne suis pas véhiculé, mais le déplacement en vaut la peine. Je fais moins de dépenses», argue une personne à la bourse modeste, soulignant que les prix pratiqués, à l'heure actuelle, n'ont pas connu une flambée qui suscite l'inquiétude du consommateur. L'habitué des lieux, relève, également, que certains produits ont gardé toujours le même prix, alors que d'autres ont même baissé. Et à titre illustratif, il citera le cas du raisin vendu à 80 dinars le kg, alors qu'il est cédé à 50 dinars à Bachdjarah. Les pommes et les poires qui étaient proposées à 35 dinars le kg avant le Ramadhan sont cédées aujourd'hui à 20 dinars le kg. Cette importante différence de prix constitue la principale raison qui fait la renommée de ce marché. Suite aux prix pratiqués, les citoyens, soutiennent des marchands approchés, sont nombreux à venir s'y approvisionner. Les clients viennent, notent-ils, des différentes localités de la wilaya d'Alger. «Il y a des marchands ambulants et des commerçants informels qui investissent les lieux quotidiennement», avancera Younes qui tient un étal au marché couvert de Bach djarah. Lui emboîtant le pas, Issam, un autre marchand, soutient que «la différence du marché de Bachdjarah par rapport aux autres marchés est simple. Les vendeurs n'exagèrent pas dans les prix, ils prennent des marges bénéficiaires très raisonnables». S'agissant des viandes, il est à signaler que les échoppes de viande ne désemplissent pas. Certains acheteurs ne font pas dans le détail. Ils achètent sans trop poser de questions. Le plus important pour eux est sans doute la différence de prix. Un kg de viande bovine, proposé à 750 dinars dans des marchés d'Alger, est affiché entre 600 à 620 dinars au marché de Bachdjarah. S'agissant de la viande congelée, celle-ci connaît, observe-t-on, une forte demande. Elle s'est accrue en ce mois de Jeûne. A ce propos, il est à noter enfin que le kg de viande congelée a gardé le prix de 300 dinars qui se pratiquait avant le mois de jeûne.