L'Aïd El Fitr est à nos portes et c'est le rush devant les boutiques pour les traditionnels achats de vêtements pour les petits et les ados. Cette année, cela aura été une véritable saignée pour les parents qui ont dû faire face au ramadhan avec les dépenses qu'il occasionne, d'une part, puis à la rentrée scolaire avec son lot d'achats de fournitures et livres, d'autre part. Voilà l'Aïd et les incontournables achats de vêtements qui cette année ne sont pas donnés. Des prix exorbitants pour certains et un casse-tête pour les autres qui sont obligés de faire des calculs pour ne pas déroger à la tradition. Certaines familles sont contraintes, la mort dans l'âme, de se tourner vers la friperie pour contenter leur progéniture. D'autres mettent carrément au clou ou engagent au mont de Piété leurs bijoux. C'est ce qu'on appelle l'amour filial. L'Aïd El Fitr est à nos portes et c'est le rush devant les boutiques pour les traditionnels achats de vêtements pour les petits et les ados. Cette année, cela aura été une véritable saignée pour les parents qui ont dû faire face au ramadhan avec les dépenses qu'il occasionne, d'une part, puis à la rentrée scolaire avec son lot d'achats de fournitures et livres, d'autre part. Voilà l'Aïd et les incontournables achats de vêtements qui cette année ne sont pas donnés. Des prix exorbitants pour certains et un casse-tête pour les autres qui sont obligés de faire des calculs pour ne pas déroger à la tradition. Certaines familles sont contraintes, la mort dans l'âme, de se tourner vers la friperie pour contenter leur progéniture. D'autres mettent carrément au clou ou engagent au mont de Piété leurs bijoux. C'est ce qu'on appelle l'amour filial. Le Ramadhan entame sa dernière semaine et déjà les familles commencent à faire les achats de l'Aid el fitr avec tout ce que cela entraîne comme dépenses supplémentaires. Une virée dans les boutiques de la capitale donne le ton à ce que sera l'Aïd cette année, mais informe également sur la flambée des prix qui a touché ces produits très demandés en pareille période de l'année. Pour ce qui concerne le cru 2008, l'on aura constaté l'envahissement du marché par l'incontournable Made in China en plus d'une très timide percée du prêt-à-porter national, avec une présence « homéopathique » de quelques marques européennes. Le citoyen, après avoir expérimenté les produits chinois, regarde à deux fois avant de céder à « la facilité » du petit prix. A ce propos, les parents ont constaté de grands changements. « Il y a eu augmentation des prix par rapport à l'année précédente, mais, je cherche la qualité avant le prix », nous déclare Mme Siham. Cette mère de famille accompagnée de ses enfants, a confié qu'elle leur «achète un vêtement luxueux et un autre moins cher. C'est finalement plus économique, car les habits à petit prix sont en général de mauvaise qualité et il faut les renouveler constamment » nous explique cette mère de famille. Cependant, beaucoup de personnes présente dans cette boutique, regrettent néanmoins cette coïncidence qui a fait que les rentrées sociale, scolaire, le ramadhan et l'Aïd tombent quasiment à la même période occasionnant un surplus de dépenses pour les familles. C'est ainsi que cette année, les producteurs algériens ont un peu tiré leur épingle du jeu, même si la domination chinoise est encore de mise. Il faut préciser qu'en plus des modèles locaux qui parviennent à se placer, les producteurs chinois sont talonnés cette année par les Turcs et les Syriens. Côté disponibilité, il a été relevé un large choix pour ce qui concerne les habits pour enfants, avec en plus une palette de prix assez large. Dans l'un des grands magasins implantés sur les hauteurs d'Alger, les habits les moins chers sont des modèles « d'arrière saison », tandis que les produits de cette saison présentent des prix plus élevés susceptibles