Le Chef de l'Etat, a mis en exergue «l'importance de la mise en place, durant les cinq prochaines années, du registre national de l'état civil, de la nouvelle Carte Nationale d'Identité Biométrique Electronique et du Passeport Biométrique». Le Chef de l'Etat, a mis en exergue «l'importance de la mise en place, durant les cinq prochaines années, du registre national de l'état civil, de la nouvelle Carte Nationale d'Identité Biométrique Electronique et du Passeport Biométrique». Le Président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a présidé, jeudi, dans le cadre des auditions annuelles qu'il dirige sur les activités des différents départements ministériels, une réunion restreinte d'évaluation consacrée au secteur de l'Intérieur et des Collectivités Locales. Le rapport présenté restitue l'état de mise en œuvre des projets et actions ainsi que les perspectives de développement du département de l'Intérieur et des Collectivités Locales. Dans son intervention, le Chef de l'Etat, a mis en exergue « l'importance de la mise en place, durant les cinq prochaines années, du registre national de l'état civil, de la nouvelle Carte Nationale d'Identité Biométrique Electronique et du Passeport Biométrique ». Pour ce faire, il a instruit le Gouvernement de dégager « les moyens financiers, matériels et humains pour le succès de cette opération qui dotera le pays d'un instrument moderne essentiel à l'amélioration du service public ». Une administration publique solide, la qualité de service, la décentralisation du développement, tels sont, selon Abdelaziz Bouteflika, « les impératifs pour que le développement qui est encore essentiellement porté par l'Etat dans tous les domaines, puisse se propager équitablement à travers toutes les régions du pays et que ces fruits aillent aux citoyens dans la transparence », soulignant que « les Assemblées Populaires Communales et de Wilayas doivent faire preuve de plus d'initiatives et se convertir en forces de proposition pour devenir de véritables moteurs du développement local ». Cela est un impératif, indique-t-il pour que « les responsabilités publiques en matière de contrôle et de régulation s'exercent et encadrent efficacement les actions menées par des agents économiques au bénéfice équitable des citoyens ». Le Président de la République, a donné au Gouvernement les directives suivantes pour concrétiser cet objectif : la poursuite de la formation des élus et le renforcement de l'administration locale qui se fixe comme objectif le rapprochement d'une administration de qualité en direction des citoyens. La qualité de service doit devenir un critère essentiel de la gestion publique. Dans ce cadre, il ordonne que « la nouvelle organisation administrative projetée à travers la désignation de walis délégués à la direction de plusieurs circonscriptions, doit être entourée d'une préparation judicieuse et de la réunion de toutes les conditions requises ». La formation d'un encadrement compétent et adapté aux réalités nationales contemporaines ainsi qu'à l'emploi des technologies et méthodes de gestion modernes qui doit se poursuivre à tous les niveaux, est la deuxième exigence du Chef de l'Etat qui relève que « l'Ecole Nationale d'Administration doit donc bénéficier de toute l'attention du gouvernement et des moyens requis pour l'accomplissement de sa mission ». Il instruit, également, le Gouvernement de renforcer en encadrement spécialisé dans tous les domaines, les collectivités locales, notamment, celles des Hauts Plateaux et du Sud, pour les mettre à même de faire le meilleur usage des responsabilités et des moyens qui leur seront confiés. Le président de la République demande à ce que « la refonte des finances locales doit se poursuivre activement». Elle conditionne, dit-il « la disponibilité des ressources des collectivités locales pour donner un sens réel à la décentralisation », soulignant l'exigence d' « un engagement véritable des APC et APW dans la collecte de ces ressources et dans leur gestion rationnelle ». Enfin dernière directive, pour le Chef de l'Etat « la décentralisation du développement doit être promue davantage ». De fait, indique-t-il « la capacité d'anticipation et le développement d'un instrument national de planification devront introduire une amélioration à l'élaboration des futurs programmes nationaux de développement qui devront cependant être arrêtés en étroite concertation avec les collectivités locales, tout en insistant pour que ces dernières « s'impliquent davantage dans la réalisation des projets et dans le même temps, faire de la promotion de l'investissement l'une de leurs priorités afin que la création d'activités, d'emplois et de revenus soit effective dans toutes les régions du pays ». Le Président de République a également saisi