Le ministre de l'Energie et des Mines, M. Chakib Khelil, s'est félicité à Vienne des ''excellentes relations'' de coopération entre l'Algérie et l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) et a salué l'assistance fournie par cette institution en vue notamment de l'élaboration de la loi nucléaire ainsi que de la formation dont ont bénéficié les experts algériens. Intervenant lors des travaux de la 52ème session de la conférence générale de l'AIEA qui se tiennent dans la capitale autrichienne, M. Khelil a, entre autres, noté que ''l'Algérie poursuit sa coopération avec l'AIEA dans les domaines de la sûreté et de la sécurité des sources radioactives, de l'infrastructure nationale de réglementation de la sûreté et de la sécurité nucléaire afin de se conformer aux normes internationales et d'assurer une utilisation sûre de l'énergie nucléaire.'' Dans son intervention, M. Khelil a affirmé que les ''travaux de cette session offrent l'occasion de mesurer les progrès accomplis et d'examiner les voies et moyens de renforcer la coopération internationale pour hâter et accroître la contribution de l'énergie atomique à la paix, la santé et la prospérité dans le monde.'' Il a également réaffirmé le droit inaliénable des Etats parties au Traité de non prolifération (TNP) découlant de l'article IV pour la recherche et la production de l'énergie nucléaire à des fins pacifiques. Le ministre a aussi réitéré l'importance du ''dialogue et de la coopération comme instruments privilégiés pour la résolution des différends, en particulier, des questions touchant à la paix et à la sécurité collectives''. Dans ce contexte, M. Khelil a indiqué que ''les préoccupations que suscite le régime de non-prolifération sont aussi légitimes que celles que provoque l'absence de progrès en matière de désarmement.'' Les incertitudes qui pèsent sur la sécurité collective ''requièrent des efforts résolus et concomitants au niveau de la Conférence de Désarmement et du processus préparatoire à la Conférence d'examen du TNP 2010'', a-t-il ajouté. Dans cette perspective, il a plaidé pour des progrès tangibles dans les domaines prioritaires que sont l'universalisation du TNP, la mise en œuvre de mesures concrètes et vérifiables de désarmement, la conclusion d'un Accord international juridiquement contraignant sur les garanties de sécurité négative, la négociation d'un Traité interdisant la production de matières fissiles, l'arrêt de la course aux armements dans l'espace, l'entrée en vigueur rapide du TICE, et l'établissement d'une Zone exempte d'armes nucléaires (ZEAN) au Moyen-Orient. En marge des travaux de cette conférence, M. Khelil s'est entretenu avec des responsables de l'AIEA, avec à leur tête M. Mohamed El Baradei, directeur général de l'Agence, ainsi qu'avec un certain nombre de délégations de pays partenaires de l'Algérie dans le domaine nucléaire: l'Afrique du Sud, l'Argentine, la Chine, les Etats-Unis et la France, précise la même source. Le ministre de l'Energie et des Mines, M. Chakib Khelil, s'est félicité à Vienne des ''excellentes relations'' de coopération entre l'Algérie et l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) et a salué l'assistance fournie par cette institution en vue notamment de l'élaboration de la loi nucléaire ainsi que de la formation dont ont bénéficié les experts algériens. Intervenant lors des travaux de la 52ème session de la conférence générale de l'AIEA qui se tiennent dans la capitale autrichienne, M. Khelil a, entre autres, noté que ''l'Algérie poursuit sa coopération avec l'AIEA dans les domaines de la sûreté et de la sécurité des sources radioactives, de l'infrastructure nationale de réglementation de la sûreté et de la sécurité nucléaire afin de se conformer aux normes internationales et d'assurer une utilisation sûre de l'énergie nucléaire.'' Dans son intervention, M. Khelil a affirmé que les ''travaux de cette session offrent l'occasion de mesurer les progrès accomplis et d'examiner les voies et moyens de renforcer la coopération internationale pour hâter et accroître la contribution de l'énergie atomique à la paix, la santé et la prospérité dans le monde.'' Il a également réaffirmé le droit inaliénable des Etats parties au Traité de non prolifération (TNP) découlant de l'article IV pour la recherche et la production de l'énergie nucléaire à des fins pacifiques. Le ministre a aussi réitéré l'importance du ''dialogue et de la coopération comme instruments privilégiés pour la résolution des différends, en particulier, des questions touchant à la paix et à la sécurité collectives''. Dans ce contexte, M. Khelil a indiqué que ''les préoccupations que suscite le régime de non-prolifération sont aussi légitimes que celles que provoque l'absence de progrès en matière de désarmement.'' Les incertitudes qui pèsent sur la sécurité collective ''requièrent des efforts résolus et concomitants au niveau de la Conférence de Désarmement et du processus préparatoire à la Conférence d'examen du TNP 2010'', a-t-il ajouté. Dans cette perspective, il a plaidé pour des progrès tangibles dans les domaines prioritaires que sont l'universalisation du TNP, la mise en œuvre de mesures concrètes et vérifiables de désarmement, la conclusion d'un Accord international juridiquement contraignant sur les garanties de sécurité négative, la négociation d'un Traité interdisant la production de matières fissiles, l'arrêt de la course aux armements dans l'espace, l'entrée en vigueur rapide du TICE, et l'établissement d'une Zone exempte d'armes nucléaires (ZEAN) au Moyen-Orient. En marge des travaux de cette conférence, M. Khelil s'est entretenu avec des responsables de l'AIEA, avec à leur tête M. Mohamed El Baradei, directeur général de l'Agence, ainsi qu'avec un certain nombre de délégations de pays partenaires de l'Algérie dans le domaine nucléaire: l'Afrique du Sud, l'Argentine, la Chine, les Etats-Unis et la France, précise la même source.