Les spéculateurs ont présenté des faux dossiers aux directions des cimenteries qui leur ont octroyé des quantités considérables de sacs de ciment. Ces quantités n'ont jamais servi dans des chantiers de projets d'utilité publique. Les spéculateurs ont présenté des faux dossiers aux directions des cimenteries qui leur ont octroyé des quantités considérables de sacs de ciment. Ces quantités n'ont jamais servi dans des chantiers de projets d'utilité publique. La flambée des prix du ciment qui ont atteint ces derniers mois un seuil insupportable pour les entreprises de bâtiments comme pour les citoyens a été largement alimentée par des entrepreneurs véreux. C'est en effet ce que plusieurs enquêtes diligentées par les services de sécurité ont révélé à propos d'un trafic à large échelle dans le commerce des matériaux de construction. Ainsi, l'on vient d'apprendre que de nombreux entrepreneurs "imaginaires" étaient derrière l'escalade des prix et la rareté du ciment. Ces spéculateurs réclamaient d'importantes quantités de ciment arguant qu'ils avaient à charge la réalisation de projets d'utilité publique. En réalité, ils ont présenté des faux dossiers aux directions des cimenteries qui leur ont octroyé des quantités considérables de sacs de ciment. Ces quantités n'ont par conséquent jamais servi dans des chantiers de projets d'utilité publique. Au contraire, elles ont été revendues à d'autres revendeurs de ciment qui ont, eux aussi, doublé, voire triplé et même plus, leur prix avant de les introduire une fois pour toutes dans le marché des matériaux de construction. Il est à souligner à ce sujet que plus de 200 entrepreneurs des wilayas du centre, à savoir, Alger, Boumerdes et Tizi Ouzou, dont certains ont été mis en cause par la justice et d'autres encore recherchés par la Gendarmerie Nationale, se sont présentés à la direction de la cimenterie de Rais Hamidou introduisant des demandes de grosses quantités de ciment. Sur la base de dossiers falsifiés, ces entrepreneurs avaient réussi à obtenir plus de 18 mille tonnes de ciment ce, qui a provoqué une rareté du produit et un bond spéculatif, faisant monter le prix de 220 dinars, prix du sac à l'usine, à 550 DA, voire jusqu'à 700 dinars le sac dans plusieurs régions du pays notamment à l'est du pays. Profitant de la panne qui paralysait 4 cimenteries aux mois de février et mars, unités de production qui effectivement ont été fermées sans raison apparente selon les entrepreneurs, et surtout sans qu'un stock de sécurité n'ait été constitué, ces entrepreneurs spéculateurs ont décidé de mettre leur marchandise sur le marché aux prix qu'ils ont fixés. La demande très forte aidant, le sac de ciment n'a pu être cédé qu'au triple de son prix initial à l'usine. C'est ainsi que les prix se sont envolés pour dépasser les 1000 DA au Sud notamment à Tamanrasset. En outre, ces mêmes entrepreneurs véreux ont sévi avec des prix spéculatifs qui ont touché également les autres matériaux de construction comme le rond à béton. Dans ce contexte, les investigations de la gendarmerie nationale se sont élargies à d'autres wilayas particulièrement celles qui abritent une cimenterie. Précisons enfin que les services de la gendarmerie nationale ont commencé ces dernières semaines à examiner eux-mêmes la légalité des dossiers de demande de ciment près des cimenteries dans les wilayas de Blida, Chlef et M'sila. Un contrôle strict et une chasse sans merci contre ces entrepreneurs « imaginaires » qui se sucrent sur le dos des entreprises de bâtiment et des particuliers La flambée des prix du ciment qui ont atteint ces derniers mois un seuil insupportable pour les entreprises de bâtiments comme pour les citoyens a été largement alimentée par des entrepreneurs véreux. C'est en effet ce que plusieurs enquêtes diligentées par les services de sécurité ont révélé à propos d'un trafic à large échelle dans le commerce des matériaux de construction. Ainsi, l'on vient d'apprendre que de nombreux entrepreneurs "imaginaires" étaient derrière l'escalade des prix et la rareté du ciment. Ces spéculateurs réclamaient d'importantes quantités de ciment arguant qu'ils avaient à charge la réalisation de projets d'utilité publique. En réalité, ils ont présenté des faux dossiers aux directions des cimenteries qui leur ont octroyé des quantités considérables de sacs de ciment. Ces quantités n'ont par conséquent jamais servi dans des chantiers de projets d'utilité publique. Au contraire, elles ont été revendues à d'autres revendeurs de ciment qui ont, eux aussi, doublé, voire triplé et même plus, leur prix avant de les introduire une fois pour toutes dans le marché des matériaux de construction. Il est à souligner à ce sujet que plus de 200 entrepreneurs des wilayas du centre, à savoir, Alger, Boumerdes et Tizi Ouzou, dont certains ont été mis en cause par la justice et d'autres encore recherchés par la Gendarmerie Nationale, se sont présentés à la direction de la cimenterie de Rais Hamidou introduisant des demandes de grosses quantités de ciment. Sur la base de dossiers falsifiés, ces entrepreneurs avaient réussi à obtenir plus de 18 mille tonnes de ciment ce, qui a provoqué une rareté du produit et un bond spéculatif, faisant monter le prix de 220 dinars, prix du sac à l'usine, à 550 DA, voire jusqu'à 700 dinars le sac dans plusieurs régions du pays notamment à l'est du pays. Profitant de la panne qui paralysait 4 cimenteries aux mois de février et mars, unités de production qui effectivement ont été fermées sans raison apparente selon les entrepreneurs, et surtout sans qu'un stock de sécurité n'ait été constitué, ces entrepreneurs spéculateurs ont décidé de mettre leur marchandise sur le marché aux prix qu'ils ont fixés. La demande très forte aidant, le sac de ciment n'a pu être cédé qu'au triple de son prix initial à l'usine. C'est ainsi que les prix se sont envolés pour dépasser les 1000 DA au Sud notamment à Tamanrasset. En outre, ces mêmes entrepreneurs véreux ont sévi avec des prix spéculatifs qui ont touché également les autres matériaux de construction comme le rond à béton. Dans ce contexte, les investigations de la gendarmerie nationale se sont élargies à d'autres wilayas particulièrement celles qui abritent une cimenterie. Précisons enfin que les services de la gendarmerie nationale ont commencé ces dernières semaines à examiner eux-mêmes la légalité des dossiers de demande de ciment près des cimenteries dans les wilayas de Blida, Chlef et M'sila. Un contrôle strict et une chasse sans merci contre ces entrepreneurs « imaginaires » qui se sucrent sur le dos des entreprises de bâtiment et des particuliers