l'occasion de cette réunion restreinte pour instruire le Gouvernement de poursuivre la simplification et l'allégement des procédures et formalités administratives ainsi que de l'amélioration du service public communal dans tous les domaines. Le Président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a présidé, jeudi, dans le cadre des auditions annuelles qu'il dirige sur les activités des différents départements ministériels, une réunion restreinte d'évaluation consacrée au secteur de l'Intérieur et des Collectivités Locales. Le rapport présenté restitue l'état de mise en œuvre des projets et actions ainsi que les perspectives de développement du département de l'Intérieur et des Collectivités Locales. Dans son intervention, le Chef de l'Etat, a mis en exergue « l'importance de la mise en place, durant les cinq prochaines années, du registre national de l'état civil, de la nouvelle Carte Nationale d'Identité Biométrique Electronique et du Passeport Biométrique ». Pour ce faire, il a instruit le Gouvernement de dégager « les moyens financiers, matériels et humains pour le succès de cette opération qui dotera le pays d'un instrument moderne essentiel à l'amélioration du service public ». Une administration publique solide, la qualité de service, la décentralisation du développement, tels sont, selon Abdelaziz Bouteflika, « les impératifs pour que le développement qui est encore essentiellement porté par l'Etat dans tous les domaines, puisse se propager équitablement à travers toutes les régions du pays et que ces fruits aillent aux citoyens dans la transparence », soulignant que « les Assemblées Populaires Communales et de Wilayas doivent faire preuve de plus d'initiatives et se convertir en forces de proposition pour devenir de véritables moteurs du développement local ». Cela est un impératif, indique-t-il pour que « les responsabilités publiques en matière de contrôle et de régulation s'exercent et encadrent efficacement les actions menées par des agents économiques au bénéfice équitable des citoyens ». Le Président de la République, a donné au Gouvernement les directives suivantes pour concrétiser cet objectif : la poursuite de la formation des élus et le renforcement de l'administration locale qui se fixe comme objectif le rapprochement d'une administration de qualité en direction des citoyens. La qualité de service doit devenir un critère essentiel de la gestion publique. Dans ce cadre, il ordonne que « la nouvelle organisation administrative projetée à travers la désignation de walis délégués à la direction de plusieurs circonscriptions, doit être entourée d'une préparation judicieuse et de la réunion de toutes les conditions requises ». La formation d'un encadrement compétent et adapté aux réalités nationales contemporaines ainsi qu'à l'emploi des technologies et méthodes de gestion modernes qui doit se poursuivre à tous les niveaux, est la deuxième exigence du Chef de l'Etat qui relève que « l'Ecole Nationale d'Administration doit donc bénéficier de toute l'attention du gouvernement et des moyens requis pour l'accomplissement de sa mission ». Il instruit, également, le Gouvernement de renforcer en encadrement spécialisé dans tous les domaines, les collectivités locales, notamment, celles des Hauts Plateaux et du Sud, pour les mettre à même de faire le meilleur usage des responsabilités et des moyens qui leur seront confiés. Le président de la République demande à ce que « la refonte des finances locales doit se poursuivre activement». Elle conditionne, dit-il « la disponibilité des ressources des collectivités locales pour donner un sens réel à la décentralisation », soulignant l'exigence d' « un engagement véritable des APC et APW dans la collecte de ces ressources et dans leur gestion rationnelle ». Enfin dernière directive, pour le Chef de l'Etat « la décentralisation du développement doit être promue davantage ». De fait, indique-t-il « la capacité d'anticipation et le développement d'un instrument national de planification devront introduire une amélioration à l'élaboration des futurs programmes nationaux de développement qui devront cependant être arrêtés en étroite concertation avec les collectivités locales, tout en insistant pour que ces dernières « s'impliquent davantage dans la réalisation des projets et dans le même temps, faire de la promotion de l'investissement l'une de leurs priorités afin que la création d'activités, d'emplois et de revenus soit effective dans toutes les régions du pays ». Le Président de République a également saisi l'occasion de cette réunion restreinte pour instruire le Gouvernement de poursuivre la simplification et l'allégement des procédures et formalités administratives ainsi que de l'amélioration du service public communal dans tous les domaines.