de décourager plus d'un. Les habits de l'année passée sont généralement soldés, ce qui explique leur faible coût. A titre d'exemple, les ensembles « fille, garçon » sont à 1.500 DA, les pull-over à 800 DA, les jupes pour fillettes sont vendues entre 500 et 1.200 DA, les robes salopettes coûtent entre 1200 et 1600 DA et les pantalons sont à 1500 DA. D'autre part, il y a aussi des modèles récents en promotion. Les nouveautés sont donc plus coûteuses, dont les prix vont de 1600 à 4700 DA pour les enfants âgés entre 11 et 16 ans, ceux pour enfants âgés entre 5 et 10 ans vont de 2000 DA à 3600 DA et enfin les tout jeunes (de 6 mois à 4 ans) ne sont pas oubliés et les vêtements pour eux coûtent entre 800 et 2700 DA. Pour ce qui est des chaussures, histoire de compléter les trousseaux des enfants, ils sont affichés entre 800 DA et 2000 DA. Le Ramadhan entame sa dernière semaine et déjà les familles commencent à faire les achats de l'Aid el fitr avec tout ce que cela entraîne comme dépenses supplémentaires. Une virée dans les boutiques de la capitale donne le ton à ce que sera l'Aïd cette année, mais informe également sur la flambée des prix qui a touché ces produits très demandés en pareille période de l'année. Pour ce qui concerne le cru 2008, l'on aura constaté l'envahissement du marché par l'incontournable Made in China en plus d'une très timide percée du prêt-à-porter national, avec une présence « homéopathique » de quelques marques européennes. Le citoyen, après avoir expérimenté les produits chinois, regarde à deux fois avant de céder à « la facilité » du petit prix. A ce propos, les parents ont constaté de grands changements. « Il y a eu augmentation des prix par rapport à l'année précédente, mais, je cherche la qualité avant le prix », nous déclare Mme Siham. Cette mère de famille accompagnée de ses enfants, a confié qu'elle leur «achète un vêtement luxueux et un autre moins cher. C'est finalement plus économique, car les habits à petit prix sont en général de mauvaise qualité et il faut les renouveler constamment » nous explique cette mère de famille. Cependant, beaucoup de personnes présente dans cette boutique, regrettent néanmoins cette coïncidence qui a fait que les rentrées sociale, scolaire, le ramadhan et l'Aïd tombent quasiment à la même période occasionnant un surplus de dépenses pour les familles. C'est ainsi que cette année, les producteurs algériens ont un peu tiré leur épingle du jeu, même si la domination chinoise est encore de mise. Il faut préciser qu'en plus des modèles locaux qui parviennent à se placer, les producteurs chinois sont talonnés cette année par les Turcs et les Syriens. Côté disponibilité, il a été relevé un large choix pour ce qui concerne les habits pour enfants, avec en plus une palette de prix assez large. Dans l'un des grands magasins implantés sur les hauteurs d'Alger, les habits les moins chers sont des modèles « d'arrière saison », tandis que les produits de cette saison présentent des prix plus élevés susceptibles de décourager plus d'un. Les habits de l'année passée sont généralement soldés, ce qui explique leur faible coût. A titre d'exemple, les ensembles « fille, garçon » sont à 1.500 DA, les pull-over à 800 DA, les jupes pour fillettes sont vendues entre 500 et 1.200 DA, les robes salopettes coûtent entre 1200 et 1600 DA et les pantalons sont à 1500 DA. D'autre part, il y a aussi des modèles récents en promotion. Les nouveautés sont donc plus coûteuses, dont les prix vont de 1600 à 4700 DA pour les enfants âgés entre 11 et 16 ans, ceux pour enfants âgés entre 5 et 10 ans vont de 2000 DA à 3600 DA et enfin les tout jeunes (de 6 mois à 4 ans) ne sont pas oubliés et les vêtements pour eux coûtent entre 800 et 2700 DA. Pour ce qui est des chaussures, histoire de compléter les trousseaux des enfants, ils sont affichés entre 800 DA et 2000 DA.