L'ARPT a accordé aux détenteurs de cartes prépayées non identifiées et achetées avant le 27 février 2008 un délai jusqu'au 10 octobre 2008 pour les identifier. L'ARPT a accordé aux détenteurs de cartes prépayées non identifiées et achetées avant le 27 février 2008 un délai jusqu'au 10 octobre 2008 pour les identifier. A l'approche de la date butoir fixée par l'Autorité de régulation de la poste et des télécommunications (ARPT) pour l'identification des puces anonymes de téléphonie mobile, c'est le grand rush des abonnés vers les agences des opérateurs concernés pour se faire identifier. L'ARPT a accordé aux détenteurs de cartes prépayées non identifiées et achetées avant le 27 février 2008 un délai jusqu'au 10 octobre 2008 pour les identifier. Au-delà de cette date, toutes les cartes non encore identifiées seront définitivement désactivées par les opérateurs. L'opération d'identification des puces non identifiées, lancée en février dernier, avait connu, selon l'ARPT, une avancée "considérable", dans la mesure où elle a permis d'identifier des centaines de milliers de puces dont les détenteurs étaient jusque-là anonymes. S'agissant des cartes prépayées achetées après le 27 février 2008, l'Autorité de régulation a fait savoir qu'elles doivent faire l'objet d'identification par leurs détenteurs auprès des points de vente et agences agréés par les opérateurs dans un délai de trente (30) jours. Passé ce délai, les abonnés se verront dépourvus de leurspuces sans aucun préavis. Pour rappel, le P-DG de Mobilis avait estimé que l'éradication du phénomène des puces anonymes nécessite la mise en place de mécanismes par l'ARPT, suggérant, pour la circontance, que chaque puce soit suspendue quelque temps après son activation si elle n'est pas identifiée. Il a indiqué, dans ce sens, que ces règles doivent être communes et appliquées par l'ensemble des opérateurs de la téléphonie mobile en Algérie. Mobilis avait déjà procédé à la saisie de 4,5 millions de contrats de clients, alors que plus de 3,5 millions d'autres ont été collectés mais pas encore introduits dans le système informatique de l'entreprise. Concernant ce même opérateur, le directeur de l'agence d'El-Biar, Nabil Belmiloud, avait indiqué que l'opération se déroule dans de "bonnes conditions", en dépit, a-t-il dit, d'une certaine pression due à l'affluence importante des citoyens, dont le nombre s'élève durant la semaine à 600 personnes par jour et à 1.000 clients en fin de semaine.Depuis le lancement de l'opération l'opérateur Mobilis a recueilli plus de 6.000 contrats dont la majorité a été régularisée, a-t-il précisé. Pour sa part, l'opérateur Nedjma, et bien qu'il ait entrepris cette opération une année avant l'annonce de la décision de l'ARPT, en invitant ses clients par SMS à régulariser leur situation dans les plus brefs délais, cela s'est avéré vain, les citoyens ayant tout de même attendu l'approche de la date d'expiration du délai de suspension des lignes pour affluer en masse vers les agences implantées à travers le territoire national. A cet effet, l'opérateur a mobilisé tous ses agents au niveau de 31 agences, cinq distributeurs et 6.000 points de vente à travers le pays pour accueillir ses abonnés. De son côté, l'opérateur Djezzy a opté pour la solution Internet, en vue d'épargner à ses abonnés les longues files d'attente et leur permettre de régulariser leur situation dans les meilleures conditions. Cependant, les abonnés, qui se plaignent des longues files d'attente à l'intérieur et à l'extérieur des agences, sont unanimes à considérer que le délai fixé par l'ARPT est très court et réclament, de ce fait, une prorogation pour se faire identifier. W. B. A l'approche de la date butoir fixée par l'Autorité de régulation de la poste et des télécommunications (ARPT) pour l'identification des puces anonymes de téléphonie mobile, c'est le grand rush des abonnés vers les agences des opérateurs concernés pour se faire identifier. L'ARPT a accordé aux détenteurs de cartes prépayées non identifiées et achetées avant le 27 février 2008 un délai jusqu'au 10 octobre 2008 pour les identifier. Au-delà de cette date, toutes les cartes non encore identifiées seront définitivement désactivées par les opérateurs. L'opération d'identification des puces non identifiées, lancée en février dernier, avait connu, selon l'ARPT, une avancée "considérable", dans la mesure où elle a permis d'identifier des centaines de milliers de puces dont les détenteurs étaient jusque-là anonymes. S'agissant des cartes prépayées achetées après le 27 février 2008, l'Autorité de régulation a fait savoir qu'elles doivent faire l'objet d'identification par leurs détenteurs auprès des points de vente et agences agréés par les opérateurs dans un délai de trente (30) jours. Passé ce délai, les abonnés se verront dépourvus de leurspuces sans aucun préavis. Pour rappel, le P-DG de Mobilis avait estimé que l'éradication du phénomène des puces anonymes nécessite la mise en place de mécanismes par l'ARPT, suggérant, pour la circontance, que chaque puce soit suspendue quelque temps après son activation si elle n'est pas identifiée. Il a indiqué, dans ce sens, que ces règles doivent être communes et appliquées par l'ensemble des opérateurs de la téléphonie mobile en Algérie. Mobilis avait déjà procédé à la saisie de 4,5 millions de contrats de clients, alors que plus de 3,5 millions d'autres ont été collectés mais pas encore introduits dans le système informatique de l'entreprise. Concernant ce même opérateur, le directeur de l'agence d'El-Biar, Nabil Belmiloud, avait indiqué que l'opération se déroule dans de "bonnes conditions", en dépit, a-t-il dit, d'une certaine pression due à l'affluence importante des citoyens, dont le nombre s'élève durant la semaine à 600 personnes par jour et à 1.000 clients en fin de semaine.Depuis le lancement de l'opération l'opérateur Mobilis a recueilli plus de 6.000 contrats dont la majorité a été régularisée, a-t-il précisé. Pour sa part, l'opérateur Nedjma, et bien qu'il ait entrepris cette opération une année avant l'annonce de la décision de l'ARPT, en invitant ses clients par SMS à régulariser leur situation dans les plus brefs délais, cela s'est avéré vain, les citoyens ayant tout de même attendu l'approche de la date d'expiration du délai de suspension des lignes pour affluer en masse vers les agences implantées à travers le territoire national. A cet effet, l'opérateur a mobilisé tous ses agents au niveau de 31 agences, cinq distributeurs et 6.000 points de vente à travers le pays pour accueillir ses abonnés. De son côté, l'opérateur Djezzy a opté pour la solution Internet, en vue d'épargner à ses abonnés les longues files d'attente et leur permettre de régulariser leur situation dans les meilleures conditions. Cependant, les abonnés, qui se plaignent des longues files d'attente à l'intérieur et à l'extérieur des agences, sont unanimes à considérer que le délai fixé par l'ARPT est très court et réclament, de ce fait, une prorogation pour se faire identifier. W. B.